Porcheville — Wikipédia
- ️Mon Jan 01 2024
Porcheville | |
![]() L'hôtel de ville. | |
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Île-de-France |
Département | Yvelines |
Arrondissement | Mantes-la-Jolie |
Intercommunalité | CU Grand Paris Seine et Oise |
Maire Mandat |
Alec Jaltier 2022-2026 |
Code postal | 78440 |
Code commune | 78501 |
Démographie | |
Gentilé | Porchevillois |
Population municipale |
3 167 hab. (2022 ![]() |
Densité | 685 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 58′ 20″ nord, 1° 46′ 44″ est |
Altitude | 20 m Min. 17 m Max. 61 m |
Superficie | 4,62 km2 |
Type | Ceinture urbaine |
Unité urbaine | Paris (banlieue) |
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Limay |
Législatives | Huitième circonscription |
Localisation | |
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Yvelines Géolocalisation sur la carte : Île-de-France | |
Liens | |
Site web | https://www.porcheville.fr/ |
modifier ![]() |
Porcheville est une commune française située dans le département des Yvelines, en région Île-de-France.
Ses habitants sont appelés les Porchevillois.
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Porcheville est une commune du Vexin français riveraine de la Seine, située sur la rive droite du fleuve, dans le nord-ouest du département des Yvelines, à sept kilomètres à l'est de Mantes-la-Jolie et à 38 km environ au nord-ouest de Versailles, préfecture du département.
Les communes limitrophes sont Issou au nord-est, Mézières-sur-Seine et Guerville au sud, communes dont elle est séparée par la Seine, Limay à l'est et Guitrancourt au nord.
Le territoire, en légère pente du nord, s'étageant de 50 mètres à 20 mètres environ, se trouve dans la plaine alluviale de la Seine.
La commune est limitée au sud par le lit du fleuve la Seine.
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 679 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Magnanville à 7 km à vol d'oiseau[3], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 641,5 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Au 1er janvier 2024, Porcheville est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 407 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[8],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire regroupe 1 929 communes[9],[10].
Le territoire communal est fortement urbanisé et industrialisé, mais conserve encore des zones naturelles boisées sur environ 20 % de sa surface.
L'habitat est concentré dans le bourg situé au sud-est de la commune près de la Seine. La partie nord-est est englobée dans la zone industrielle de Limay-Porcheville.
En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 1 158, alors qu'il était de 1 163 en 2014 et de 996 en 2009[I 2].
Parmi ces logements, 93 % étaient des résidences principales, 0,8 % des résidences secondaires et 6,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 85 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 14,2 % des appartements[I 3].
La commune ne respecte pas ses obligations prévues par l'article 55 de la loi SRU de 2000 qui lui imposent de disposer d'au moins 25 % de son parc de résidences principales comme logements sociaux : En 2018, elle ne dispose que de 14,9 % et est astreinte au paiement d'un pénalité annuelle, qui s'est élevée, cette année-là, à 52 662 €[11].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Porcheville en 2019 en comparaison avec celle des Yvelines et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,8 %) inférieure à celle du département (2,6 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 77,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (76,9 % en 2014), contre 58,6 % pour les Yvelines et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Porcheville[I 2] | Yvelines[I 5] | France entière[I 6] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 93 | 91 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 0,8 | 2,6 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 6,2 | 6,4 | 8,2 |
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[9],[10].
La commune est desservie par deux axes routiers principaux orientés est-ouest parallèlement à la Seine : la route départementale 146 qui relie Gargenville à Limay en traversant le centre du village, la route départementale 190 (ex-route nationale 190) qui longe une partie du territoire communal au nord et donne accès à la zone industrielle.
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Elle est traversée par la voie ferrée Paris-Saint-Lazare - Mantes-la-Jolie via Argenteuil et desservie par la gare d'Issou - Porcheville (cette gare se trouve à la limite de Porcheville mais dans le territoire d'Issou). Des embranchements particuliers desservent la centrale EDF et la zone industrielle.
Un appontement privé sur la Seine, conçu pour l'approvisionnement en fioul lourd, desservait la centrale thermique. Le port fluvial de Limay-Porcheville, port public géré par Ports de Paris (établissement public de l'État), est situé principalement dans le territoire de Limay, à la limite ouest de la commune de Porcheville[12].
Plusieurs lignes à haute tension (400 et 225 kV) du réseau national d'électricité, convergeant vers le poste de transformation situé près de la centrale thermique, traversent le territoire communal. Plusieurs d'entre elles, orientées nord-sud, appartiennent à la « boucle 400 000 volts » qui ceinture Paris et assure l'alimentation générale de l'Île-de-France en énergie électrique[13].
Du fait de la présence de l'ancienne centrale thermique de Porcheville alimentée en fioul lourd et de la proximité du stockage pétrolier de Gargenville, la commune est traversée par divers oléoducs, dont le réseau LHP (Le Havre - Paris) affecté au transport d'hydrocarbures et exploité par la société Trapil[14] et le « pipeline de l'Île-de-France (PLIF) exploité par la société ELF-Antar France[15].
Le nom de la localité est attesté sous les formes Porciaco villa en 680[16], Villa porcariorum en 690[16],[17], Porchevrevilla en 1249[18], Porcheuville sur les cartes de Cassini (levés de 1756 à 1789).
Les spécialistes tels qu'Albert Dauzat ou Ernest Nègre n'ont pas analysé ce toponyme[19],[20] montrant sans doute qu'ils en ignorent l'origine.
Il s'agit vraisemblablement d'un toponyme médiéval en -ville, au sens ancien de « domaine rural », plus tardivement « village » (appellatif toponymique issu du gallo-roman VILLA « grand domaine rural »).
Il est peut-être précédé d'un toponyme gallo-roman antérieur en -acum, combiné avec un nom de personne Porcius, si la première forme Porciaco de 680 est juste (cf. Tonneville (Seine-Maritime), anciennement Taunacum villa[21]). Cependant, l'évolution phonétique normale du type toponymique Porciacum (Porciaco) « propriété de Porcius » est Porci en ancien français, d'où les Pourcy et Poursay[22], ensuite, si la seconde forme Porchevreville de 1249 est exacte, elle est incompatible phonétiquement avec cette explication.
- 1952 : construction de la Centrale thermique de Porcheville d'EDF, qui cesse son activité en 2017[23].
Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[24], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines et à son arrondissement de Mantes-la-Jolie, après un transfert administratif effectif au 1er janvier 1968. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la huitième circonscription des Yvelines.
Elle fait partie depuis 1793 du canton de Limay[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 17 à 20.
Elle est également incluse dans le territoire de l'opération d'intérêt national Seine-Aval[26].
Sur le plan judiciaire, Porcheville fait partie de la juridiction d’instance de Mantes-la-Jolie et, comme toutes les communes des Yvelines, dépend du tribunal de grande instance ainsi que de tribunal de commerce sis à Versailles[27],[28].
La commune faisait partie de la communauté d'agglomération de Mantes-en-Yvelines (CAMY) créée fin 1999.
Dans le cadre de la Loi de modernisation de l'action publique territoriale et d'affirmation des métropoles (loi MAPAM) qui impose la création en Île-de-France d'intercommunalités d'au moins 200 000 habitants, cette intercommunalité fusionne avec d'autres pour former, le 1er janvier 2016 la communauté urbaine Grand Paris Seine et Oise (GPS&O), dont la commune est désormais membre.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1890 | 1908 | Émile François | ||
1908 | 1919 | Louis Victor Tibaldi | ||
1919 | 1925 | Valentin Hebert | ||
1925 | 1929 | Christian Schmitt | ||
1929 | 1935 | Alfred Labarriere | ||
1935 | 1941 | Georges Bonnet | ||
1941 | 1944 | Eugène Hoyet | ||
1944 | 1953 | Georges Davot | ||
1953 | 1959 | Louis Defosse | ||
1959 | 1962 | Michel Bronders | ||
1962 | 1966 | Michel Boever | ||
1966 | 1992 | Pierre Peyré | Mod. | |
1992[30] | octobre 2003 | Ernest Minisini[31] | Décédé en fonction | |
octobre 2003[32] | mars 2008 | Maurice Robert | DVD | |
mars 2008 | novembre 2017[33] | Paul Le Bihan[34] | DVD | Retraité Démissionnaire |
novembre 2017[35] | août 2022[36] | Didier Martinez | DVD | Cadre Renault retraité Démissionnaire |
30 août 2022[37],[38] | En cours (au 9 juin 2023) |
Alec Jaltier | Ancien cadre d’une entreprise de thé |
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2008 : construction d'un établissement pénitentiaire pour mineurs (EPM) de 60 places.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[40].
En 2022, la commune comptait 3 167 habitants[Note 5], en évolution de +1,25 % par rapport à 2016 (Yvelines : +2,72 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
280 | 279 | 266 | 274 | 250 | 253 | 248 | 219 | 234 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
242 | 238 | 223 | 216 | 216 | 186 | 197 | 180 | 188 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
174 | 188 | 228 | 348 | 430 | 481 | 518 | 585 | 589 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2005 | 2006 | 2010 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 119 | 1 779 | 2 456 | 2 740 | 2 596 | 2 502 | 2 542 | 2 522 | 2 832 |
2015 | 2020 | 2022 | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
3 011 | 3 155 | 3 167 | - | - | - | - | - | - |
Histogramme de l'évolution démographique
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,1 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 666 hommes pour 1 527 femmes, soit un taux de 52,18 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,68 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,6 | 90 ou + | 0,3 |
6,3 | 75-89 ans | 7,0 |
13,2 | 60-74 ans | 12,8 |
20,8 | 45-59 ans | 20,3 |
19,0 | 30-44 ans | 20,2 |
18,7 | 15-29 ans | 15,7 |
21,3 | 0-14 ans | 23,7 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,6 | 90 ou + | 1,4 |
6 | 75-89 ans | 7,8 |
13,5 | 60-74 ans | 14,8 |
20,7 | 45-59 ans | 20,1 |
19,6 | 30-44 ans | 19,9 |
18,5 | 15-29 ans | 16,8 |
21,2 | 0-14 ans | 19,2 |
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- Centrale thermique de Porcheville : elle comprenait jusqu'à sa fermeture en 2017[23] quatre tranches de 600 MW pour une puissance totale de 2 400 MW. La centrale EDF était flanquée d'un poste de transformation électrique RTE (400 kV, 225 kV, 90 kV, 63 kV).
- Zone industrielle de Limay-Porcheville.
Le revenu fiscal médian par ménage était en 2008 de 21 348 €, contre 24 414 € au niveau du département des Yvelines[44].
En 2007, la population active s'élevait à 1694 personnes, dont 1162 actifs (soit un taux d'activité de 68,8 %). Parmi les actifs, 1029 avaient un emploi, soit un taux d'emploi de 60,7 %). Le taux de chômage s'élevait à 7,9 %, tandis que les inactifs (élèves, étudiants, retraités...) représentaient 31,4 % de la population active[45].
La même année, la commune comptait 1216 emplois, soit un taux d'emploi (comparé aux actifs ayant un emploi) supérieur à 100 %. Parmi ces emplois, 1033 sont occupés par des actifs résidant dans la commune, soit un taux de concentration d'emploi de 117,7 %. On comptait parmi ces emplois 1152 salariés (94,7 %) et 65 non-salariés (5,3 %)[45].
- Église Saint-Séverin-et-Saint-Fiacre : église en pierre construite au XIIIe siècle et restaurée au XIIIe. Clocher en tour carrée munie de contreforts.
-
Église Saint-Séverin-et-Saint-Fiacre.
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Façade nord de la centrale.
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Monument aux morts.
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Blason floral.
- Pierre Loutrel (1916-1946), gangster connu sous le nom de « Pierrot le fou », est mort le 11 novembre 1946 à Porcheville où ses complices l'avaient transporté blessé après son dernier braquage d'une bijouterie parisienne le 6 novembre. Enterré clandestinement dans une île de la Seine aujourd'hui disparue, son corps ne fut découvert par la police qu'en 1949[46].
![]() |
Blason | |
---|---|---|
Détails |
- Corinne GOMOND, Porcheville, hier & aujourd'hui, éditions Wauquier, 2008, 106 p. (ISBN 978-2-915749-08-3)
- Site de la mairie
- « Dossier complet : Commune de Porcheville (78501) », Recensement général de la population de 2019, INSEE, 12 juillet 2022 (consulté le 26 août 2022).
- « Porcheville »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, 26 août 2022.
- « Porcheville » sur Géoportail.
- ↑ Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- ↑ Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et 406 communes de banlieue.
- ↑ La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- ↑ La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en octobre 2020, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- ↑ Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
- ↑ a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Porcheville ».
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- ↑ « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Porcheville - Section LOG T7 » (consulté le 26 août 2022).
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- ↑ Christian Thomas, « Le projet de prison fait peur aux habitants », Le Parisien, édition des Yvelines, 18 décembre 2003 (lire en ligne, consulté le 21 novembre 2017) « le maire, Maurice Robert, élu à ce poste il y a quelques semaines en remplacement du maire précédent, décédé ».
- ↑ « Porcheville : le maire Paul Le Bihan cède sa place à son premier adjoint », Le Parisien, édition des Yvelines, 20 novembre 2017 (lire en ligne, consulté le 21 novembre 2017) « Âgé de 73 ans, Paul Le Bihan a été élu premier magistrat de cette commune de 3 000 habitants en 2008 avant de repartir pour un second mandat en 2014 ».
- ↑ Réélu en 2014 : Y.F., « Les habitants sont libres de voter pour le candidat de leur choix », Le Parisien, édition des Yvelines, 14 décembre 2015 (lire en ligne, consulté le 21 novembre 2017) « A Porcheville, l’équipe municipale est apolitique. » Elu depuis 32 ans, Paul Le Bihan rappelle qu’il a été élu dès le 1er tour lors des municipales de 2014, « avec plus de 60 % des suffrages ».
- ↑ M. G., « Didier Martinez est le nouveau maire de Porcheville : Paul Le Bihan a cédé son fauteuil lors d’un conseil municipal extraordinaire ce mardi soir », Le Parisien, édition des Yvelines, 21 novembre 2017 (lire en ligne, consulté le 26 août 2022) « À 73 ans, Paul Le Bihan a décidé de prendre du recul dans la gestion au quotidien de cette commune de 3 000 habitants. Ce passage de témoin était prévu de longue date. Paul Le Bihan restera élu à Porcheville ».
- ↑ Mehdi Gherdane, « Porcheville : le maire démissionne à cause de « soucis de santé » : Didier Martinez, le premier magistrat de cette ville de 3 000 habitants, démissionne pour raisons de santé. Il sera remplacé la semaine prochaine », Le Parisien, 25 août 2022 (lire en ligne, consulté le 26 août 2022) « Ancien cadre de Renault originaire du Sud-ouest, Didier Martinez avait repris les rênes de la commune en novembre 2017, après que Paul Le Bihan lui a cédé son fauteuil au terme d’un accord prévu de longue date entre les deux hommes. Ironie de l’histoire, Paul Le Bihan s’était présenté contre son « poulain » lors des élections municipales de 2020. Il avait été battu ».
- ↑ Renaud Vilafranca, « Qui est Alec Jaltier, le nouveau maire de Porcheville : Alec Jaltier est désormais le maire de Porcheville (Yvelines). D'où vient-il ? Quels sont ses projets pour la ville ? Comment se positionne-t-il par rapport à l'intercommunalité ? », 78 actu, 5 septembre 2022 (lire en ligne, consulté le 18 juin 2023) « Huit bulletins blancs ont été décomptés à l’issue du vote à bulletin secret du conseil municipal, pour cinq élus d’opposition ».
- ↑ « L’adjoint Alec Jaltier élu à la tête de la Ville : Suite à la démission de l’édile SE, Didier Martinez, son adjoint, Alec Jaltier a été élu maire lors de la séance du conseil municipal du 30 août », La Gazette en Yvelines, 7 septembre 2022 (lire en ligne, consulté le 18 juin 2023).
- ↑ L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- ↑ Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- ↑ Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
- ↑ Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Porcheville (78501) », 30 juin 2021 (consulté le 16 janvier 2022).
- ↑ Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département des Yvelines (78) », 27 juin 2024 (consulté le 13 juillet 2024).
- ↑ « Porcheville (78501 - Commune) », Insee - Chiffres clés sur un territoire (consulté le 19 mai 2011).
- ↑ a et b « Porcheville (78501 - Commune) - Chiffres clés », Insee Statistiques locales (consulté le 19 mai 2011).
- ↑ Corinne GOMOND, Porcheville, hier & aujourd'hui, éditions Wauquier, 2008 (ISBN 978-2-915749-08-3), p. 102-105.