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Épinac — Wikipédia

  • ️Tue Aug 12 2003
Épinac
Épinac
Les environs du château.
Blason de Épinac
Blason
Épinac
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Autun
Intercommunalité Communauté de communes du Grand Autunois Morvan
Maire
Mandat
Jean-François Nicolas
2020-2026
Code postal 71360
Code commune 71190
Démographie
Gentilé Épinacois
Population
municipale
2 150 hab. (2022 en évolution de −3,46 % par rapport à 2016)
Densité 83 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 59′ 32″ nord, 4° 30′ 52″ est
Altitude Min. 314 m
Max. 475 m
Superficie 25,77 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Épinac
(ville isolée)
Aire d'attraction Autun
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Autun-1
Législatives Troisième circonscription
Localisation

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Épinac

Liens
Site web epinac.fr
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Épinac est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Terre de transition entre le Morvan (Autun) et le vignoble de la Côte-d'Or (Dijon).

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 827 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Rochepot », sur la commune de La Rochepot à 13 km à vol d'oiseau[3], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 849,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39 °C, atteinte le 12 août 2003 ; la température minimale est de −21 °C, atteinte le 9 janvier 1985[Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au 1er janvier 2024, Épinac est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Épinac[Note 2], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Autun, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[10]. Cette aire, qui regroupe 42 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (63,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (48,9 %), forêts (29,6 %), terres arables (11,6 %), zones urbanisées (7,5 %), zones agricoles hétérogènes (2,4 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le 9 décembre 1905, en raison de son exploitation charbonnière, la commune fut autorisée à s'appeler Épinac-les-Mines, appellation qu'elle conserva pendant une soixantaine d'années, jusqu'à ce qu'Épinac-les-Mines demande à reprendre son appellation première, ce qui lui fut accordé par décret du 9 février 1968 (paru au Journal officiel du 14 février 1968)[14].

Le lieu s'est d'abord appelé Monestoy, du nom de la seigneurie dont l'existence est attestée depuis au moins le XIIIe siècle[15].

Les premiers seigneurs sont les Monestoy. Le 15 mai 1322, Guillaume, maire de Monestoy, reconnaît une rente de 10 sols dijonnais pour l'anniversaire de Mademoiselle Moine de Quincey, inhumée à l'abbaye Saint-Martin d'Autun[16]. Vers 1430, les nouveaux seigneurs de Monestoy sont Pierre de Bauffremont et sa femme, Agnès de Saulx[15]. Quelques années plus tard, Monestoy est acquis par Nicolas Rolin. Dès lors et par héritage se sont succédé les Rolin, les Chambellan, les Maréchal, les Pernes et enfin les Clermont-Tonnerre.

En 1656, alors que la seigneurie de Monestoy est érigée en comté en faveur de Louis de Pernes[17], colonel d'infanterie et gouverneur de Saintes[18], le lieu change de nom pour celui d'Épinac.

Nicolas Rolin par Rogier van der Weyden
Nicolas Rolin par Rogier van der Weyden.

Ont successivement été seigneurs d'Epinac :

  • Guy de Monestoy (v. 1250) ;
  • Renaud de Monestoy (v. 1298) ;
  • Hugues de Monestoy (v. 1326) ;
  • Hugues de Monestoy (v. 1395) (fils du précédent), mort à Nicopolis en suivant le comte de Nevers ;
  • Pierre de Beauffremont (v. 1430) ;
  • Nicolas Rolin (1376-1462), (acquéreur du précédent), chancelier de Bourgogne ;
  • Guillaume Rolin (1411-1488), (fils du précédent), marié à Marie de Lévis ;
  • Antoine Rolin (1424-1497), (frère du précédent), marié à Marie d'Ailly ;
  • François Rolin (v. 1489) (neveu du précédent), marié à Jeanne de Bourbon-Duisant ;
  • Jean Rolin (1490-1527) (fils du précédent), marié à Marie de Cugnac ;
  • Suzanne Rolin (1513-1577) (fille du précédent), mariée à Nicolas Chambellan ;
  • Madeleine Chambellan (1544-1584) (fille des précédents), mariée à Jean Maréchal ;
  • Gaspard Maréchal[19] (v. 1560-1591) (fils des précédents), marié à Gabrielle de Vaudrey ;
  • Claudine Maréchal (?-1637) (fille des précédents), mariée à Louis de Pernes, gouverneur de Saintes ;
  • Louis II de Pernes (?-1694) (fils des précédents) 1er comte d'Épinac, marié à Anne-Jeanne de Rouvray ;
  • Anne-Georges de Pernes (?-1719) (fils des précédents) 2d comte d'Épinac[20] (fils du précédent), marié à Claude de Senevoy ;
  • Gaspard de Clermont-Tonnerre (1688-1781) 3e comte d'Épinac (neveu du Louis II de Pernes), marié à Antoinette Potier de Novion ;
  • Jules Charles Henri de Clermont-Tonnerre (1720-1794) 4e comte d'Épinac (fils du précédent), marié à Anne Le Tonnelier de Breteuil.

La commune d'Épinac est associée à l'histoire de l'un des premiers chemins de fer de France, concédé en 1830 et créé à l'initiative du propriétaire des mines d’Épinac, Samuel Blum. Il s'agissait de relier le puits du Curier d'Épinac au hameau de Pont-d'Ouche en Côte-d'Or situé à une vingtaine de kilomètres, d'où le charbon était expédié vers le nord de la région et le bassin parisien via le canal de Bourgogne[21]. C'est en 1829 que fut créée à cet effet la Compagnie des houillères et du chemin de fer d’Épinac.

Des mines de charbon sont exploitées dès le milieu du XVIIIe siècle sur une surface de 3 435 ha.

Au total, 70 puits seront creusés dans ce bassin minier, mais seulement une dizaine assurèrent l'extraction du charbon.

  • Les principaux puits de mines de charbon d'Épinac.
  • Le puits de la Garenne.

    Le puits de la Garenne.

  • Le puits Saint-Charles.

    Le puits Saint-Charles.

  • Le puits Lestiboudois et le château d'Épinac.

    Le puits Lestiboudois et le château d'Épinac.

  • Le puits Hottinguer.

Une importante verrerie fut fondée en 1752 à Épinac par Gaspard de Clermont-Tonnerre, entreprise qui, dans les années 1830, produisait 1 800 000 bouteilles destinées au commerce des vins mousseux[22]. Cette verrerie ferma ses portes en 1936.

Épinac appartient à l'arrondissement d'Autun et au canton d'Autun-1 depuis le redécoupage cantonal de 2014. Avant cette date, la commune était le chef-lieu du canton d'Épinac.

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la troisième circonscription de Saône-et-Loire, représentée depuis juin 2017 par Rémy Rebeyrotte (LREM-TdP). Sous la Cinquième République, Épinac a toujours appartenu à cette 3e circonscription mais cette dernière a été recréée ou redécoupée à deux reprises : une première fois en 1986 (redécoupage Pasqua) et une seconde fois en 2010 (redécoupage Marleix). Auparavant, la commune était intégrée à la circonscription d'Autun (Second Empire, 1863-1870) puis à la 1re circonscription d'Autun (1876-1885, 1889-1919 et 1928-1940).

Sur le plan des institutions judiciaires, la commune relève du tribunal judiciaire (qui a remplacé le tribunal d'instance et le tribunal de grande instance le 1er janvier 2020), du tribunal pour enfants, du conseil de prud’hommes et du tribunal de commerce de Chalon-sur-Saône, de la cour d’appel et du tribunal administratif de Dijon et de la cour administrative d'appel de Lyon[23].

Depuis le 1er janvier 2014, date de sa création, la commune appartient à la communauté de communes du Grand Autunois Morvan. Cette intercommunalité est issue de la fusion des communautés de communes de l'Autunois, Arroux Mesvrin et de la Vallée de la Drée, fondée le 18 décembre 1997 et dont Épinac était membre.

La mairie.

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 1 500 et 2 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 19[24].

Épinac figure parmi les quinze premières communes de Saône-et-Loire à avoir établi – puis officialisé – des liens d'amitié avec une localité étrangère[33].

La ville est jumelée avec Steinweiler en Allemagne.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].

En 2022, la commune comptait 2 150 habitants[Note 4], en évolution de −3,46 % par rapport à 2016 (Saône-et-Loire : −1,06 %, France hors Mayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0831 1281 1121 3361 4092 0502 8032 7453 273
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 5113 9674 6234 6204 6204 3984 1104 0614 145
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
4 0964 8774 9734 6564 6774 5324 1433 3253 081
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
3 2673 1202 8912 6362 5692 5222 4342 4112 341
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
2015 2020 2022 - - - - - -
2 2342 1452 150------

Histogramme de l'évolution démographique

Épinac est le siège de la paroisse Notre-Dame-de-la-Drée, paroisse du diocèse d'Autun qui regroupe quatorze villages[Note 5].

Sur le territoire de la commune, au prieuré du Val Saint-Benoît, dans la forêt des Bassées, sont installées depuis 1982 les Sœurs de Bethléem et de l'Assomption de la Vierge (famille monastique de Bethléem, de l'Assomption de la Vierge et de saint Bruno).

Appartiennent au patrimoine d'Épinac :

  • Patrimoine religieux et castral.
  • prieuré du Val Saint-Benoît

    L'église du prieuré du Val Saint-Benoit avec sa chapelle des Loges, dans la forêt des Bassées.

  • Le château d'Épinac.

    Le château d'Épinac.

  • L'église, sous le vocable de saint Pierre.

    L'église, sous le vocable de saint Pierre.

  • Patrimoine minier.
  • Le site du puits Hottinguer en travaux en 2019.

    Le site du puits Hottinguer en travaux en 2019.

  • Le site du puits de la Garenne.

    Le site du puits de la Garenne.

  • Le bâtiment de la machine d'extraction du puits Saint-Charles.

    Le bâtiment de la machine d'extraction du puits Saint-Charles.

  • Le puits Curier.

    Le puits Curier.

  • Le musée de la mine est installé sous la mairie.

    Le musée de la mine est installé sous la mairie.

Parmi les personnalités attachées à l'histoire d'Épinac figurent :

Blason de Épinac Blason

Écartelé, au premier et au quatrième d'argent au lion de gueules, à la bordure de sable chargée de huit besants du champ, au deuxième et au troisième d'azur à la croix alésée d'argent.

Détails

Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Alias
Blason à dessiner
Blason à dessiner
D’argent au lion de gueules, à la bordure de sable chargée de huit besants d’or[43].

Sur les autres projets Wikimedia :

  1. Les records sont établis sur la période du 1er janvier 1949 au 4 janvier 2024.
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  5. Paroisse dont dépendent, outre Épinac, Antully, Auxy, Collonge-la-Madeleine, Curgy, Épertully, Morlet, Saisy, Saint-Gervais-sur-Couches, Saint-Émiland, Saint-Léger-du-Bois, Saint-Martin-de-Commune, Sully et Tintry.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le 17 juillet 2023).
  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ 18 juin 2010 (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le 26 janvier 2024)
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le 26 janvier 2024).
  3. « Orthodromie entre Épinac et La Rochepot », sur fr.distance.to (consulté le 26 janvier 2024).
  4. « Station Météo-France « La Rochepot », sur la commune de La Rochepot - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le 26 janvier 2024).
  5. « Station Météo-France « La Rochepot », sur la commune de La Rochepot - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le 26 janvier 2024).
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le 26 janvier 2024).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, novembre 2022 (consulté le 26 janvier 2024).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, 28 mai 2024 (consulté le 29 juin 2024).
  9. « Unité urbaine 2020 d'Épinac », sur le site de l'Insee (consulté le 29 juin 2024).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Autun », sur le site de l'Insee (consulté le 29 juin 2024).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, 21 octobre 2020 (consulté le 29 juin 2024).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le 16 mai 2021).
  14. « Cachets postaux à Épinac », article de Paul Lambert et François Nosjean paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 77 (printemps 1989), page 20.
  15. a et b Revue des sociétés savantes de la France et de l'étranger, Tome I, 1856.
  16. Cartulaire de l'Abbaye de Saint-Martin d'Autun, charte no 104. Texte en ligne.
  17. Dictionnaire géographique, historique et politique des Gaules et de la France, Louis Alexandre Expilly, Tome II, 1764.
  18. Mémoires de l'Académie des sciences, arts et belles lettres de Dijon, Tome IV, 1855.
  19. Lieutenant général en Bourgogne.
  20. Parfois appelé marquis d'Épinac.
  21. TILLEQUIN Séverine, « Epinac, ville-témoin de l'histoire des chemins de fer en France et en Bourgogne », article paru dans « Images de Saône-et-Loire » n° 188 de décembre 2016, pages 16 à 19.
  22. « Les anciennes verreries d'Épinac », article de Lucien Taupenot (alias Luc Hopneau) paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 97 d'avril 1994, page 12.
  23. « Liste des juridictions compétentes pour une commune », sur le site du ministère de la Justice et des libertés (consulté le 9 mars 2022).
  24. Art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  25. a et b Notice ROUX François par Pierre Goujon, version mise en ligne le 30 novembre 2010, dernière modification le 30 novembre 2010
  26. Chantal Pitelet, « Henri Duployer, une figure emblématique », Le Journal de Saône-et-Loire,‎ 12 septembre 2011 (lire en ligne).
  27. Notice DUPLOYER Henri, Marius, Louis par Pascal Rigaud, Jean-François Poujeade, version mise en ligne le 25 octobre 2008, dernière modification le 29 octobre 2021
  28. « Municipales 2014 : Jean Drevon, maire de Charolles « À la recherche de consensus depuis 1971 » », Vivre à Châlon,‎ 7 octobre 2013 (lire en ligne).
  29. « Jean Pelletier élu maire de la commune au 1er tour », Le Journal de Saône-et-Loire,‎ 21 juin 2005 (lire en ligne).
  30. C.P., « Claude Merckel remporte la mairie d'Epinac », Le Journal de Saône-et-Loire,‎ 23 mars 2014 (lire en ligne)
  31. David Pipponiau, « Jean-François Nicolas remporte la mairie », Le Journal de Saône-et-Loire,‎ 15 mars 2020 (lire en ligne)
  32. « Jean-François Nicolas élu maire ce samedi matin », Le Journal de Saône-et-Loire,‎ 23 mai 2020 (lire en ligne)
  33. Avec Autun, Bourbon-Lancy, Chagny, Chalon-sur-Saône, Chauffailles, Cuisery, Étang-sur-Arroux, Loisy, Mâcon, Lugny, Paray-le-Monial, Romenay, Saint-Amour-Bellevue, Sanvignes-les-Mines et Tournus. Source : Bernard Humblot, « Quand la Saône-et-Loire s'intéresse aussi aux pays voisins », revue « Images de Saône-et-Loire » n° 16 de décembre 1972, pp. 9-11.
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  37. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
  38. « Musée de la mine », sur epinac.fr.
  39. « De nombreux projets en cours dans la commune », sur lejsl.com, 10 janvier 2017.
  40. Annie Bleton-Ruget, Alain Dessertenne, Françoise Geoffray, Martin Raether, Des bibliothèques dans des lieux patrimoniaux, article paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire », n° 199-200 de novembre 2019, p. 50-63.
  41. Roland Niaux, « Château de Monestoy ».
  42. Après que les propriétaires du prieuré aient confié à la Société des amis des arts et de l'histoire (SAAH) d'Autun la mission de sauver le monument, d'en assurer la conservation, la protection et la réhabilitation, ce qui fut fait dans le cadre d'une opération baptisée « Renaissance du prieuré du val Saint-Benoît », officiellement lancée en février 1973, avec le soutien de Raymond Oursel. Source : Michel Le Cam, Renaissance du Val Saint-Benoît, revue « Images de Saône-et-Loire » n° 18 (juin 1973), pp. 11-15.
  43. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.