Bihorel — Wikipédia
- ️Mon Jan 01 2024
Bihorel | |
La mairie. | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Normandie |
Département | Seine-Maritime |
Arrondissement | Rouen |
Intercommunalité | Métropole Rouen Normandie |
Maire Mandat |
Pascal Houbron 2020-2026 |
Code postal | 76420 |
Code commune | 76095 |
Démographie | |
Gentilé | Bihorellais |
Population municipale |
8 299 hab. (2022) |
Densité | 3 306 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 27′ 19″ nord, 1° 07′ 01″ est |
Altitude | Min. 80 m Max. 160 m |
Superficie | 2,51 km2 |
Type | Grand centre urbain |
Unité urbaine | Rouen (banlieue) |
Aire d'attraction | Rouen (commune du pôle principal) |
Élections | |
Départementales | Bois-Guillaume |
Législatives | 2e circonscription de la Seine-Maritime |
Localisation | |
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime | |
Liens | |
Site web | http://www.ville-bihorel.fr |
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Bihorel est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
Située sur le plateau nord de Rouen, Bihorel est une ville comportant trois quartiers :
- le Vieux Bihorel : limitrophe de la ville de Rouen, à mi-pente, et sur le début du plateau ;
- le plateau des Provinces : le quartier d'immeubles collectifs derrière le vieux Bihorel ;
- le Chapitre : le quartier résidentiel plus au nord.
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Pays de Caux, frais, humide et pluvieux, légèrement plus frais que dans le Cotentin[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 851 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouen à 2 km à vol d'oiseau[4], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 817,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Au 1er janvier 2024, Bihorel est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Rouen[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 50 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[10]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].
La ligne T2 du TEOR, le réseau du bus à haut niveau de service rouennais, permet de rejoindre le centre-ville de Rouen en moins de trente minutes à partir du plateau des Provinces, via le quartier de la Grand'Mare. Les lignes régulières F1, F8, 10 et 20 permettent de se rendre dans le centre-ville de Rouen en dix minutes.
Le nom de la localité est attesté sous les formes Bihorellum en 1277[13]; Bois de Bihorel en 1312[14]; Edefice de Bihorel vers 1360 ; Manoir et clos de Bihorel en 1394[15]; Clos de Bihorel en 1460[16]; Seigneurie de Bihorel en 1640 ; Biorel en 1715 (Frémont) ; Biorel en 1757 (Cassini)[17].
Le sens du toponyme est assez incertain, mais un rapprochement semble possible avec le mot bihorage, désignant en Normandie un « lieu mal cultivé ».
Albert Dauzat et Marie-Thérèse Morlet le rattacheraient au mot buhoreau (variété de héron).
La commune a été créée le 12 avril 1892. Auparavant, Bihorel était un quartier de Bois-Guillaume.
Le 4 juillet 2011 a été votée en conseil municipal la fusion de Bihorel et Bois-Guillaume, malgré les résultats de la consultation organisée par les maires de ces deux villes montrant une très large opposition de la part de la population (66,43 % s'y sont opposés)[18],[19],[20].
Du 1er janvier 2012 au 31 décembre 2013, la commune a donc été fusionnée avec sa voisine, Bois-Guillaume, sous le régime des communes nouvelles pour former Bois-Guillaume-Bihorel[21].
La création de cette commune a été invalidée par le tribunal administratif de Rouen[22], décision contre laquelle ni la préfecture[23] ni la municipalité n'ont interjeté appel[24],[25]. Les deux communes sont donc recréées le 1er janvier 2014[26].
- Rattachements administratifs
La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Rouen du département de la Seine-Maritime.
Elle faisait partie de sa création en 1892 à 1982 du canton de Darnétal, année ou elle intègre le canton de Bois-Guillaume[27]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
- Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Bois-Guillaume
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de la Seine-Maritime.
La commune était membre de la communauté d'agglomération dénommée Agglomération de Rouen (CAR), un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1995 par transformation de l'ancien SIVOM de l'agglomération rouennaise institué en 1974.
Cette intercommunalité fusionne avec ses voisines le 1er janvier 2010 pour former la communauté d'agglomération Rouen-Elbeuf-Austreberthe (CREA), qui se transforme en métropole le 1er janvier 2015 sous le nom de Métropole Rouen Normandie.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1892 | Juillet 1896 | Dr Alfred Caron[Note 4] | Médecin | |
1896 | 1910 | Georges Liot | Constructeur mécanicien | |
1910 | Janvier 1911 | Philibert Caux | ||
1911 | 1914 | Pierre Maridort | ||
1914 | 1942 | Albert Malle | ||
1942 | 1944 | Albert Legrand | ||
1944 | 1944 | Jules Wicke | ||
1944 | 1945 | Lecointe | PRSRF | Député |
1945 | 1968 | René Tamarelle | Directeur d'école | |
1968 | mars 1983 | Claude Leveau | Mod. | |
mars 1983 | mars 2001 | Jean Fréret | DVD | Chef d'entreprise |
mars 2001 | 2011 | Pascal Houbron | app. UDF (NC) | Cadre supérieur Devient maire délégué à la fusion d'avec Bois-Guillaume en 2012. Réélu au 1er tour après la dé-fusion d'avec Bois-Guillaume en mars 2014. |
mars 2014 | En cours (au 10 août 2020) |
Pascal Houbron | UDI (NC/LC) | Cadre supérieur Conseiller régional de Normandie (2015 → ) Réélu pour le mandat 2020-2026[28] |
La crèche municipale Les p’tits loups exerce son activité sur deux sites, au 4 rue de Verdun dans le vieux Bihorel, et au 4 rue Pierre-Corneille, au rez-de-chaussée de l’Espace Corneille.
Le Centre Social Étienne-Pernet regroupe une structure Multi-Accueil (crèche et halte-garderie), une structure d'accueil pour enfants (aide à la scolarité et centre de loisirs sans hébergement), et des activités sociales pour les familles. Il héberge également l'association sportive Bihorel-Echecs.
Les établissements scolaires de la commune relèvent de l'Académie de Normandie.
- Enseignement public
- École maternelle Jean-Macé ;
- École primaire Raymond-Larpin ;
- École maternelle Georges-Méliès ;
- École primaire Georges-Méliès ;
- École maternelle René-Coty ;
- École primaire René-Coty ;
- Collège Jules-Michelet.
- Enseignement privé ;
- Le Globe coloré - École Montessori - Avenue des Hauts-Grigneux
- École Notre-Dame-des-Anges - 1 rue Joseph-Roy
- Institution Saint-Victrice (école et collège) - 15 rue Philibert-Caux.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1896. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30].
En 2022, la commune comptait 8 299 habitants[Note 5], en évolution de −0,02 % par rapport à 2016 (Seine-Maritime : +0,35 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
1896 | 1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2 564 | 2 693 | 2 671 | 3 053 | 3 392 | 3 104 | 3 261 | 3 361 | 3 982 |
1954 | 1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2007 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
3 968 | 4 072 | 7 009 | 9 382 | 10 121 | 9 358 | 9 057 | 8 483 | 8 461 |
2012 | 2017 | 2022 | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
8 268 | 8 398 | 8 299 | - | - | - | - | - | - |
Histogramme de l'évolution démographique
On retrouve une répartition équilibrée sur les trois quartiers précités :
- le Vieux Bihorel : environ 3 000 habitants ;
- le plateau des Provinces : 3 000 habitants ;
- le Chapitre : 3 000 habitants.
- Stade Maréchal-Leclerc (GCO Bihorel) ;
- Piscine Transat (fermée depuis septembre 2016) ;
- Hippodrome des Trois-Pipes ;
- Gymnase Pierre-de-Coubertin ;
- Gymnase Georges-Hébert ;
- Salle Jigorō-Kanō ;
- Salle d'évolution sportive Émilie-Le Pennec ;
- Salle Philippe-Tissié ;
- Courts de tennis (Tennis Club de Bihorel).
Le Gallia club omnisports Bihorel - Football (GCO Bihorel), fondé en 1920 remplace l'association sportive de Bihorel (fondée en 1910). En 1924, il a fusionné avec le club de Bois-Guillaume. Après la guerre, il a accédé à la promotion d'honneur et en division d'honneur en 1951 disputant une finale de coupe de Normandie en 1948 perdue 0-1 face au SPN Vernon. Il a cessé son activité jusqu'en 1960 et a repris en promotion d'honneur. En 1979, il a accédé à la division d'honneur et a disputé en 1984 une finale de coupe de Normandie perdue 1-2 face à l'AM Neiges.
En 1986, champion de division d'honneur, le GCO Bihorela accédé à la division 4 (Groupe B) et y est resté deux saisons avant de revenir en division d'honneur. Remportant le championnat de division d'honneur en 2001, il a joué en CFA 2 (groupe A) pendant deux saisons.
On note également la présence de :
- GCOB Handball
- GCOB Basket
- GCOB Gymnastique Volontaire
- GCOB Yoga
- GCOB Tir à l’Arc
- GCOB Tennis de table
- GCOB Tennis
- GCOB Roller
- GCOB Randonnée pédestre
- GCOB Plongée Apnée
- GCOB Pétanque
- GCOB Natation
- GCOB Modern Jazz
- GCOB Judo
- USCBB Cyclisme
- Bihorel Boxing Club
- Bihorel Echecs
- Le Foyer Municipal : il accueille régulièrement des représentations théâtrales, festivals et autres.
- La Grange (de la Petite Madeleine) : elle accueille notamment de nombreuses expositions picturales.
- Le Centre Gascard (anciens laboratoires pharmaceutiques) : Il accueille la Bibliothèque pour tous, et les activités de l'association Carrefour Culture et Loisirs.
- École René-Coty (local culturel) : il accueille des activités poterie, terre, dessin et peinture.
- Espace Corneille : aménagé dans l’ancienne école maternelle Pierre-Corneille fermée depuis juin 2008, on y trouve la crèche municipale "les p’tits loups", une salle associative, l'accueil ados et le local de l’association Fer faire.
Il existe aussi deux autres salles municipales mises à disposition pour des activités diverses : le Foyer Pierre-Devieilhe, et la salle polyvalente du Chapitre
L'association Carrefour Culture et Loisirs a son siège au Centre Gascard, place Saint-Louis, et regroupe une vingtaine d’associations et activités différentes : Pilates, relaxation, danse classique et contemporaine, Zumba, tricot, broderie, scrabble, dessin, peinture, atelier terre, art floral, réfection fauteuils.
- Bibliothèque pour Tous,
- École de musique de Bois-Guillaume – BihoreI – Isneauville,
- Groupe d’histoire et d’études de Bihorel,
- Tarot,
- La Ronde - danse,
- À Cœur Joie - chorale,
- Chœur Harmonia de Bihorel - chorale,
- Chorale Mélodia
- Chez maman - activités couture et chant,
- ADTR - activité radio-amateurs,
- Présence radioamateur,
- Archimède-films - initiation aux techniques du cinéma et de l'audiovisuel,
- Porte Voix - création cinématographique,
- AFIFUNOR – dentelle aux fuseaux,
- Brodons médiéval - broderie,
- ACADRAMA - théâtre,
- Parfums passion,
En matière de solidarité, on note :
- Aide et solidarité
- Association familiale de Bihorel
- Association Fer Faire
- Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement C.C.F.D
- Comité d’entraide de Bihorel
- La Conférence St Vincent de Paul de Bihorel, Bois-Guillaume et Hauts de Rouen
- Les Aînés du Bihoreau’club
- Le quotidien Paris Normandie et les hebdomadaires Liberté-Dimanche et Le bulletin de l'arrondissement de Rouen relatent les informations locales.
- La commune est située dans le bassin d'émission de la chaîne de télévision France 3 Normandie et de La Chaîne Normande.
Bihorel compte à l'heure actuelle[Quand ?] deux centres commerciaux :
- centre commercial Kennedy (plateau des Provinces) ;
- centre commercial du Chapitre (Le Chapitre).
Les 2 magasins appartenant à la grande distribution présents à Bihorel sont :
Le marché se tient place du Général-de-Gaulle (place de l'église) le mercredi matin et le samedi matin, au centre commercial Kennedy (plateau des Provinces) le vendredi matin, et au centre commercial du Chapitre le mercredi matin.
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- L'église Notre-Dame-des-Anges (1865 - 1868) est due à l'architecte Émile Janet[32].
- Les anciens laboratoires pharmaceutiques Gascard où était produit l'élixir dénommé « Eau des Jacobins » abritent aujourd'hui le centre culturel et la médiathèque[33].
- Four de la briqueterie de la Madeleine au parc de l'Argilière[34].
- Jules Michelet (1798 - 1874) y séjourna à plusieurs reprises.
- Charles Nicolle (1866 - 1936) y avait une maison.
- René Herval (1890-1972) y a habité au no 27 rue Carnot en 1928[35].
- Victor Boucher (1896 - 1954), acteur, avait ses parents à Bihorel, tenanciers d'un café près des Trois Pipes.
- André Chérasse (1906-1997), général et député, y a vécu.
- Jacques Floch (1938 - ), homme politique français.
- Bernard Legrand (mort en 1995), maître verrier.
Les armes de la commune de Bihorel se blasonnent ainsi : De gueules à la barre accompagnée en chef d’une ruche et en pointe de deux léopards passant l’un sur l’autre, le tout d’or ; au chef d’azur chargé d’un cavalier contourné adextré d’un archer contourné et senestré de deux footballeurs contournés, celui de senestre ayant un ballon au pied, le tout aussi d’or. Les deux léopards d'or sur champ de gueules rappellent les armes de la Normandie. |
Sur les autres projets Wikimedia :
- Bihorel, sur Wikimedia Commons
- Gabrielle Sueur et Alfred Morel (préf. Jean Fréret et René Seille), Du Bois-Guillaume d'hier au Bihorel d'aujourd'hui : une commune centenaire, au passé millénaire, Luneray, Groupe d'histoire et études de Bihorel, 1991, 334 p. (ISBN 2-86743-129-8, OCLC 463702806)
- ↑ Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- ↑ Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Rouen comprend une ville-centre et 49 communes de banlieue.
- ↑ La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- ↑ Le docteur Caron a donc été le premier maire de la jeune commune née de la scission d'avec Bois-Guillaume. Son buste est présent dans le parc de l'hôtel de ville
- ↑ Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
- ↑ a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, 18 juin 2010 (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le 20 décembre 2023)
- ↑ « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le 20 décembre 2023)
- ↑ GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, 30 octobre 2020, 18 p. (lire en ligne), p. 2
- ↑ « Orthodromie entre Bihorel et Rouen », sur fr.distance.to (consulté le 20 décembre 2023).
- ↑ « Station Météo-France « Rouen - Jardin » (commune de Rouen) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le 20 décembre 2023)
- ↑ « Station Météo-France « Rouen - Jardin » (commune de Rouen) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le 20 décembre 2023)
- ↑ « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, novembre 2022 (consulté le 20 décembre 2023)
- ↑ « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, 28 mai 2024 (consulté le 29 juin 2024).
- ↑ « Unité urbaine 2020 de Rouen », sur le site de l'Insee (consulté le 29 juin 2024).
- ↑ a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Bihorel ».
- ↑ « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur le site de l'Insee (consulté le 29 juin 2024).
- ↑ Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, 21 octobre 2020 (consulté le 29 juin 2024).
- ↑ Archives départementales de la Seine-Maritime, 14 H cart. in 4 f. 100.
- ↑ Archives départementales de la Seine-Maritime, 14 H 371.
- ↑ Archives départementales de la Seine-Maritimee, tab. Rouen, reg 6 f. 16 v. et 14 H 372.
- ↑ Archives départementales de la Seine-Maritime, G 8034.
- ↑ Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, page 82.
- ↑ http://mairiebihorel.free.fr/resultats_consultation.pdf
- ↑ http://mairiebihorel.free.fr/fusion/resultats_consultation_bois-guillaume.pdf
- ↑ « place-publique.fr/spip.php?art… »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- ↑ Arrêté du 29 août 2011 portant création de commune.
- ↑ Article 2 du jugement du 18 juin 2013 rendu par le tribunal administratif de Rouen annulant l'arrêté du préfet de la Seine-Maritime du 29 août 2011, [lire en ligne].
- ↑ Florestan, « Annulation de la fusion Bois-Guillaume/Bihorel : la préfecture ne fera pas appel », sur le site du quotidien Paris-Normandie, 20 juin 2013 (consulté le 6 janvier 2014).
- ↑ Florestan, « Bois-Guillaume- Bihorel: laboratoire du crétinisme territorial? »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le site du quotidien Paris-Normandie, 19 juin 2013 (consulté le 6 janvier 2014).
- ↑ « Défusion de Bois-Guillaume-Bihorel : la Ville ne fera pas appel »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le site tendanceouest.com, 15 juillet 2013 (consulté le 6 janvier 2014).
- ↑ Florestan, « Bois-Guillaume-Bihorel : le maire ne fera pas appel », sur le site du quotidien Paris-Normandie, 12 juillet 2013 (consulté le 6 janvier 2014).
- ↑ a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- ↑ « Municipales 2020. Pascal Houbron entame son 4e mandat de maire à Bihorel : À 53 ans, le centriste Pascal Houbron entame officiellement son quatrième mandat de maire, aux côtés de huit adjoints », Paris-Normandie, 2 juin 2020 (lire en ligne, consulté le 19 août 2020).
- ↑ L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- ↑ Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- ↑ Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
- ↑ Notice no IA00021928.
- ↑ Notice no IA76001756.
- ↑ Notice no IA76001755.
- ↑ Archives départementales du Nord, registre matricule n°1546
Communes les plus peuplées de Normandie Les communes de plus de 3 000 habitants |
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