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Pascale Boistard — Wikipédia

  • ️Thu Feb 11 2016

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Pascale Boistard
Illustration.
Pascale Boistard en 2014.
Fonctions
Secrétaire d'État chargée des Personnes âgées et de l'Autonomie
11 février 201610 mai 2017
(1 an, 2 mois et 29 jours)
Président François Hollande
Premier ministre Manuel Valls
Bernard Cazeneuve
Ministre Marisol Touraine
Gouvernement Valls II
Cazeneuve
Prédécesseur Laurence Rossignol
Successeur Brigitte Bourguignon (indirectement, Autonomie)
Secrétaire d'État chargée des Droits des femmes
26 août 201411 février 2016
(1 an, 5 mois et 16 jours)
Président François Hollande
Premier ministre Manuel Valls
Ministre Marisol Touraine
Gouvernement Valls II
Prédécesseur Najat Vallaud-Belkacem (ministre)
Successeur Laurence Rossignol (ministre)
Députée française
1820 juin 2017
(2 jours)
Circonscription 1re de la Somme
Législature XIVe (Cinquième République)
Groupe politique NI
Prédécesseur Pascal Demarthe
Successeur François Ruffin
20 juin 201226 septembre 2014
(2 ans, 3 mois et 6 jours)
Élection 17 juin 2012
Circonscription 1re de la Somme
Législature XIVe (Cinquième République)
Groupe politique SRC
Prédécesseur Maxime Gremetz (indirectement)
Successeur Pascal Demarthe
Biographie
Date de naissance 4 janvier 1971 (54 ans)
Lieu de naissance Mont-de-Marsan (Landes)
Nationalité française
Parti politique PS
Diplômée de université Paris VIII
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Pascale Boistard, née le 4 janvier 1971 à Mont-de-Marsan, est une femme politique française.

Élue députée de la Somme en 2012, elle est nommée secrétaire d'État chargée des droits des femmes du gouvernement Valls II le 26 août 2014, puis secrétaire d'État chargée des Personnes âgées et de l'Autonomie le 11 février 2016.

Après l'obtention de son baccalauréat A1 (lettres), elle fait ses études à l'université Paris VIII.

Elle est titulaire d'un DEA en sciences politiques spécialisé dans les institutions européennes ; elle écrit deux mémoires sur le sujet : « le principe de subsidiarité dans la construction politique européenne » et « L'Europe sécuritaire ». Elle adhère au Parti socialiste en 1997.

Elle a été la collaboratrice de Gaëtan Gorce (député PS de la Nièvre, rapporteur des deux lois sur les 35 heures) et conseillère technique chargée des relations avec les élus de Jean-Luc Mélenchon lorsqu'il était ministre de l'enseignement professionnel[1] (elle rompt par la suite politiquement avec lui[2]). Elle participe en 2003 à la création de l'association Les Temps nouveaux. En 2004, elle est candidate sur la liste des européennes du Parti socialiste de la circonscription Île-de-France.

Lors du congrès du Mans en 2005, elle est l'auteur d'une contribution thématique intitulée : « l'éducation populaire pour une citoyenneté éclairée ». Membre du bureau national du parti socialiste depuis novembre 2005 et secrétaire nationale adjointe aux élections depuis septembre 2007, elle obtient en 2006 la suspension du parti de Georges Frêche pour deux années[3], à la suite de ses propos sur les harkis[4]. En janvier 2010 concernant les propos de M. Frêche à l'égard de Laurent Fabius elle déclare : « Les propos de Georges Frêche sur un homme d'État de la dimension de Laurent Fabius rappellent les heures les plus sombres de notre Histoire[5]. »

Auprès de Laurent Fabius, elle est chargée du suivi des questions électorales en lien avec Claude Bartolone et Guillaume Bachelay. Elle écrit quelques éditoriaux sur le site internet de l'association « La république pour tous ».

En décembre 2008 lors du congrès de Reims, elle est nommée par Martine Aubry secrétaire nationale à l'organisation et aux adhésions du parti socialiste. En septembre 2010, elle met en place la direction collégiale qu'elle préside[6] dans la fédération du parti socialiste de l'Hérault : « Mon rôle est de pacifier cette fédération[7],[8]. »

Lors des élections municipales de mars 2008, elle est élue dans le 11e arrondissement de Paris et devient adjointe au maire de Paris chargée de l'intégration et des étrangers non communautaires. En 2010, elle met en place la nouvelle assemblée des citoyens parisiens extracommunautaires[9]. En 2011, elle est l'auteur d'un rapport sur la politique d'intégration du conseil régional d'Île-de-France[10],[11].

Elle quitte son mandat et ses fonctions après son élection à la députation.

Elle est investie par le Parti socialiste aux élections législatives de juin 2012 dans la première circonscription de la Somme (Amiens nord-Abbeville). Dans cette circonscription très marquée à gauche, elle arrive largement en tête du premier tour devant le candidat UMP, Stéphane Decayeux, avec 32,83 % des suffrages exprimés. Elle l'emporte au second tour le 17 juin 2012, avec 59,14 % des voix. Elle succède, dans une circonscription découpée différemment, à Maxime Gremetz qui ne se représentait pas et dont le siège était vacant depuis sa démission le 17 mai 2011.

Au Palais Bourbon, elle siège à la commission des Affaires étrangères dont elle est élue secrétaire.

En septembre 2014, elle se voit accusée d'avoir employé fictivement sa sœur à l'Assemblée nationale. Catherine Boistard, est embauchée en septembre 2012 pour une durée de deux mois indemnisés 4 000 . Pourtant, les collaborateurs de Pascale Boistard assurent ne jamais avoir vu à l'Assemblée la sœur de Pascale Boistard résidant à Angoulême.

Durant cette même période, elle est accusée par ses ex-collaborateurs de harcèlement et visée par une plainte au tribunal de grande instance de Paris[12].

Le 16 novembre 2012, elle est élue secrétaire fédérale du PS de la Somme avec 505 voix soit 60 % du vote des militants[13] après une élection marqué par des divisions internes et des reproches de « parachutage »[14].

Lors de l'élection régionale de 2015 en Nord-Pas-de-Calais-Picardie, elle figure en deuxième place de la liste socialiste de la Somme[15] qui recueille 18,12 % des votes au premier tour et renonce à se présenter au second.

Candidate à sa réélection lors des élections législatives de 2017, elle est battue dès le premier tour se classant cinquième avec 7,06 % des voix[16]. Pour le second tour, elle appelle à voter pour le candidat FI François Ruffin[17].

Le 26 août 2014, elle est nommée secrétaire d'État chargée des Droits des femmes dans le gouvernement Manuel Valls II[18].

Le 2 mars 2015, elle se déclare favorable à l'interdiction du port du voile islamique à l'université[19].

Elle lance la politique gouvernementale en faveur de la lutte contre le harcèlement sexiste et les violences sexuelles dans les transports en commun, avec l'annonce d'un plan gouvernemental le 9 juillet 2015[20].

Le 11 février 2016, elle est nommée secrétaire d'État chargée des Personnes âgées et de l'Autonomie.

Pendant la primaire citoyenne de 2017, elle soutient Manuel Valls[21].

Dans un article du 20 novembre 2014, le magazine Marianne épingle Pascale Boistard pour avoir été rémunérée plus de 7 500 euros par le conseil régional d'Île-de-France pour la rédaction d'un rapport de trente pages sur la politique d'intégration de la région en 2011. Soupçonnant un rapport de complaisance, notamment parce que Pascale Boistard y vantait en tant qu'experte les actions de la ville de Paris en la matière alors qu'elle était adjointe au maire chargée des questions d'intégration, le magazine pointe la faiblesse du contenu du rapport et l'absence de délibération et d'actions concrètes à la suite de la présentation de ce dernier. Dans un droit de réponse, Jean-Paul Huchon, président du conseil régional d'Île-de-France, a rappelé la qualité d'experte de Pascale Boistard sur les questions d'intégration et a énuméré les actions entreprises par la région à la suite de la présentation du rapport[22].

Valérie Pécresse, présidente du groupe UMP du conseil régional d'Île-de-France, a dénoncé ce rapport et l'utilisation de l'argent public « au bénéfice d'élus de gauche et pour financer leurs activités »[23].

En octobre 2016, Pascale Boistard est épinglée pour la fréquence de ses déplacements ministériels dans sa première circonscription de la Somme en vue d'assurer sa réélection en 2017. Il lui est reproché des déplacements éloignés de ses prérogatives de ministre chargée des Personnes âgées et de l'Autonomie[24].

  1. Éducation nationale ; Ministères et secrétariat d’État délégués ; Ministère délégué à l'enseignement professionnel.
  2. Arthur Nazaret, « Comment Mélenchon s'est constitué un "commando" de fidèles », lejdd.fr, 3 octobre 2017.
  3. La Croix du 28 février 2006 : « Georges Frêche suspendu ».
  4. Jean Luc Mélenchon le 28 janvier 2007 : « Les complices de Frêche à la tête de la fédération socialiste de l’Héraut se vengent de son exclusion ».
  5. Le Nouvel Observateur du 1er février 2010 : « Les réactions aux propos de Georges Frêche ».
  6. Le Figaro du 29 septembre 2010 : « Le PS reprend en main le fief de Frêche ».
  7. Midi Libre du 5 octobre 2010 : « Hérault - L'envoyée du PS venue en mission de paix ».
  8. Midi Libre du 11 octobre 2010 : « Montpellier - Pascale Boistard veut les clés de la fédé ».
  9. Le Parisien du 6 février 2010 : « Une assemblée de 106 représentants »
  10. « La secrétaire d'État aux Droits des femmes épinglée pour son "maigre" rapport grassement payé », metronews.fr, 20 novembre 2014
  11. « Le très cher rapport de la secrétaire d’État aux Droits des femmes », marianne.net, 20 novembre 2014
  12. Aziz Zemouri, « La secrétaire d'État Pascale Boistard employait-elle fictivement sa soeur ? », Le Point,‎ 27 septembre 2014 (lire en ligne, consulté le 3 janvier 2017).
  13. « Pascale Boistard prend la tête de la fédération socialiste », sur www.letelescope.info (consulté le 3 janvier 2017).
  14. « PS : la méthode Boistard fait grincer quelques dents », sur www.letelescope.info (consulté le 3 janvier 2017).
  15. Mariana Grépinet, « Régionales - Sept ministres montent au feu », Paris Match, semaine du 22 au 28 octobre 2015, page 41.
  16. « Ces personnalités balayées dès le premier tour », lefigaro.fr, 11 juin 2017.
  17. « Dans la Somme, Boistard du PS appelle à voter Ruffin de LFI », lexpress.fr, 12 juin 2017.
  18. Louis Thomas, « Pascale Boistard secrétaire d'État chargée des droits des femmes », Les Échos, 26 août 2014 (consulté le 26 août 2014).
  19. Lilian Alemagna, « Interdiction du voile à l'université: la ministre Boistard s'avance », liberation.fr, 2 mars 2015.
  20. « Violences contre les femmes dans les transports: le gouvernement dévoile son plan anti-harcèlement », Le Huffington Post,‎ 9 juillet 2015 (lire en ligne, consulté le 30 octobre 2018).
  21. « Primaire de la gauche : pour qui votent les ministres? », sur Le Journal du dimanche (consulté le 3 septembre 2020).
  22. Emmanuel Lévy, « Le très cher rapport de la secrétaire d’Etat aux Droits des femmes », sur Marianne (consulté le 15 octobre 2015).
  23. « Île-de-France : l'UMP dénonce le très cher rapport commandé à Pascale Boistard », sur Le Figaro (consulté le 15 octobre 2015).
  24. « Pascale Boistard profite de ses déplacements ministériels pour faire campagne pour les législatives, dénoncent plusieurs élus locaux - Le Lab Europe 1 », Europe 1,‎ 12 octobre 2016 (lire en ligne, consulté le 4 novembre 2016).

v · m

Gouvernement Manuel Valls II (25 août 2014 – 6 décembre 2016) jusqu'au remaniement du 11 février 2016

Sous la présidence de François Hollande
Affaires étrangères et Développement international
Laurent Fabius
Secrétaire d'État chargé des Affaires européennes : Harlem Désir
Secrétaire d'État chargée du Développement et de la Francophonie : Annick Girardin
Secrétaire d'État chargé du Commerce extérieur, de la Promotion du tourisme et des Français de l'étranger : Thomas Thévenoud (dém) (1) puis Matthias Fekl (1)

Manuel Valls
Premier ministre
Écologie, Développement durable et Énergie
Ségolène Royal
Secrétaire d'État chargé des Transports, de la Mer et de la Pêche : Alain Vidalies
Éducation nationale, Enseignement supérieur
et Recherche
Najat Vallaud-Belkacem
Secrétaire d'État chargé de l'Enseignement supérieur et de la Recherche : Geneviève Fioraso (dém) (3) puis Thierry Mandon (4)
Justice, garde des sceaux Christiane Taubira (dém) (6) puis Jean-Jacques Urvoas (6)
Finances et Comptes publics
Michel Sapin
Secrétaire d'État chargé du Budget : Christian Eckert
Défense
Jean-Yves Le Drian
Secrétaire d'État chargé des Anciens Combattants et de la Mémoire : Kader Arif (dém) (2) puis Jean-Marc Todeschini (2)
Affaires sociales, Santé et Droits des femmes
Marisol Touraine
Secrétaire d'État chargée de la Famille, des Personnes âgées et de l'Autonomie puis secrétaire d'État chargée de la Famille, de l'Enfance, des Personnes âgées et de l'Autonomie (4) : Laurence Rossignol
Secrétaire d'État chargée des Personnes handicapées et de la Lutte contre l'exclusion : Ségolène Neuville
Secrétaire d'État chargée des Droits des femmes : Pascale Boistard
Travail, Emploi, Formation professionnelle
et Dialogue social
François Rebsamen (dém) (5) puis Myriam El Khomri (5)
Intérieur Bernard Cazeneuve
Agriculture, Agroalimentaire et Forêt Stéphane Le Foll, porte-parole du Gouvernement
Économie, Industrie et Numérique
Emmanuel Macron
Secrétaire d'État chargée du Commerce, de l'Artisanat, de la Consommation et de l'Économie sociale et solidaire : Carole Delga (dém) (4) puis Martine Pinville (4)
Secrétaire d'État chargée du Numérique : Axelle Lemaire
Logement et Égalité des territoires et Ruralité Sylvia Pinel
Décentralisation et Fonction publique
Marylise Lebranchu
Secrétaire d'État chargé de la Réforme territoriale : André Vallini
Culture et Communication Fleur Pellerin
Ville, Jeunesse et Sports
Patrick Kanner
Secrétaire d'État chargée de la Politique de la ville, puis supprimé (5) : Myriam El Khomri
Secrétaire d'État chargé des Sports : Thierry Braillard
Outre-mer George Pau-Langevin
Secrétaires d'État auprès du Premier ministre
Secrétaire d'État chargé des Relations avec le Parlement : Jean-Marie Le Guen
Secrétaire d'État chargé de la Réforme de l'État et de la Simplification : Thierry Mandon puis Clotilde Valter (4)
  • Ordonnancement par ordre de préséance
  • (dém) Démission
  • (1) Remaniement du 4 septembre 2014
  • (2) Remaniement du 21 novembre 2014
  • (3) Démission du 5 mars 2015
  • (4) Remaniement du 17 juin 2015
  • (5) Remaniement du 2 septembre 2015
  • (6) Remaniement du 27 janvier 2016
(← VALLS I) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (CAZENEUVE →)

v · m

Gouvernement Manuel Valls II (25 août 2014 – 6 décembre 2016) après le remaniement du 11 février 2016

Sous la présidence de François Hollande
Affaires étrangères et Développement international
Jean-Marc Ayrault
Secrétaire d'État chargé des Affaires européennes : Harlem Désir
Secrétaire d'État chargé du Commerce extérieur, de la Promotion du tourisme et des Français de l'étranger : Matthias Fekl
Secrétaire d'État chargé du Développement et de la Francophonie : André Vallini

Manuel Valls
Premier ministre
Environnement, Énergie et Mer,
chargée des relations internationales sur le climat
Ségolène Royal
Secrétaire d'État chargé des Transports, de la Mer et de la Pêche : Alain Vidalies
Secrétaire d'État chargée de la Biodiversité : Barbara Pompili
Éducation nationale, Enseignement supérieur et Recherche
Najat Vallaud-Belkacem
Secrétaire d'État chargé de l'Enseignement supérieur et de la Recherche : Thierry Mandon
Finances et Comptes publics
puis Économie et Finances (3)
Michel Sapin
Secrétaire d'État chargé du Budget et des Comptes publics : Christian Eckert
Affaires sociales et Santé
Marisol Touraine
Secrétaire d'État chargée des Personnes handicapées et de la Lutte contre l'exclusion : Ségolène Neuville
Secrétaire d'État chargée des Personnes âgées et de l'Autonomie : Pascale Boistard
Défense
Jean-Yves Le Drian
Secrétaire d'État chargé des Anciens Combattants et de la Mémoire : Jean-Marc Todeschini
Justice, garde des sceaux Jean-Jacques Urvoas
Travail, Emploi, Formation professionnelle et Dialogue social
Myriam El Khomri
Secrétaire d'État chargée de la Formation professionnelle et de l'Apprentissage : Clotilde Valter
Aménagement du territoire, Ruralité
et Collectivités territoriales
Jean-Michel Baylet
Secrétaire d'État chargée des Collectivités territoriales : Estelle Grelier
Intérieur Bernard Cazeneuve
Agriculture, Agroalimentaire et Forêt Stéphane Le Foll, porte-parole du Gouvernement
Logement et Habitat durable Emmanuelle Cosse
Économie, Industrie et Numérique
puis Économie et Finances (3)
Secrétaire d'État chargée du Commerce, de l'Artisanat, de la Consommation et de l'Économie sociale et solidaire : Martine Pinville
Secrétaire d'État chargée du Numérique, puis chargée du Numérique et de l'Innovation (4) : Axelle Lemaire
Secrétaire d'État chargé de l'Industrie (4) : Christophe Sirugue
Culture et Communication Audrey Azoulay
Famille, Enfance et Droits des femmes
puis Familles, Enfance et Droits des femmes (1)
Laurence Rossignol
Fonction publique Annick Girardin
Ville, Jeunesse et Sports
Patrick Kanner
Secrétaire d'État chargée de la Ville : Hélène Geoffroy
Secrétaire d'État chargé des Sports : Thierry Braillard
Outre-mer
Secrétaires d'État auprès du Premier ministre
Secrétaire d'État chargé des Relations avec le Parlement : Jean-Marie Le Guen
Secrétaire d'État chargée de l'Égalité réelle : Ericka Bareigts
Secrétaire d'État chargé de la Réforme de l'État et de la Simplification : Jean-Vincent Placé
Secrétaire d'État chargée de l'Aide aux victimes : Juliette Méadel
  • Ordonnancement par ordre de préséance
  • (1) Ajustement du 3 mars 2016
  • (2) Démission
  • (3) Ajustement du 30 août 2016
  • (4) Ajustement du 1er septembre 2016
(← VALLS II avant remaniement) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (CAZENEUVE →)

v · m

Gouvernement Bernard Cazeneuve (6 décembre 2016 – 17 mai 2017)

Sous la présidence de François Hollande
Affaires étrangères et Développement international
Jean-Marc Ayrault
Secrétaire d'État chargé des Affaires européennes puis secrétaire d'État chargé des Affaires européennes, du Commerce extérieur et de la Promotion du tourisme (3) : Harlem Désir
Secrétaire d'État chargé du Commerce extérieur, de la Promotion du tourisme et des Français de l'étranger, puis supprimé (2) : Matthias Fekl
Secrétaire d'État chargé du Développement et de la Francophonie puis secrétaire d'État chargé du Développement, de la Francophonie et des Français de l'étranger (3) : Jean-Marie Le Guen

Bernard Cazeneuve
Premier ministre
Environnement, Énergie et Mer,
chargée des Relations internationales sur le climat
Ségolène Royal
Secrétaire d'État chargé des Transports, de la Mer et de la Pêche : Alain Vidalies
Secrétaire d'État chargée de la Biodiversité : Barbara Pompili
Éducation nationale, Enseignement supérieur et Recherche
Najat Vallaud-Belkacem
Secrétaire d'État chargé de l'Enseignement supérieur et de la Recherche : Thierry Mandon
Économie et Finances
Michel Sapin
Secrétaire d'État chargé du Budget et des Comptes publics : Christian Eckert
Secrétaire d'État chargée du Commerce, de l'Artisanat, de la Consommation et de l'Économie sociale et solidaire : Martine Pinville
Secrétaire d'État chargée du Numérique et de l'Innovation, puis supprimé (1) : Axelle Lemaire (dém) (1)
Secrétaire d'État chargé de l'Industrie puis secrétaire d'État chargé de l'Industrie, du Numérique et de l'Innovation (1) : Christophe Sirugue
Affaires sociales et Santé
Marisol Touraine
Secrétaire d'État chargée des Personnes handicapées et de la Lutte contre l'exclusion : Ségolène Neuville
Secrétaire d'État chargée des Personnes âgées et de l'Autonomie : Pascale Boistard
Défense
Jean-Yves Le Drian
Secrétaire d'État chargé des Anciens Combattants et de la Mémoire : Jean-Marc Todeschini
Justice, garde des sceaux Jean-Jacques Urvoas
Travail, Emploi, Formation professionnelle et Dialogue social
Myriam El Khomri
Secrétaire d'État chargée de la Formation professionnelle et de l'Apprentissage : Clotilde Valter
Aménagement du territoire, Ruralité
et Collectivités territoriales
Jean-Michel Baylet
Secrétaire d'État chargée des Collectivités territoriales : Estelle Grelier
Intérieur Bruno Le Roux (dém) (2) puis Matthias Fekl (2)
Agriculture, Agroalimentaire et Forêt Stéphane Le Foll, porte-parole du Gouvernement
Logement et Habitat durable Emmanuelle Cosse
Culture et Communication Audrey Azoulay
Famille, Enfance et Droits des femmes Laurence Rossignol
Fonction publique Annick Girardin
Ville, Jeunesse et Sports
Patrick Kanner
Secrétaire d'État chargée de la Ville : Hélène Geoffroy
Secrétaire d'État chargé des Sports : Thierry Braillard
Outre-mer Ericka Bareigts
Secrétaires d'État auprès du Premier ministre
Secrétaire d'État chargé des Relations avec le Parlement : André Vallini
Secrétaire d'État chargé de la Réforme de l'État et de la Simplification : Jean-Vincent Placé
Secrétaire d'État chargée de l'Aide aux victimes : Juliette Méadel
  • Ordonnancement par ordre de préséance
  • (dém) Démission
  • (1) Remaniement du 27 février 2017
  • (2) Remaniement du 21 mars 2017
  • (3) Ajustements du 5 avril 2017
(← VALLS II) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (PHILIPPE I →)