Debout la France — Wikipédia
- ️Wed Feb 03 1999
Debout la France | |
![]() Logotype officiel. | |
Présentation | |
---|---|
Président | Nicolas Dupont-Aignan |
Fondation | 3 février 1999 (courant du RPR puis de l’UMP) 23 novembre 2008 (Debout la République) 12 octobre 2014 (Debout la France) |
Scission de | Union pour un mouvement populaire |
Scission dans | L'Avenir français (2021) |
Siège | 55, rue de Concy 91330 Yerres |
Positionnement | Actuel : Droite[1],[2],[3] à extrême droite[4],[5],[6] |
Idéologie | Gaullisme[7] Gaullisme social[8] National-conservatisme[7] Euroscepticisme modéré[9],[10],[11],[12] Populisme de droite[13] Républicanisme[8] Souverainisme[14],[15] Nationalisme[16] Conspirationnisme[17] Antivaccinisme[17] |
Affiliation nationale | Union pour la France (coalition électorale de 2022) |
Affiliation européenne | ADDE (2015-2017) CRE (2019-2020) |
Adhérents | 12 000 (revendiqués en 2024) |
Couleurs | Bleu ciel et rouge clair |
Site web | debout-la-france.fr |
Représentation | |
Conseillers régionaux | 2 / 1758 |
modifier ![]() |
Debout la France (DLF) est un parti politique français fondé par Nicolas Dupont-Aignan sous le nom de Debout la République (DLR), renommé en Debout la France en 2014. Se réclamant du gaullisme, il est classé à la droite (notamment par le Conseil d'État) voire à l'extrême droite de l'échiquier politique.
Entre 1999 et 2008, avant de devenir un parti, Debout la République est un courant du RPR puis de l'UMP. Son président-fondateur, Nicolas Dupont-Aignan, se présente notamment sans succès au congrès de l’UMP de 2004.
Son président se présente ensuite aux élections présidentielles de 2012 et de 2017, où il recueille respectivement 1,8 % et 4,7 % des suffrages exprimés. Au second tour du scrutin de 2017, DLF soutient Marine Le Pen, une association qui prend fin après la défaite de celle-ci.
À partir de 2019, Debout la France connaît une crise politique et financière d’ampleur : quelque 80 responsables du parti et de nombreux adhérents font défection, dénonçant son isolement croissant et rejoignant pour la plupart le Rassemblement national.
En 2024 Nicolas Dupont-Aignan est battu lors des élections législatives, le parti n'est plus représenté à l'Assemblée nationale.
Historique
Courant du RPR puis de l'UMP
Debout la République est fondé le 3 février 1999 par Nicolas Dupont-Aignan, en tant que courant « gaulliste authentique » du RPR.
La majorité de ses membres participe à la fondation du Rassemblement pour la France, créé à la suite de la liste souverainiste conduite par Charles Pasqua et Philippe de Villiers aux élections européennes de 1999.
Le courant porté par DLR est relancé une première fois en mai 2000 et devient une passerelle entre les pasquaïens du RPF et les séguinistes du RPR.
Le 7 septembre 2002, DLR est relancé une seconde fois en tant que courant « gaulliste et républicain » de l'UMP, par huit parlementaires[note 1].
Le 9 juillet 2003, les parlementaires Jacques Baudot, Nicolas Dupont-Aignan, Patrick Labaune, Lionnel Luca, Étienne Mourrut et François-Xavier Villain présentent les clubs locaux du mouvement. Candidat à la direction de l'UMP en trio « gaulliste et républicain » avec Sylvie Perrin et Christophe Beaudouin, son président Nicolas Dupont-Aignan crée la surprise[réf. nécessaire] au congrès fondateur en obtenant 14,91 % (17 novembre 2002) des suffrages, arrivant deuxième derrière le trio Juppé-Gaudin-Douste-Blazy (79,42 %). Il obtient ensuite 9,10 % au congrès du 28 novembre 2004 (deuxième derrière Nicolas Sarkozy (85,09 %). Debout la République est alors représenté au bureau politique de l'UMP par deux des trente membres élus : Nicolas Dupont-Aignan et Sylvie Perrin[note 2], puis par Élisabeth Laithier.
Le 9 mai 2004, la motion de Debout la République obtient 19,7 % au conseil national de l'UMP sur l'Europe. Le 6 mars 2005, DLR ne dépose pas de motion défendant le « non » au projet de Constitution européenne, la motion « L'Europe mérite un « oui » » obtenant 90,8 %.
Transformation en parti
En janvier 2007, le président de DLR quitte l'UMP et annonce son intention de se porter candidat à l’élection présidentielle de 2007[18]. Dès lors, DLR se structure sur l’ensemble du territoire et participe à la pré-campagne de Nicolas Dupont-Aignan, ce dernier ne parvenant pas à réunir les parrainages nécessaires. Au premier tour, DLR ne soutient aucun candidat, même si Nicolas Dupont-Aignan envisage de soutenir François Bayrou. Pour le second tour, DLR appelle à voter pour Nicolas Sarkozy[19].
Aux élections législatives suivantes, le parti présente 62 candidats sans alliance avec l'UMP. Cependant celle-ci ne présente pas de candidat face à Nicolas Dupont-Aignan dans la 8e circonscription de l'Essonne, ce qui facilite sa réélection au premier tour. Après cette élection, le président de DLR quitte tout de même le groupe UMP et siégera désormais en tant que non-inscrit. En septembre 2007 DLR accentue la distance prise avec l'UMP en ne se positionnant plus au sein de la majorité présidentielle de Nicolas Sarkozy.
Le congrès fondateur du parti a lieu le 23 novembre 2008. À la Mutualité, lors du meeting qui voit les statuts approuvés et Nicolas Dupont-Aignan être élu président, plus de 1 000 personnes sont présentes, parmi lesquelles des gaullistes et des républicains, mais aussi des anciens du MPF, du MRC et des villepinistes. À cette occasion, le président nouvellement élu annonce qu'il présentera des listes aux élections européennes de 2009.
Période d’ascension
Élections européennes de 2009

Le parti participe pour la première fois à une élection en toute indépendance lors des élections européennes de 2009. Une alliance avec Libertas a été repoussée du fait de certaines positions libérales du parti et ambiguës de Declan Ganley sur la Turquie en Europe. Nicolas Dupont-Aignan déclare : « J'ai beaucoup d'admiration pour Declan Ganley, qui a fait un immense travail pour faire gagner le non en Irlande. Je l'ai rencontré longuement cet été. Nous n'avons pas «conclu» car il est favorable à l'entrée de la Turquie dans l'Europe, hostile à la PAC et partisan d'un libre-échangisme économique total »[20]. Crédité de 0,5 à 2 % dans les sondages, le parti rassemble 1,77 % des suffrages au niveau national (0,59 à 2,44 % dans les différentes circonscriptions), ce qui ne lui permet pas d'obtenir d'élu. La liste Libertas (MPF-CPNT) recueillera 4,80 % des suffrages et un élu. Aux élections européennes de 2009, pour sa première campagne en tant que parti indépendant, Debout la République présente des listes dans les sept circonscriptions européennes métropolitaines. Le parti réalise un score national de 1,77 %, avec 304 769 voix[21].
Élections locales de 2010-2011
Lors de son conseil national du 28 novembre 2009, Debout la République valide les noms des chefs de file pour les élections régionales de mars 2010 et prévoit de présenter des listes dans la moitié des régions seulement, en raison du coût important des campagnes régionales[22]. Le mouvement conclut une alliance avec le CNIP et ne présente finalement des listes que dans trois régions : en Haute-Normandie (1,79 %, aucun élu), en Île-de-France (4,15 %, aucun élu) et en Lorraine où DLR s'allie également avec l'Alliance centriste (2,25 %, aucun élu).
Aux élections régionales de 2010, Debout la République présente des listes dans trois régions :
- en Haute-Normandie où la liste menée par Brigitte Brière obtient 10 237 voix, soit 1,79 % des suffrages exprimés[23] ;
- en Île-de-France où la liste menée par Nicolas Dupont-Aignan obtient 119 844 voix, soit 4,15 % des suffrages exprimés[24], devançant les listes du MoDem et du NPA ;
- en Lorraine où la liste menée par Jean-Luc André obtient 14 861 voix, soit 2,25 % des suffrages exprimés[25].
Aucune liste n'atteint le seuil de 5 % des suffrages exprimés et ne peut donc se qualifier au second tour ni fusionner avec une autre liste. Pour le second tour, Nicolas Dupont-Aignan fait « le choix de l'indépendance » et ne donne aucune consigne de vote[26].
Pour les élections cantonales de 2011, Debout la République présente une centaine de candidats en France. Sept sont élus conseillers généraux.
En pleine crise grecque, Nicolas Dupont-Aignan se rend à une manifestation à Athènes en juin 2011 pour dénoncer « l’autorité illégitime du FMI et de l’Union européenne »[27].
Élection présidentielle de 2012

En novembre 2010, Nicolas Dupont-Aignan annonce sa candidature à l'élection présidentielle de 2012 lors du deuxième congrès national[28]. Il recueille 708 parrainages de maires[29] et se présente alors pour la première fois à cette élection. Il y pointe l'euro comme la cause de la « misère », des « délocalisations », du « chômage » et de la « pauvreté »[30]. Nicolas Dupont-Aignan est candidat à cette élection au nom de Debout la République. Il totalise 643 907 voix au premier tour, soit 1,79 % des suffrages exprimés[31]. Il arrive septième sur les dix candidats, devançant Jacques Cheminade, Nathalie Arthaud et Philippe Poutou.
En décembre 2012, dans le cadre du financement public des partis politiques et de la deuxième tranche pour l'année 2013, deux députés se déclarent rattachés à Debout la République : Nicolas Dupont-Aignan et Lionnel Luca[32],[33].

En décembre 2013, ce sont cette fois six députés[note 3],[34] qui se déclarent rattachés financièrement à Debout la République, ainsi que quatre sénateurs[note 4],[35].
Élections législatives de 2012
Debout la République présente des candidats dans 300 circonscriptions aux législatives de 2012[36]. Au total, malgré le manque de moyens souligné par Nicolas Dupont-Aignan et une forte abstention, les candidats rassembleront 151 935 voix. Parmi eux, 101 dépasseront le seuil de 1 % des voix. Nicolas Dupont-Aignan est réélu député de l'Essonne avec 61,4 % des voix, tandis que François-Xavier Villain est réélu avec 57,63 % des voix député du Nord.
En 2017, Debout la France présente des candidats dans environ 400 circonscriptions[37]. Les candidats sont opposés à des candidats du Front national malgré l'alliance entre les deux partis entre les deux tours de la présidentielle[38]. Nicolas Dupont-Aignan est le seul à se qualifier pour le second tour. Il est réélu député de l'Essonne avec 52,05 % des voix.
À l'occasion d'un congrès le 12 octobre 2014, Debout la République change de nom et devient Debout la France. Ce changement de nom est validé par 87 % des 1 300 militants présents lors du congrès refondateur[39]. Deux anciens de l'équipe de campagne de Jean-Pierre Chevènement de 2002 prononcent les discours argumentaires : l'un en faveur du changement de nom (François Morvan) tandis que Claude Rochet s'y oppose (il quitte le parti en 2014).
Debout la France est membre du parti européen de l'Alliance pour la démocratie directe en Europe, après avoir été membre de EUDemocrats.
Lors du premier tour de l'élection présidentielle, Nicolas Dupont-Aignan obtient 4,70 % des voix, arrivant en sixième position sur onze candidats.
Élections européennes de 2014
À l'occasion des élections européennes de 2014, Debout la République présente des listes partout en France, sous l'appellation « Debout la France ! Ni système, ni extrêmes avec Nicolas Dupont-Aignan ». Le parti réalise un score de 3,8 % des voix[40], se plaçant directement après le Front de gauche, qui obtient 6,6 %. Ce score, s'il ne permet pas à Debout la République d'envoyer des députés au Parlement européen, lui assure d'être remboursé de ses frais de campagne dans toutes les circonscriptions électorales[40]. De plus, le parti a gagné 80 000 voix entre l'élection présidentielle et les élections européennes. Il est l'un des rares mouvements à ne pas avoir perdu de voix entre ces deux élections.
Élections locales de 2014-2015
En 2014, Debout la République investit 132 listes, bien que Nicolas Dupont-Aignan ait affirmé que « les élections municipales ne sont pas politisées »[41]. Il ajoute également que des listes candidates souhaitant « se revendiquer de [lui] » se présenteront comme sans étiquette, même si elles s'inscrivent en préfecture comme des listes Debout la France[41]. Nicolas Dupont-Aignan est réélu maire de Yerres après que sa liste l’a emporté dès le premier tour du scrutin avec 77,1 % des voix exprimées.
Aux départementales de 2015, Debout la France présente des candidats dans 156 cantons, soit moins de 8 % des cantons[42]. Il rallie plusieurs anciens conseillers généraux dont Patrick Bassot, Philippe Olivier ou encore Jean-Luc Manoury, anciens du FN, et Claude Marcou, ex-UMP. Le mouvement recueille 81 981 votes, soit 0,40 % des suffrages exprimés[43].
Aux élections régionales de 2015, Debout la France présente des têtes de liste dans les treize régions métropolitaines et à La Réunion[44]. Les listes DLF obtiennent 827 262 voix, soit 3,81 % des suffrages exprimés, ce qui est considéré comme un score non négligeable et qui pourrait avoir une influence sur le second tour[45]. Hormis à La Réunion, en Corse et en Provence-Alpes-Côte d'Azur, DLF obtient partout des scores au-dessus de 2 %, et pouvant aller jusqu'à plus de 6 %. Deux des listes obtiennent plus de 5 % des suffrages exprimés, ce qui leur donne la possibilité de fusionner avec une liste présente au second tour :
- en Île-de-France où la liste menée par Nicolas Dupont-Aignan obtient 207 280 voix, soit 6,57 % des suffrages exprimés ;
- en Bourgogne-France-Comté où la liste menée par Maxime Thiebaut obtient 49 774 voix, soit 5,17 % des suffrages exprimés.
On peut également noter, dans d'autres régions, les bons scores de Laurent Jacobelli en Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine (4,78 %), Alix Penloup en Centre-Val de Loire (4,58 %), Nicolas Calbrix en Normandie (4,14 %), Cécile Bayle de Jessé dans les Pays de la Loire (4,09 %), Damien Lempereur en Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées (3,91 %) et Yvon Setze en Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes (3,35 %).
Debout la France choisit de ne pas fusionner ses listes là où il a obtenu plus de 5 % des voix et ne donne aucune consigne de vote au niveau national pour le second tour des élections régionales de 2015[46].
Relatif succès et alliance avec Marine Le Pen
Élection présidentielle de 2017
Le 28 avril 2017, éliminé au premier tour, Nicolas Dupont-Aignan annonce son soutien à la candidature de Marine Le Pen en vue du second tour, ce qui provoque notamment le départ du parti de trois des quatre vice-présidents de son parti (Dominique Jamet, Anne Boissel et François Morvan), ainsi que d'Éric Anceau, responsable du projet, et Olivier Clodong, délégué national aux élections et premier adjoint de Dupont-Aignan à Yerres[47]. Cette union avait été facilitée par l'entremise de l'ancien conseiller de Nicolas Sarkozy Patrick Buisson, du maire de Béziers Robert Ménard et Philippe Olivier beau-frère de Marine Le Pen et ancien de DLF[48].
Élections législatives de 2017
Aux élections législatives de 2017, aucun accord programmatique ou de répartition des circonscriptions n'ayant pu être conclu avec le FN, Debout la France présente 577 candidatures autonomes[49]. Nicolas Dupont-Aignan enregistre en retour quelques défections comme celles de son porte-parole Laurent Jacobelli, qui est investi par le FN aux législatives, et de son directeur adjoint de son cabinet, Maxime Thiébaut, également investi par le FN aux législatives, nommé vice-président de l’association Les Patriotes fondée par Florian Philippot[48]. Il affirme que Debout la France a enregistré plus de 2 000 adhésions dans l'entre-deux-tours[50].
Perte de vitesse
Élections européennes de 2019
Le 25 octobre 2017, en vue des élections européennes de 2019, Nicolas Dupont-Aignan lance la plateforme « Amoureux de la France » (ADLF) sous la forme d'un site internet participatif[51],[52]. Après un changement de ses statuts, ADLF devient juridiquement un parti politique en novembre 2018[53]. Il se compose alors de DLF, du Centre national des indépendants et paysans (CNIP) et du Parti chrétien-démocrate (PCD).
Des tensions apparaissant au sein de l’alliance à quelques mois des élections européennes de 2019 entre les composantes des Amoureux de la France. En vue du scrutin, Nicolas Dupont-Aignan écarte Emmanuelle Gave en raison de tweets polémiques, ainsi que son père, Charles Gave, qui finançait sa campagne[54]. Il peine ensuite à constituer sa liste et se voit critiqué pour sa stratégie et ses coups d’éclat médiatiques[55]. Contrairement aux attentes, le Parti chrétien-démocrate n’est pas représenté sur la liste, son président, Jean-Frédéric Poisson, ayant été écarté[56]. Également un temps pressentis, les députés européens sortants Bernard Monot, Sylvie Goddyn ou Joëlle Bergeron ne figurent pas sur la liste. Donnée à 8 % à la fin de l’année 2018, juste derrière la liste de LR[57],[58], la liste des ADLF voit les intentions de vote passer sous les 5 % en mars 2019[57].
Après le retrait du PCD, la liste devient « Le courage de défendre les Français, avec Nicolas Dupont-Aignan ». Elle obtient 3,51 % des suffrages, se plaçant en septième position et échouant à atteindre le seuil des 5 % pour avoir des élus[59].
Crise interne de 2019-2020
En septembre 2019, le seul vice-président resté fidèle, Patrick Mignon, démissionne, dénonçant l'« ego surdimensionné » de Dupont-Aignan[60]. Cécile Bayle de Jessé, Anne-Sophie Frigout, Gerbert Rambaud et Philippe Torre sont alors nommés à sa place[60].
L’ancien porte-parole et numéro 2 du parti Jean-Philippe Tanguy et d'autres membres annoncent en novembre 2020 leur ralliement à la candidature à l'Élysée de Marine Le Pen pour 2022, en critiquant une stratégie de « l’isolement » qui conduit dans une « impasse ». Le 2 décembre suivant, une soixantaine de cadres du parti, dont notamment Anne-Sophie Frigout et Alexandre Sabatou, président des jeunes DLF, annoncent leur départ[61].
En novembre 2020, Alexandre Loubet commente auprès de Capital : « Depuis mars 2019 et l’échec des élections européennes (Debout la France avait réuni 3,5% des suffrages), nous assistons à l’agonie de notre parti, qui ne compterait plus que 3 000 adhérents, à cause de la stratégie incohérente du président qui refuse systématiquement toutes les alliances à même de faire gagner les idées patriotes. Nous ne pouvions plus nous taire ! »[62].
Selon un article du Monde de Franck Johannès publié en décembre 2020, le parti « doit cette année 250 000 euros à ses fournisseurs, et 750 000 euros à son imprimeur, payables par tranche tous les mois de mars jusqu’en 2023. Les cotisations des adhérents – 12 000 selon le président, moins de 3 000 selon les dissidents – devraient rapporter 75 000 euros en 2020, contre 195 000 euros en 2018, et les dons 245 000 euros, contre 617 000 en 2017 ». Debout la France a en outre perdu près de quatre-vingts responsables, pour la plupart partis soutenir le Rassemblement national au sein de L'Avenir français[63],[64].
Scrutins de 2022
En décembre 2021, le directeur de la communication et la conseillère du président de Debout la France démissionnent[65]. En janvier 2022, le porte-parole de DLF démissionne également, se plaignant de la campagne électorale de Nicolas Dupont-Aignan qu'il juge trop centrée sur l'opposition au vaccin[66]. D'après L'Opinion, suivant la concentration de Dupont-Aignan sur les thèmes anti-vaccins et anti-passe sanitaire, « une lassitude du sujet Covid s’est fait sentir » au sein des équipes du parti[65].
Nicolas Dupont-Aignan obtient durant la campagne le soutien de Florian Philippot, président des Patriotes, et de Charles-Henri Gallois, président de Génération Frexit (scission de l'UPR). Les trois formations politiques forment une coalition aux élections législatives qui suivent. Selon Philippot, DLF et les Patriotes obtiennent chacune près de 230 circonscriptions et Génération Frexit une dizaine[17].
Positionnement politique

Lors de l’élection présidentielle de 2012, le parti se définit comme faisant partie du courant du gaullisme social et une alternative au clivage gauche-droite[67].
Nicolas Dupont-Aignan dénonce en 2013 ce qu'il nomme le « système », qu'il nomme l'« UMPS » et qui diffuserait la « pensée unique » : il s’agit des partis politiques majoritaires, qu’il accuse d'avoir « échoué lamentablement ». Il refuse également l'alternative du Front national, ensemble qu'il dénomme un « trio infernal »[68]. Il n’exclut cependant pas un rapprochement avec le FN qui partage sa ligne souverainiste et le vocable de l'opposition à « l'UMPS », le dernier obstacle étant pour lui qu'il soit un parti d'extrême droite dont Jean-Marie Le Pen est président d'honneur. Selon Le HuffPost, « Debout la République et le Front national demeurent les deux principales formations politiques souverainistes et critiquent, souvent avec les mêmes termes, l'euro, l'Union européenne et la porosité des frontières. Comme Marine Le Pen, Nicolas Dupont-Aignan estime que le clivage gauche-droite est aujourd'hui terminé et revendique une opposition des patriotes contre les mondialistes »[69].
Sur le plan sociétal, DLF est plutôt conservateur[70] : opposition à l’euthanasie, à la PMA, à la GPA et à l'adoption homoparentale. Le parti souhaite également réduire très fortement l'immigration en France[71].
Debout la France est généralement considéré comme un parti de droite[1],[2],[3], de droite « dure »[72], voire d'extrême droite[4],[5]. Cependant, le 31 janvier 2020, le Conseil d'État contraint le ministre de l’Intérieur à retirer Debout la France du bloc de clivage « extrême droite » dans sa circulaire relative aux élections municipales de 2020 au motif qu'elle « méconnaît le principe d'impartialité »[73],[74].
Programme
Économie

Prônant un « protectionnisme intelligent »[75] et le « produire français »[76], Debout la France propose des mesures dont l'objectif est de relocaliser un million d'emplois sur cinq ans. Il défend l'accord d'un bonus fiscal à destination des entreprises qui produisent et embauchent sur le territoire français[77]. Le parti entend également mettre en place des droits de douane et quotas dont le produit serait affecté au financement de la protection sociale[75].
Debout la France se prononce pour le maintien de l’âge légal de départ à la retraite à 62 ans, mais souhaite passer à un système de points[78],[79].
Nicolas Dupont-Aignan est partisan d’un « État-stratège », qui puisse organiser des coopérations (voiture propre, panneau photovoltaïque de nouvelle génération, géant du numérique, recherche scientifique…) avec des partenaires européens, dans le cadre d'une « Europe des nations et des projets »[80],[81].
Après avoir défendu la fin de l’euro[82], le parti appelle en 2017 à un compromis sur cette question en gardant les « bons côtés » avec une « coordination monétaire » mais aussi de la « souplesse »[83]. Il souhaite donner la possibilité à la Banque de France de monétiser la dette publique[84] et permettre à l'État d'emprunter à taux zéro auprès de la Banque de France[85].
La nationalisation des autoroutes fait partie de ses propositions[86].
Fiscalité

DLF entend réduire les niches fiscales et combattre la fraude fiscale[87],[88]. La lanceuse d'alerte Stéphanie Gibaud, impliquée dans l'affaire UBS, est candidate sur la liste de DLF aux élections européennes de 2019[89].
Le parti demande la création d'un « impôt de citoyenneté » pour les Français établis hors de France[90] et d’une nouvelle tranche d’impôt sur le revenu à 50 % pour les revenus les plus élevés[91]. De plus, il réclame l'alignement de la fiscalité des revenus du capital sur celle des revenus du travail[92].
DLF soutient la création d'une taxe Tobin d’au moins 0,1 % sur toutes les transactions financières avec les États européens volontaires[93].
Institutions
En vue de l'élection présidentielle de 2012, Dupont-Aignan promet la tenue de cinq référendums : sur la sortie de l'euro, sur une réforme de politique pénale, sur une réforme territoriale, sur une réforme de l'Éducation nationale et sur le contrôle des frontières et la régulation de l'immigration[94].
Pour ce qui est de l'organisation territoriale de l'État, le parti souhaite un modèle État-département-commune[95] : il veut donc supprimer les intercommunalités et les conseils régionaux[96]. Il se montre hostile au renforcement de la décentralisation.
DLF demande l'instauration d'une dose de proportionnelle aux élections législatives[97] et du vote obligatoire en contrepartie d'une reconnaissance du vote blanc[98],[99]. Le parti est favorable au cumul des mandats[100]. Il appelle à ce que les personnalités reconnues coupables de corruption soient inéligibles à vie[101].
Société
Agriculture

Le parti demande la restauration des aides directes aux agriculteurs[102] en supprimant la politique agricole commune (PAC) accordée par l'Union européenne[103].
Droit de la famille
En matière sociétale, le parti adopte une ligne assez conservatrice, s'opposant à la légalisation de la PMA (du moins en-dehors des couples hétérosexuels)[104], de la GPA[105], de l'euthanasie active et de l'aide au suicide (sans remise en cause de la loi Leonetti) ou de l'adoption homoparentale[106]. Néanmoins, Nicolas Dupont-Aignan est partisan de la possibilité d'une union civile comme le PACS entre deux personnes de même sexe — plutôt que du mariage pour tous, auquel il manifeste son opposition en 2013[107].
Droits des femmes
Le parti ne se réclame pas du féminisme. Il se dit hostile à la création d'un ministère du Droit des femmes, idée que Nicolas Dupont-Aignan juge « dégradante », et à la loi sur la parité. Il se donne cependant pour objectif l'égalité salariale entre les hommes et les femmes mais veut ainsi supprimer les exonérations de cotisations des entreprises pour le temps partiel[108].
DLF réclame (ce qui est maintenant le cas) que chaque main courante de violences conjugales soit automatiquement communiquée au procureur[109]. De plus, il souhaite que, dans la pratique, il y ait des ouvertures de centres d'hébergement pour les femmes victimes de violences conjugales dans chaque intercommunalité[110].
Justice et police

Il dénonce régulièrement un « laxisme » vis-à-vis des criminels[111]. Face au terrorisme, Nicolas Dupont-Aignan demande la réouverture du bagne de Cayenne[112]. Il défend en 2017 l'isolement des détenus radicalisés aux îles Kerguelen[113] et s'oppose au rapatriement des djihadistes de nationalité française[114].
Environnement
Nicolas Dupont-Aignan demande la fermeture des centrales nucléaires « vieillissantes » situées dans des zones sismiques et le renforcement de la recherche sur les centrales de quatrième génération. Il souhaite un rééquilibrage de la filière énergétique en fonction du coût, de la sûreté et du respect de l’environnement en développant les énergies renouvelables (notamment le solaire)[115]. Le parti demande ainsi la réquisition de Total pour mieux réguler le prix de l'essence et pour qu’une partie de ses bénéfices soit consacrée à la transition énergétique[116]. Il propose aussi un bonus-malus afin de lutter contre les « comportements pollueurs »[117].
Nicolas Dupont-Aignan se présente en partisan des droits des animaux[118]. En revanche, il défend le maintien de la chasse[119]. Il reçoit le soutien de Brigitte Bardot pour avoir demandé que le cheval soit reconnu comme animal de compagnie[120]. Selon le site politique-animaux.fr, Debout la France est le seul parti de la droite française à se positionner « pour les animaux » sur les thématiques les concernant[121].

Politique étrangère
Pour DLF, la France doit sortir de l'OTAN afin de retrouver une politique militaire souveraine[122]. Nicolas Dupont-Aignan s’est opposé à l'intervention de la France en Afghanistan[123], en Irak et en Libye[124],[125].
Il est à noter que DLF ne tient pas des positions pro-israéliennes dans le cadre du conflit israélo-palestinien. En 2014, le parti a soutenu la reconnaissance de l’État de Palestine et a condamné les opérations militaires israéliennes contre le Hamas[126].
Concernant la Russie et la guerre en Ukraine, le parti, quoique n'entretenant pas les liens avec le Kremlin du Rassemblement national, appelle à ne pas entrer en guerre contre la Russie et à se mobiliser pour éviter cette situation[127]. Il différencie cependant cela du soutien à l'Ukraine[128], mais ne défend pas une attitude de mobilisation militaire directe et souhaite un apaisement et un resserrement des relations diplomatiques franco-russes, affirmant la nécessité d'une grande alliance, en faveur de la paix[129]. Nicolas Dupont-Aignan se déclare « totalement neutre » concernant Vladimir Poutine le 26 mars 2024[130].
Logotypes
-
Logotype de DLR en 2005[131].
-
Logotype de DLR de 2012 à 2014.
-
Logo de Debout la France de 2017 à 2022.
-
Logo de Debout la France depuis 2022.
Positionnement stratégique

Sur le plan européen, il est l'allié de l'UKIP de Nigel Farage en Grande-Bretagne, des Grecs indépendants du ministre de la Défense Pános Kamménos en Grèce[132]. En mai 2013, son parti tient un meeting sur l'Europe regroupant des personnalités eurosceptiques (Nigel Farage, Timo Soini, Slavi Binev) issus : de l'UKIP, des Vrais Finlandais, de l'Union nationale Attaque[133].

Par la suite, il a toujours tenu à marquer sa différence avec le FN, évoquant même de possibles listes d'union avec le MRC aux élections européennes de 2014[134]. Debout la République se présentera cependant seul, toutefois allié au niveau européen avec l'UKIP, parti eurocritique[135].
Le parti soutient en 2014 la candidature de Robert Ménard à la mairie de Béziers où ses membres figurent sur sa liste, aux côtés[136]. À l'occasion des européennes de 2014, Nicolas Dupont-Aignan se rapproche d'Éric Zemmour à qui il propose d'être candidat dans la région Ile-de-France avant que ce dernier refuse[137].
Depuis 2014, DLF entretient des liens avec la Ligue du Sud, parti localiste identitaire présidé par le député-maire d'Orange Jacques Bompard. Ce dernier s'étant rattaché à la formation souverainiste pour des raisons financières, Dupont-Aignan a voulu nuancer le positionnement de cet ancien membre du bureau politique du FN : « Bompard n’est pas d’extrême droite, il est de droite »[34]. Lors des départementales de 2015, DLF et la Ligue du Sud ont présenté plusieurs binômes communs dans le Vaucluse et les Alpes-de-Haute-Provence[138].
Après la victoire de SYRIZA en Grèce en 2015, Nicolas Dupont-Aignan n'écarte pas l'hypothèse de participer à un gouvernement mené par le Front de gauche « si c'est pour sauver la France »[139].
Nicolas Dupont-Aignan refuse de participer à la primaire de la droite et du centre dont il qualifie le scénario d'« écrit d'avance »[140]. Entre les deux tours de l'élection présidentielle de 2017, Nicolas Dupont-Aignan conclut une alliance avec Marine Le Pen, qui indique qu'il sera son Premier ministre en cas de victoire. Un accord est également annoncé à cette occasion en vue des législatives : portant d'abord sur 120 circonscriptions, il se réduit rapidement à 50 avant d'être abandonné. Néanmoins, plusieurs cadres de DLF se présentent sous les couleurs du FN à cette occasion : Le Figaro estime que le parti « a été noyauté par des cadres pro-FN », en particulier par une jeune garde proche de celle de Florian Philippot[141]. Ce choix stratégique entérinant un nouveau rapprochement vers l'extrême-droite et le FN et ranchant avec les anciennes déclarations de Dupont-Aignan fustigeant le caractère divisionnaire du FN et opposé à sa volonté de rassembler les Français, ne semble pas avoir d'influence sur les effectifs des adhérents : en janvier 2018, Nicolas Dupont-Aignan indique avoir reçu 5 000 nouvelles adhésions depuis mai 2017, « pour seulement 222 cartes d’adhérent renvoyées »[142].
Structures et fonctionnement
Direction

Le 1er octobre 2019, Nicolas Dupont-Aignan nomme un nouveau bureau national pour Debout la France Les vice-présidents sont Gerbert Rambaud, Anne-Sophie Frigout, Philippe Torre et Cécile Bayle de Jessé. Claude Lévy est nommé trésorier, et Benjamin Cauchy et Jean-Philippe Tanguy sont nommés porte-paroles[143]. À cette équipe viennent s'ajouter les secrétaires et les délégués nationaux ainsi que le président des Jeunes de Debout la France[144],[145].
Le 9 novembre 2019, Dupont-Aignan est réélu président du parti, avec 97,6 % des voix, sans opposition. Les bulletins blancs représent 1,7 % des votes et les nuls 0,7 %. Les électeurs sont au nombre de 8 183, pour 15 632 inscrits[146].
Adhérents
Le parti revendique 15 632 adhérents en novembre 2019, soit 4 500 de moins que l'année précédente[146].
En novembre 2020, Alexandre Loubet commente auprès de Capital : « notre parti » « ne compterait plus que 3 000 adhérents »[62].
Debout les jeunes

Debout les jeunes (DLJ) est le mouvement jeune de Debout la France. Son assemblée générale fondatrice a lieu le 12 septembre 2009, aux universités de rentrées de Debout La République, à Dourdan dans l'Essonne.
Dates | Nom |
---|---|
2009-2011 | Laurent Seurot |
2011-2012 | Bruno Potier[147] |
2012-2015 | Nicolas Calbrix[148] |
2015-2018 | Alexandre Loubet[149] |
2018-2019 | Valentin Rebuffat |
2020 | Alexandre Sabatou |
2020 | Nicolas Dalmasso |
2020-2021 | Marian de Gueiffier |
Depuis 2021 | Yann Poinsenet |
Personnalités
Durant la législature 2017-2022, le parti possède deux députés : Nicolas Dupont-Aignan et José Évrard[150] de 2020 à 2022. Marie-France Lorho, de la Ligue du Sud, y est quant à elle rattachée[151].
Résultats électoraux
Élections présidentielles
Année | Candidat | 1er tour | ||
---|---|---|---|---|
Voix | % | Rang | ||
2012 | Nicolas Dupont-Aignan | 643 907 | 1,79 | 7e |
2017 | 1 695 000 | 4,70 | 6e | |
2022 | 725 176 | 2,06 | 9e |
Élections législatives
Année | 1er tour | 2e tour | Sièges | Gouvernement | ||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Rang | Voix | % | Rang | |||
2012 | 151 935 | 0,59 | 14e | 54 530 | 0,24 | 2 / 577 |
Opposition | |
2017 | 265 451 | 1,17 | 13e | 17 344 | 0,10 | 16e | 1 / 577 |
Opposition |
2022a | 122 780 | 0,54 | 20e | 19 306 | 0,09 | 38e | 1 / 577 |
Opposition |
2024 | 88 432 | 0,28 | 20e | 18 672 | 0,07 | 49e | 0 / 577 |
Extra-parlementaire |
Élections régionales
Année | 1er tour | Conseillers | Présidents | |
---|---|---|---|---|
Voix | % | |||
2010 | 144 942 | 0,74 | 0 / 1749 |
0 / 26 |
2015 | 827 262 | 3,81 | 0 / 1757 |
0 / 17 |
2021 | 94 937 | 0,65 | 2 / 1757 |
0 / 17 |
Élections départementales
Année | 1er tour | 2d tour | Conseillers | Présidents | ||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Rang | Voix | % | Rang | |||
2011 | NC | NC[réf. nécessaire] | NC[réf. nécessaire] | NC | NC[réf. nécessaire] | NC[réf. nécessaire] | 7 / 2026 |
0 / 101 |
2015[43] | NC | 0,40 | 13e | NC | 0,05 | 17e | 5 / 4042 |
0 / 101 |
Élections européennes
Année | Voix | % | Rang | Sièges | Tête de liste |
---|---|---|---|---|---|
2009 | 304 585 | 1,77 | 10e | 0 / 72 |
Circonscriptions interrégionales |
2014 | 724 441 | 3,82 | 7e | 0 / 74 | |
2019 | 795 508 | 3,51 | 7e | 0 / 79 |
Nicolas Dupont-Aignan |
Notes et références
Notes
- ↑ Les députés Nicolas Dupont-Aignan, Yves Jégo, Lionnel Luca, Michel Terrot, René André, et les sénateurs Jean-Claude Étienne, Bernard Fournier et Adrien Gouteyron.
- ↑ Sylvie Perrin est exclue de l'UMP à la suite de sa candidature aux élections européennes de 2004 en deuxième position sur la liste du Mouvement pour la France en Île-de-France.
- ↑ Jacques Bompard, Véronique Besse, Maurice Leroy, Jean-Pierre Decool, Gilles Bourdouleix et Nicolas Dupont-Aignan.
- ↑ Jean-Pierre Chevènement, Philippe Darniche, Alex Türk et Jean-Louis Masson.
Références
- ↑ a et b « Nuances politiques aux municipales: Castaner revoit sa copie », sur france24.com, 4 février 2020 (consulté le 4 février 2020).
- ↑ a b et c Pascal Perrineau (dir.) et Luc Rouban (dir.), La Démocratie de l'entre-soi, Presses de Sciences Po, coll. « Académique », 2017, 224 p. (ISBN 978-2724620504, lire en ligne).
- ↑ a b et c « Debout la France », sur francetvinfo.fr, juin 2017.
- ↑ a et b Eva Mignot, « Au moins 82 députés ont un membre de leur famille engagé dans la vie politique », Le Monde, 28 juin 2017 (lire en ligne, consulté le 18 juillet 2017).
- ↑ a et b « Nicolas Dupont-Aignan écarte Emmanuelle Gave de sa liste aux Européennes en raison d'écrits racistes », sur liberation.fr, 21 février 2019 (consulté le 22 mars 2019).
- ↑ « Elections européennes : Nicolas Dupont-Aignan annonce une liste Debout la France », sur Franceinfo, 18 juin 2023 (consulté le 3 août 2023).
- ↑ a et b (en) Wolfram Nordsieck, « Parties and Elections in Europe », sur parties-and-elections.eu (consulté le 27 janvier 2018).
- ↑ a et b « Qui est Nicolas Dupont-Aignan, le candidat du "gaullisme" », sur Les Echos, 21 avril 2017 (consulté le 20 janvier 2020).
- ↑ « Nicolas Dupont-Aignan (DLF): «Je suis un concurrent, pas un adversaire de Marine Le Pen» », sur L'Opinion, 7 janvier 2019 (consulté le 20 janvier 2020).
- ↑ Christelle Bertr, « Secrets de candidats : l'europhilie inavouable de Nicolas Dupont-Aignan », sur leparisien.fr, 20 avril 2017 (consulté le 20 janvier 2020).
- ↑ (en) Euroscepticism, Cardiff EDC, avril 2015, 21 p. (lire en ligne), p. 18.
- ↑ « Le Pen, Mélenchon, Dupont-Aignan… A chaque eurosceptique son "Frexit" », sur lejdd.fr, 21 juin 2016 (consulté le 18 avril 2018).
- ↑ (en) Gilles Ivaldi, « Crowding the market: the dynamics of populist and mainstream competition in the 2017 French presidential elections », 2018 : « Right-wing populism is also found in the neo-Gaullist and ‘sovereignist’ Debout la France (DLF) led by Nicolas Dupont-Aignan », p. 6.
- ↑ « Quand le vice-président du parti souverainiste Debout la France semble regretter le temps des colonies », sur lelab.europe1.fr, 8 novembre 2015 (consulté le 18 avril 2018).
- ↑ « Élections européennes : Nicolas Dupont-Aignan prend la tête de sa propre liste », sur Marianne, 23 septembre 2018 (consulté le 31 octobre 2019).
- ↑ (en) « France election: Marine Le Pen would make Dupont-Aignan PM », sur BBC News, 29 avril 2017.
- ↑ a b et c Maxime Macé et Pierre Plottu, « Législatives: complotistes et anti-pass auront leurs candidats », sur Libération, 7 mai 2022 (consulté le 8 mai 2022).
- ↑ « Nicolas Dupont-Aignan quitte l'UMP », Le Monde, 13 janvier 2017 (lire en ligne [html], consulté le 24 avril 2018).
- ↑ « Nicolas Dupont-Aignan votera pour Nicolas Sarkozy », L'Obs, 4 mai 2007 (lire en ligne [html], consulté le 24 avril 2018).
- ↑ Sophie Huet, « Dupont-Aignan : « Dépasser les clivages » », le Figaro, 20 septembre 2008 (lire en ligne, consulté le 15 mai 2015).
- ↑ Debout la République, « Élections européennes 2009 », debout-la-france.fr, 26 mai 2014 (lire en ligne [archive du 28 avril 2015], consulté le 16 mai 2015).
- ↑ « Le Conseil National de DLR décide que le rassemblement gaulliste participera aux élections régionales de mars prochain », le Post, 29 novembre 2009 (lire en ligne [archive du 19 mai 2015], consulté le 18 mai 2015).
- ↑ Ministère de l'Intérieur, « Résultats des élections régionales 2010 - Haute-Normandie », sur interieur.gouv.fr, 21 mars 2010 (consulté le 15 mai 2015).
- ↑ Ministère de l'Intérieur, « Résultats des élections régionales 2010 - Île-de-France », sur interieur.gouv.fr, 21 mars 2010 (consulté le 15 mai 2015).
- ↑ Ministère de l'Intérieur, « Résultats des élections régionales 2010 - Lorraine », sur interieur.gouv.fr, 21 mars 2010 (consulté le 15 mai 2015).
- ↑ « Élections régionales 2010 », debout-la-france.fr, mars 2010 (lire en ligne [archive du 21 avril 2015], consulté le 15 mai 2015).
- ↑ Jim Jarrassé, « Dupont-Aignan à Athènes : «Vive la Grèce libre !» » [php], sur Le Figaro, 24 juin 2011 (consulté le 21 mars 2016).
- ↑ Guillaume Perrault, « Nicolas Dupont-Aignan candidat pour 2012 », le Figaro, 21 novembre 2010 (lire en ligne, consulté le 15 mai 2015).
- ↑ « Parrainages : le record de Nicolas Dupont-Aignan » [php], sur Le Point, 14 mars 2012 (consulté le 4 mars 2017).
- ↑ « Dupont-Aignan candidat en 2012 pour la «souveraineté» de la France », Libération, 21 novembre 2010 (lire en ligne, consulté le 15 mai 2015).
- ↑ « Résultats de l'élection présidentielle 2012 : France entière » [html], sur Ministère de l'Intérieur (consulté le 29 avril 2012).
- ↑ [PDF] Rattachement des Députés à un parti ou un groupement politique dans le cadre de la législation sur le financement de la vie politique, Assemblée nationale, 2012, 12 p. (lire en ligne).
- ↑ Sébastien Tronche, « Pourquoi Lionnel Luca s'est rattaché à Debout la République de Dupont-Aignan », sur Le Lab Europe 1, 6 décembre 2012 (consulté le 16 mai 2015).
- ↑ a et b Laure Equy, « Pourquoi Bompard est-il rattaché au parti de Dupont-Aignan à l'Assemblée ? »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur Libération, 5 décembre 2014.
- ↑ Pierre Januel, « Les curiosités du rattachement financier », l'Express, 11 décembre 2013 (lire en ligne, consulté le 15 mai 2015).
- ↑ « Dupont-Aignan lance 300 candidats dans la bataille des législatives », Le Monde, 22 mai 2012 (lire en ligne, consulté le 4 mars 2017).
- ↑ « Législatives : voici la liste des candidats investis par Debout la France »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur debout-la-france.fr, 19 mai 2017 (consulté le 11 juin 2017).
- ↑ « Législatives: Debout la France va opposer des candidats au Front national », LExpress.fr, 13 mai 2017 (lire en ligne, consulté le 14 mai 2017).
- ↑ « Debout la République devient "Debout la France" », sur Le Point, 12 octobre 2014 (consulté le 10 novembre 2015).
- ↑ a et b « Européennes : Dupont-Aignan et Nouvelle Donne tirent leur épingle du jeu », le Parisien, 25 mai 2014 (lire en ligne, consulté le 16 mai 2015).
- ↑ a et b « Municipales 2014 : Debout la République en lice dans 132 communes »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur rtl.fr, 4 mars 2014 (consulté le 16 mai 2015).
- ↑ « Départementales 2015 : Debout la France présente des candidats dans 156 cantons », le Point, 4 mars 2015 (lire en ligne, consulté le 16 mai 2015).
- ↑ a et b Ministère de l'Intérieur, « Résultats des élections départementales 2015 - France entière », sur interieur.gouv.fr, 29 mars 2015 (consulté le 16 mai 2015).
- ↑ Debout la France, « Debout la France a officialisé ses chefs de file pour les élections Régionales », debout-la-france.fr, 11 avril 2015 (lire en ligne, consulté le 16 mai 2015).
- ↑ « Régionales : pourquoi Debout la France pourrait être l'arbitre du second tour », sur Le Figaro, 11 décembre 2015.
- ↑ « Debout la France ne donnera aucune consigne de vote à l’occasion du 2d tour des élections régionales », sur debout-la-france.fr, 7 décembre 2015.
- ↑ Louis Hausalter, « Voici ce qu’il reste de Debout la France après le ralliement de Nicolas Dupont-Aignan à Marine Le Pen », sur marianne.net, 2 mai 2017 (consulté le 5 mai 2017).
- ↑ a et b Raphaëlle Bacqué et Olivier Faye, « La dernière tentation de Nicolas Dupont-Aignan », Le Monde, 24 mai 2017 (lire en ligne, consulté le 26 mai 2017).
- ↑ Louis, « Le FN et Nicolas Dupont-Aignan rompent leur alliance », sur lepoint.fr, 13 mai 2017 (consulté le 15 mai 2017).
- ↑ Lucas Burel et Paul Laubacher, « Nicolas Dupont-Aignan, l'homme qui y croit encore », sur tempsreel.nouvelobs.com, 29 octobre 2017 (consulté le 30 octobre 2017).
- ↑ Anne-Laëtitia Béraud, « "Les amoureux de la France", la plateforme anti-Macron qui rêve d'une "union des droites" hors partis" », 20minutes.fr, 25 octobre 2017 (lire en ligne).
- ↑ « “Les Amoureux de la France” : Dupont-Aignan lance une plateforme participative », sur valeursactuelles.com, 17 septembre 2017.
- ↑ « Nicolas Dupont-Aignan crée un second parti pour les européennes », sur La Lettre A.fr, 21 novembre 2018 (consulté le 2 décembre 2018).
- ↑ « Européennes : Nicolas Dupont-Aignan écarte une candidate après des propos controversés », sur Europe 1 (consulté le 31 octobre 2019).
- ↑ « Nicolas Dupont-Aignan : le ras-le-bol des militants de Debout la France », sur RTL.fr (consulté le 31 octobre 2019).
- ↑ Quentin Laurent, « Européennes : Dupont-Aignan présente sa liste… sans Jean-Frédéric Poisson », sur leparisien.fr, 28 mars 2019 (consulté le 31 octobre 2019).
- ↑ a et b Élodie Forêt, « Places éligibles limitées, finances réduites... les galères de Nicolas Dupont-Aignan pour les européennes », sur franceinter.fr, 28 mars 2019 (consulté le 31 octobre 2019).
- ↑ https://www.ifop.com/wp-content/uploads/2018/12/116044-Rapport.pdf
- ↑ « Proclamation des résultats de l'élection des représentants au Parlement européen », Journal officiel de la République française, no 125, 30 mai 2019 (lire en ligne).
- ↑ a et b « Un vice-président de Debout la France démissionne et dénonce « l'ego surdimensionné » de Dupont-Aignan », sur bfmtv.com, 6 septembre 2019 (consulté le 20 janvier 2020).
- ↑ « Une soixantaine de cadres de Debout la France rejoignent l’orbite du Rassemblement national », sur lemonde.fr, 2 décembre 2020.
- ↑ a et b « Nicolas Dupont-Aignan vire les deux assistants parlementaires qui l’ont critiqué dans la presse », sur capital.fr, 30 novembre 2020 (consulté le 24 décembre 2020).
- ↑ Franck Johannès, « Debout la France, le parti de Nicolas Dupont-Aignan, au bord du naufrage », sur lemonde.fr, 14 décembre 2020 (consulté le 27 février 2021).
- ↑ « Les dissidents de Nicolas Dupont-Aignan rejoignent Marine Le Pen », sur lemonde.fr, 23 mars 2021 (consulté le 26 mars 2021).
- ↑ a et b Lucas Hélin, « Démissions dans l'équipe de Nicolas Dupont-Aignan », sur lopinion.fr, 20 décembre 2021 (consulté le 15 janvier 2022).
- ↑ Sylvain Chazot, « Toujours plus seul, Nicolas Dupont-Aignan perd son porte-parole »
, sur Libération, 4 janvier 2022 (consulté le 23 février 2022).
- ↑ Étienne Gless et Corinne Moriou, « Abandonner l'euro afin de doper les exportations » : Nicolas Dupont Aignan, Debout la République », L'Express, 24 janvier 2012 (lire en ligne).
- ↑ « Dupont-Aignan dit non à "l'UMPS" et au FN », sur lexpress.fr, 5 octobre 2013 (consulté le 21 août 2016).
- ↑ « La seule différence entre Dupont-Aignan et le FN, c'est... », sur Le Huffington Post, 4 octobre 2013 (consulté le 15 mars 2016).
- ↑ « Debout La République, toute l'actualité sur le parti de Nicolas Dupont-Aignan », sur francetv info (consulté le 11 décembre 2015).
- ↑ « Nicolas Dupont-Aignan pour un "patriotisme serein" », Le Monde, 12 mars 2012 (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le 6 avril 2016).
- ↑ Barthélémy Philippe, « Le Pen, Wauquiez, Dupont-Aignan... pourquoi la droite "dure" n'est pas prête à s'entendre face à Macron ? », sur Capital.fr, 11 janvier 2019 (consulté le 20 janvier 2020).
- ↑ « Conseil d'État, 31 janvier 2020, attribution des nuances politiques aux candidats aux élections municipales »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur conseil-etat.fr, 31 janvier 2020 (consulté le 20 septembre 2020).
- ↑ « Circulaire relative à l'attribution des nuances politiques aux candidats aux élections municipales et communautaires des 15 et 22 mars 2020 », sur legifrance.gouv.fr, 4 février 2020 (consulté le 20 septembre 2020).
- ↑ a et b « Dupont-Aignan défend un "protectionnisme intelligent" », le Point, 13 avril 2012 (lire en ligne, consulté le 18 mai 2015).
- ↑ « Nicolas Dupont-Aignan veut favoriser le « made in France » » (consulté le 29 mai 2015).
- ↑ « Nicolas Dupont-Aignan souhaite un "bonus fiscal pour les entreprises" », sur rtl.fr (consulté le 25 octobre 2019).
- ↑ « #DirectPolitique. Dupont-Aignan veut augmenter les petites retraites » (consulté le 15 mai 2015).
- ↑ « Comment Dupont-Aignan compte financer les retraites » [vidéo], sur 20minutes.fr, 24 février 2015 (consulté le 10 novembre 2015).
- ↑ « Qui est Nicolas Dupont-Aignan, le candidat du "gaullisme" », sur lesechos.fr, 21 avril 2017 (consulté le 23 octobre 2019).
- ↑ « Dupont-Aignan défend une Europe "des nations et des projets" », sur Le Point, 8 avril 2019 (consulté le 23 octobre 2019).
- ↑ « Nicolas Dupont-Aignan : le souverainiste anti-euro », Le Monde, 21 avril 2012 (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le 15 mai 2015).
- ↑ « Nicolas Dupont-Aignan dit avoir "évolué" sur l'euro, et souhaite "en garder les bons côtés" », sur France Bleu, 16 mars 2017 (consulté le 23 octobre 2019).
- ↑ « Dupont-Aignan veut renégocier la dette française », sur Le Figaro (consulté le 15 mai 2015).
- ↑ « Nicolas Dupont-Aignan: son programme économique », sur lexpress.fr, 19 mars 2012 (consulté le 10 novembre 2015).
- ↑ « Dupont-Aignan veut nationaliser les autoroutes », sur Le Figaro (consulté le 20 mai 2015).
- ↑ « Dupont-Aignan contre le bouclier fiscal », sur Le Figaro (consulté le 28 mai 2015).
- ↑ « Nicolas Dupont-Aignan », sur controverses.ensmp.fr (consulté le 28 mai 2015).
- ↑ « Européennes : la lanceuse d'alerte d'UBS sur la liste Dupont-Aignan », sur Europe 1 (consulté le 23 octobre 2019).
- ↑ « Les propositions de Nicolas Dupont-Aignan pour les Français expatriés » [archive du 3 mars 2016], sur lepetitjournal.com (consulté le 28 mai 2015).
- ↑ « Dupont-Aignan : « Il faut mettre une laisse au cou du patron de Total » [archive du 28 mai 2015], sur Challenges (consulté le 28 mai 2015).
- ↑ Fiscalité : ce que proposent les candidats (lire en ligne).
- ↑ « Les propositions économiques de Dupont-Aignan sont-elles crédibles ? »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le 20 mai 2015).
- ↑ « Dupont-Aignan présente son parti renommé comme « seule alternative crédible » pour 2017 », sur LExpress.fr, 12 octobre 2014 (consulté le 6 mai 2016).
- ↑ « Aménagement et développement territorial : les positions de Nicolas Dupont-Aignan | Actualités du CNER | Actualités | Accueil - CNER », sur cner-france.com (consulté le 20 mai 2015).
- ↑ Fabien Fournier, « Nicolas Dupont-Aignan veut supprimer les conseils régionaux », sur lyoncapitale.fr (consulté le 20 mai 2015).
- ↑ « Une dose de proportionnelle aux législatives : qu'en disent les candidats? » (consulté le 20 mai 2015).
- ↑ « Nicolas Dupont-Aignan veut rendre le vote obligatoire »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur lcp.fr, 3 avril 2012 (consulté le 20 mai 2015).
- ↑ « Campagne pour la reconnaissance du vote blanc », sur midilibre.fr (consulté le 20 mai 2015).
- ↑ « Nicolas Dupont-Aignan, cumulard et "fier de l'être" » (consulté le 20 mai 2015).
- ↑ « Les réponses de Nicolas Dupont-Aignan, candidat Debout la République »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur transparency-france.org (consulté le 20 mai 2015).
- ↑ « Nicolas Dupont-Aignan : non-assistance à paysans en danger! », sur Le Figaro (consulté le 29 mai 2015).
- ↑ « Dupont-Aignan: l'UE ne finance pas l'agriculture », sur Le Figaro (consulté le 29 mai 2015).
- ↑ « PMA : Nicolas Dupont-Aignan déplore sa légalisation de fait pour les couples de même sexe »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur debout-la-france.fr, 16 avril 2015 (consulté le 19 mai 2015).
- ↑ « Nicolas Dupont Aignan sur la GPA : "le gouvernement n'est plus maître chez lui" - Replay », sur europe1.fr, 5 octobre 2014 (consulté le 19 mai 2015).
- ↑ « Nicolas Dupont-Aignan : "Je suis hostile à l'adoption des couples homosexuels" », sur alliancevita.org, 6 avril 2012 (consulté le 19 mai 2015).
- ↑ « Dupont-Aignan défend «l'union civile» pour les homos », sur Libération.fr, 15 janvier 2013 (consulté le 19 mai 2015).
- ↑ « Nicolas Dupont-Aignan répond à ELLE » (consulté le 24 mai 2015).
- ↑ Patrick Roger, « Nicolas Dupont-Aignan : « arrêtons de parler d'égalité, agissons » », Le Monde, 8 mars 2012 (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le 24 mai 2015).
- ↑ « Dupont-Aignan propose 7 mesures pour "changer la vie des femmes" » (consulté le 24 mai 2015).
- ↑ « Nicolas Dupont-Aignan fait l'éloge de la prison contre «le laxisme» de Christiane Taubira », sur 20minutes.fr (consulté le 20 mai 2015).
- ↑ « Nicolas Dupont-Aignan propose de «rouvrir Cayenne» pour les djihadistes français », sur Le Figaro (consulté le 20 mai 2015).
- ↑ « Dupont-Aignan veut envoyer les djihadistes dans un «bagne» aux Kerguelen », sur 20minutes.fr (consulté le 25 octobre 2019).
- ↑ « Pour Dupont-Aignan, les jihadistes français en Irak: « ne sont plus français et leurs enfants doivent rester à-bas » », sur BFMTV (consulté le 25 octobre 2019).
- ↑ « Nicolas Dupont-Aignan favorable à une nationalisation de l’énergie » (consulté le 29 mai 2015).
- ↑ « Nicolas Dupont-Aignan veut réquisitionner Total et faire baisser le prix de l'essence » (consulté le 29 mai 2015).
- ↑ « Nicolas Dupont-Aignan sur le développement durable », sur caradisiac.com (consulté le 4 juin 2015).
- ↑ « Positions de Nicolas Dupont-Aignan sur la condition-animale », sur l214.com (consulté le 29 mai 2015).
- ↑ « Dupont-Aignan : plus de remise en cause de la chasse », sur politique-animaux.fr (consulté le 29 mai 2015).
- ↑ « Dupont-Aignan veut donner au cheval le statut d'animal de compagnie: soutien de Brigitte Bardot » (consulté le 29 mai 2015).
- ↑ « Partis politiques et animaux », sur politique-animaux.fr (consulté le 6 novembre 2016).
- ↑ « Politique étrangère : ce qu'en dit Nicolas Dupont-Aignan », sur L'Obs (consulté le 28 mai 2015).
- ↑ « Afghanistan: un "fiasco" pour Dupont-Aignan », sur 20minutes.fr (consulté le 28 mai 2015).
- ↑ « Vote sur l'intervention en Libye : Dupont-Aignan se bâillonne » (consulté le 28 mai 2015).
- ↑ « Nicolas Dupont-Aignan : "En Libye, on est parti dans un engrenage dramatique pour la France" »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le 28 mai 2015).
- ↑ (en-US) « Le Pen’s PM pick blasted Israel during Gaza war, equated Netanyahu with Hamas », sur timesofisrael.com (consulté le 19 mars 2022).
- ↑ Debout La France, « Appel à la mobilisation contre la guerre avec la Russie ! », sur Debout La France, 29 février 2024 (consulté le 21 octobre 2024)
- ↑ Rédaction Debout la France, « "On passe d'un soutien à l'Ukraine à un conflit avec la Russie !" • Public Sénat, 13/03/24 », sur Debout La France, 13 mars 2024 (consulté le 21 octobre 2024)
- ↑ « «Nous devons avoir une grande alliance avec la Russie», estime Nicolas Dupont-Aignan », sur Europe 1, 13 septembre 2024 (consulté le 21 octobre 2024)
- ↑ « Guerre en Ukraine : face à Vladimir Poutine, «Je suis totalement neutre», assure Nicolas Dupont-Aignan », sur Europe 1, 26 mars 2024 (consulté le 21 octobre 2024)
- ↑ « Debout la République DLR », sur france-politique.fr (consulté le 24 avril 2018).
- ↑ « Grecs indépendants : un parti souverainiste anti-immigration allié de circonstance de Syriza », sur huffingtonpost.fr, 26 janvier 2015.
- ↑ « Elections européennes: Dupont-Aignan rêve du modèle Ukip », sur lexpress.fr, 25 mai 2013.
- ↑ Rémi Noyon, « Belfort avant les européennes : à quoi joue donc Chevènement ? », sur Rue89, 28 mars 2014.
- ↑ « Élections européennes : Dupont-Aignan rêve du modèle Ukip », sur lexpress.fr, 25 mai 2013.
- ↑ « Béziers : pour Nicolas Dupont-Aignan, "Ménard, c’est Jeanne d’Arc !" », sur MidiLibre.fr.
- ↑ « Européennes : Dupont-Aignan a proposé à Zemmour d'être candidat », sur leparisien.fr, 11 mai 2017.
- ↑ Laurent de Boissieu, « Debout la France - Ligue du Sud: le paradoxe de Nicolas Dupont-Aignan », sur ipolitique.fr, 13 mars 2015.
- ↑ « Nicolas Dupont-Aignan prêt à s’allier avec le front de Gauche et Jean-Luc Mélenchon "si c’est pour sauver la France" », sur lelab.europe1.fr, 26 janvier 2015 (consulté le 29 août 2016).
- ↑ Tristan Quinault Maupoil, « Nicolas Dupont-Aignan ne participera pas à la primaire UMP », sur Le Figaro, 7 avril 2015.
- ↑ Marc de Boni, « Comment Debout La France a été noyauté par des cadres pro-FN », sur lefigaro.fr, 19 mai 2017 (consulté le 18 juillet 2017).
- ↑ Lucie Delaporte et Loup Espargilière, « Union des droites, la nébuleuse radicale en pleine effervescence », sur Mediapart, 24 janvier 2018 (consulté le 24 janvier 2018).
- ↑ « Nicolas Dupont-Aignan nomme un quatuor de vice-présidents », sur L'Opinion, 5 septembre 2019 (consulté le 14 octobre 2019).
- ↑ Debout la France, « Équipe dirigeante »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur debout-la-france.fr (consulté le 19 mai 2015).
- ↑ Debout la France, « Statuts et Règlement Intérieur »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur debout-la-france.fr (consulté le 19 mai 2015).
- ↑ a et b « Nicolas Dupont-Aignan réélu à la tête de Debout la France », sur L'Express, 9 novembre 2019 (consulté le 9 novembre 2019).
- ↑ Bruno Potier, « Universités de rentrées de DLR et DLJ » [archive du 4 septembre 2013], sur debout-les-jeunes.fr, 15 septembre 2011.
- ↑ Bruno Potier, « Nicolas Calbrix élu Président de Debout les jeunes ! » [archive du 4 septembre 2013], sur debout-les-jeunes.fr, 15 septembre 2012.
- ↑ Quentin Pérez de Tudela, « Jeunes en campagne. Alexandre Loubet appelle à se mettre Debout », sur ouest-france.fr, 24 mars 2017 (consulté le 25 octobre 2019).
- ↑ José Évrard, « Pourquoi j'ai adhéré à Debout La France », sur Debout la France, 1er décembre 2020 (consulté le 2 décembre 2020).
- ↑ « Rattachement des députés à un parti ou un groupement politique dans le cadre de la législation sur le financement de la vie politique pour 2020 », sur Assemblée nationale (consulté le 5 juin 2020).