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Une lettre après l'autre : à la découverte de Mme de Sévigné

  • ️Roger Duchêne (1930-2006), ROGER DUCHENE (1930-2006), roger duchene (1930-2006)

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UNE LETTRE APRÈS L'AUTRE : À LA DÉCOUVERTE DE MME DE SÉVIGNÉ

Jacqueline Duchêne propose dans cette rubrique de relire, au fil des mois, la correspondance de Mme de Sévigné, à la lumière des travaux de Roger Duchêne.



  • Une lettre d'automne, 30 septembre 1671

    Divertir malgré la tristesse...





  • "Mon unique plaisir..."

    À Valence, ce (vendredi) 6e octobre 1673. Comment, dans la douleur de l'absence, écrire est l'unique plaisir...





  • Novembre aux Rochers

    Depuis la fin de septembre 1675, Mme de Sévigné se trouve en Bretagne, chez elle, aux Rochers, à la fois pour surveiller ses terres et faire des économies en "mangeant son blé sur pied".





  • Les "fagots" de Noël

    Nous avons connu en novembre une marquise triste dans ses bois de Bretagne. Ce 25 décembre 1675, nous la découvrons heureuse de retrouver ses Rochers après être restée deux jours à Vitré où se tenaient les états de Bretagne.





  • Un Jour de l'An "fort plaisant"

    Le 1er janvier, selon la tradition, se déroule à la cour de France la cérémonie solennelle de la réception des chevaliers dans l'ordre prestigieux du Saint-Esprit. Madame de Sévigné raconte...





  • Vingt ans après

    A propos de la première lettre écrite par Mme de Sévigné après le départ de sa fille en Provence. Le début d'une exceptionnelle correspondance qui va durer jusqu'à la mort de la marquise.





  • Cent cinquante-neuf fois Molière

    Le mardi 1er mars 1672, Mardi gras, Mme de Sévigné est à Livry, l'abbaye de son oncle, l'abbé Christophe de Coulanges. En ce jour de fête où l'on se dépêche de s'amuser avant la période de pénitence du carême qui commence le lendemain, Mercredi des cendres, elle n'a pu se rendre aux invitations de ses familiers...





  • Des confidences scabreuses

    Que la marquise raconte en détail à sa fille la panne sexuelle de son fils avec la "petite merveille" - qui n'est autre que la Champmeslé, comédienne et maîtresse de Racine - peut surprendre. Elle s'est pourtant plu à détailler le récit, pour amuser sa bien-aimée, persuadée que sa fille est avide de "folies"au sens de plaisanteries lestes.





  • Les Charmes des Fables de La Fontaine

    En écrivant à Corbinelli, un de ses amis qui est aussi celui de Mme de Sévigné, Roger de Bussy-Rabutin a raconté le conflit qui agite le Paris littéraire et oppose l'Académie française - dont La Fontaine fait partie - à Antoine Furetière, un autre de ses membres.





  • La Force du sang

    C'est une plaisanterie habituelle chez Mme de Sévigné de prétendre que, quelle que soit la distance qui les sépare, elle se sent affaiblie quand son cousin a été saigné...





  • La Mort de Turenne et "L'Almanach"

    On est en pleine guerre de Hollande. Turenne, au début de l'année, a battu les Impériaux à Türckheim et depuis, multiplie les succès. Mais le 28 juillet, il est tué par un boulet de canon, durant la bataille, à Sasbach, au nord-est de Strasbourg.





  • L'Eté à Grignan

    Mme de Grignan a raconté à sa mère quelque réception particulièrement brillante qui a eu lieu dans son château en ce mois d'été d'août 1689.





  • Conseils de rentrée

    Bienheureuse spontanéité qui nous fait découvrir, plus de trois cents après, les préoccupations domestiques d'une marquise et son amour sans limites pour sa fille !





  • A propos de L'Astrée

    Un film de M. Eric Rohmer vient de remettre L'Astrée dans l'actualité. Le cinéaste de 87 ans, d'une grande culture, a été sans doute sensible au thème éternel du "bannissement de l'amant fidèle par sa dame injustement courroucée" qu'illustre le roman.





  • Le choix des mots : Littré et Mme de Sévigné

    Alors que "Le Figaro" a entrepris de rééditer le Dictionnaire Littré, cette chronique rappelle le goût du lexicographe pour la Marquise de Sévigné et sa connaissance très sûre des lettres, qui sont abondamment citées dans son ouvrage monumental.





  • Heureuse Année

    A propos d'une lettre de nouvelles, où Mme de Sévigné informe sa Provençale de fille de ce qui se passe en France et dans le monde européen, plus qu'elle ne s'abandonne à dire à sa bien-aimée ses sentiments.





  • La Patronne des journalistes ?

    Sont ici rassemblés quelques-uns des textes de l'actualité franco-anglaise de janvier 1689, qui ont pu faire surnommer Mme de Sévigné "la patronne des journalistes".





  • Ecriture et Rhumatisme

    Le 15 janvier 1671, Mme de Sévigné a du mal à remuer le côté droit. Dans un billet brillant, elle l'attribue à un torticolis et, par plaisanterie, en rend responsable sa fille. "Le 19, en se forçant à tracer quelques lignes, il lui faut reconnaître qu'il s'agit d'un "très bon petit rhumatisme"...





  • Grâce suffisante, Grâce nécessaire. Le philosophe et la marquise

    Récemment au théâtre national de Chaillot, Bruno Bayen a mis en scène une adaptation par lui-même et Louis-Charles Sirjacq des Provinciales de Blaise Pascal.





  • Gens de Lettres

    Bussy-Rabutin, le cousin bourguignon, sans doute charmé du message précédent de Mme de Sévigné sur la mort du prince de Condé - le grand événement de ce moment - en a envoyé un "fragment" à Paris, à l'évêque d'Autun. Le fragment a été lu à l'hôtel de Guise...





  • Marseille est bien joli

    Où l'on découvre la "curiosité" de la marquise pour une ville comme Marseille et ce qui transparaît de la situation de sa fille, Mme de Grignan, par rapport à cette ville et à la manière dont elle y est "honorée", quelques semaines à peine après son arrivée en Provence.





  • Une Cure à Vichy

    De ses descriptions de Vichy, des cures et des curistes, la Marquise se moque. Dans les deux sens, pour en rire mais aussi pour les mépriser. Elle n'ont pur but que d'être pour sa correspondante une occasion de plus de lire ses lettres avec intérêt.





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