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Albert Dornois — Wikipédia

  • ️Wed Apr 26 1848

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Albert Pierre Dornois, né à Sévigny dans l'Orne le 26 avril 1848 et mort à Paris (14e arrondissement) le 17 avril 1923[1], est un peintre, dessinateur et graveur français. Il repose au cimetiere de Sévigny dans sa ville natale.

Après avoir pris part à la guerre de 1870 comme sergent-major de la Compagnie des mobilisés d'Argentan[2], élève de Maxime Lalanne, Léon Germain Pelouse, Gustave Boulanger et Georges Le Febvre, membre du Salon des artistes français, il obtient une mention honorable à l'Exposition universelle de Paris de 1889[3].

Il remporte en 1886 une médaille de 1re classe à l'Exposition internationale de blanc et noir[4].

  • La Cité de Carcassonne (fusain, v. 1884)[5]
  • Le Château de Carrouges (1890)[6]
  • Champ d'avoine à Mortrée (Orne) (1892)[7]
  • La côte de Trouville (eau-forte, 1907)[8]
  • Émile Bellier de La Chavignerie, Dictionnaire général des artistes de l'école française, 1882, p. 442
  • Bénézit, 1924, 1955, 1976, 1999
  • René Édouard-Joseph, Dictionnaire biographique des artistes contemporains, tome 1, A-E, Art & Édition, 1930, p. 422
  • Louis Le Roc'h Morgère, Éric Lefèvre, Jean-Yves Laillier, Basse-Normandie-Terre d'artistes: 1840-1940, 2002, p. 321
  1. Archives de Paris, acte de décès n°2168, vue 19 / 31
  2. Article du Journal de l'Orne du 16 octobre 1897 et nécrologie dans Le Journal de l'Orne du 21 avril 1923 où il est indiqué qu'il fut conseiller municipal d'Argentan.
  3. René Édouard-Joseph, Dictionnaire biographique des artistes contemporains, tome 1, A-E, Art & Édition, 1930, p. 422
  4. Catalogue officiel illustré de l'exposition internationale, 1890, p. 10
  5. Theodore Reff, World's Fair of 1889, 2019, p. 1914
  6. Revue indépendante, vol. 16-17, 1890, p. 217
  7. La Revue Normande: Histoire, littérature, sciences & arts, 1892, p. 158
  8. Bulletin de la Société historique et archéologique de l'Orne, vol. 26-27, 1907, p. 397