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Ary Scheffer — Wikipédia

  • ️Tue Feb 10 1795

Il s'est imposé parmi les maîtres de la peinture romantique française. Ses compositions dénotent une inspiration mystique et rêveuse.

Fils de Johan Bernard Scheffer, peintre et graveur allemand[1], qui fut peintre à la cour du roi de Hollande Louis Napoléon pendant la dernière année de sa vie, Ary Scheffer vint, deux ans après la mort de son père, en 1811, à Paris où sa mère, Cornelia Lamme (en), artiste peintre néerlandaise[2], une femme énergique et de grand caractère le plaça dans l’atelier de Pierre-Narcisse Guérin. Le moment où il quitta Guérin coïncide avec le début du mouvement romantique. Il se sentait peu de sympathie pour la direction que lui avait donnée ses représentants les plus illustres, Xavier Sigalon, Eugène Delacroix ou bien Théodore Géricault ; sa carrière commença en 1819 avec l’exposition au Salon de Dévouement patriotique de six bourgeois de Calais après quoi il tenta diverses expériences : Gaston de Foix (1824), les Femmes souliotes[3] (1827) avant de trouver sa propre voie. Le style de Scheffer a été qualifié de « classicisme froid[4] ».

Immédiatement après l’exposition des Femmes souliotes il se tourna vers Byron et Goethe, choisissant dans Faust une longue série des sujets qui jouissaient d’une vogue extraordinaire. Parmi eux, on peut mentionner Marguerite au Rouet, Faust tourmenté par le Doute, Marguerite au Sabbat, Marguerite à l’église, La Promenade au Jardin et finalement, peut-être le plus populaire de tous, Marguerite au Puits. Les deux versions de Mignon datent de 1836 et Francesca da Rimini, une des meilleures œuvres de Scheffer, appartient à la même période.

Enthousiasmé par une esquisse de Théodore Rousseau, il lui prête son atelier de travail pour l'exécution de sa Descente des vaches des hauts plateaux du Jura, toile qui sera refusée au Salon de 1836.

Scheffer fut un portraitiste accompli, comme en témoignent les effigies des compositeurs Frédéric Chopin (un de ces portraits fut détruit par les Russes lors de l'insurrection polonaise en 1963) et Franz Liszt. D’obédience protestante, il s’est également tourné vers les sujets religieux : outre un portrait de Calvin brossé dans sa maturité[5], il peint Le Christ consolateur (1836), suivi du Christ rémunérateur, des Bergers conduits par l’Étoile (1837), des Rois mages déposant leurs couronnes, du Christ au Jardin des Oliviers, du Christ portant sa croix, du Christ mis au tombeau (1845), de Saint Augustin et sainte Monique (1846), après quoi il cessa d’exposer. Ses liens étroits avec la famille royale — il fut le professeur de dessin de la princesse Marie d’Orléans, fille du roi Louis-Philippe, elle-même sculptrice romantique de talent — expliquent que sa faveur soit tombée, après l’instauration de la Deuxième République en 1848.

Scheffer fut promu commandeur de la Légion d'honneur en 1848, après s’être complètement retiré du Salon.

Naturalisé français au soir de sa vie, en 1850, il épousa, le 6 novembre de cette année, Sophie Marin, la veuve de son ami le général Baudrand.

Le public ne put voir le travail de ses dix dernières années qu’après sa mort, lors de l’exposition posthume de ses travaux, où figuraient Inquiétudes de la Terre et Ange annonçant la Résurrection, qu’il avait laissés inachevés. Parmi ses nombreux portraits, ceux de La Fayette, de Béranger, de Lamartine et de la reine Marie-Amélie sont les plus remarquables. Cette exposition posthume n’aida guère sa réputation, qui fut par la suite encore ébranlée par la vente de la galerie Paturle, qui contenait beaucoup de ses œuvres les plus vantées ; le charme et la facilité de leur composition ne pouvaient les sauver de la condamnation que provoquaient leur terre-à-terre et la pauvreté de leurs sentiments.

Reconnue quelques années après sa naissance, sa fille naturelle, Cornélia Scheffer, dirigeait l'atelier de la rue Chaptal. Elle devait épouser René Marjolin, chirurgien. Sans enfant, elle laissa, à sa propre mort en 1898, la quasi-totalité de l'atelier paternel à Dordrecht, la ville natale de son père, qui édifia un musée portant son nom – aujourd’hui Dordrechts Museum. En revanche, elle légua la propriété de la rue Chaptal à sa petite-nièce par alliance, Noémi Renan-Psichari, fille de l'écrivain Ernest Renan. Ses deux filles l'ont transmise, avec quelques toiles d'Ary Scheffer et des archives familiales restées dans la famille, à l'État français. En 1982 s'ouvrit dans cette demeure le musée Renan-Scheffer qui devint, après une importante rénovation, en 1987 le musée de la Vie romantique lequel, au fil des années, a acheté nombre de toiles du maître.

En 1995, à l’occasion du bicentenaire de sa naissance, le musée de Dordrecht a consacré au peintre une rétrospective majeure qui fut reprise l'année suivante au musée de la Vie romantique, qui présente aujourd’hui, au premier étage du pavillon à l’italienne, un ensemble significatif de ses peintures parmi lesquelles : La Mort de Géricault, réplique du tableau du musée du Louvre ; La Princesse de Joinville ; La Reine Marie-Amélie en deuil ; Pauline Viardot ; Le Giaour ; Faust et son pendant Marguerite ; Sophie Marin ; Louis Ratisbonne ; Béranger ; Jean-Abraham Nottebohm ; Saint Augustin et sainte Monique ; L’Abbé Deguerry ; Calvin, etc. Elles sont entourées d’œuvres de ses contemporains, en particulier le portrait du maître par l’Anglais Thomas Phillips, son buste post-mortem sculpté en marbre par Jules Cavelier en 1859, son profil en médaillon (bronze) par David d'Angers de 1828.

Sa nièce, Cornélie, fille de son frère cadet Henry Scheffer, qui fut lui aussi peintre, a épousé le philosophe et homme de lettres Ernest Renan. Son petit-fils, prénommé Ary Renan en mémoire de son grand-oncle, également peintre, appartenait à l’école symboliste.

Quatre ans après sa mort, la ville de Dordrecht a érigé un monument en sa mémoire sur la place de la Bourse, aujourd’hui place Scheffer. À Paris, une rue du 16e arrondissement a également reçu son nom en 1907.

Tableau Titre Date Dimensions Notes Lieu de conservation La Mort de Saint Louis vers 1817 146,6 × 179 cm Note[6] Los Angeles, musée d'Art du comté de Los Angeles Le Serment des sept chefs devant Thèbes 1817 32,5 × 40,5 cm Paris, École nationale supérieure des beaux-arts Portrait de Monsieur Georges Becht 1818 92 × 73 cm Note[7] Senlis, musée d'Art et d'Archéologie Portrait de Madame Georges Becht 1818 92 × 73 cm Senlis, musée d'Art et d'Archéologie Le Dévouement patriotique des six bourgeois de Calais, 1342 1819 300 × 600 cm Versailles, musée de l'Histoire de France Autoportrait 1819 61 × 51 cm Collection particulière La Tempête 1820 35,5 × 51,5 cm Paris, musée de la Vie romantique Portrait de Louis XVIII, roi de France 1820 Versailles, musée de l'Histoire de France Portrait de Clémentine de Brigode, née de La Tour-Maubourg 1821 55,2 × 45,6 cm Collection particulière Saint Louis visitant les pestiférés 1822 320 × 260 cm Paris, cathédrale Sainte-Croix de Paris des Arméniens Portrait en pied du général Lafayette 1823 55,5 × 47 cm Rouen, musée des Beaux-Arts Les Orphelins 1823 46,5 × 38 cm Paris, musée de la Vie romantique Saint Thomas d'Aquin prêchant la confiance en Dieu pendant la tempête 1823 393 × 295 cm Paris, Petit Palais Saint Louis recevant sa dernière communion 1823 46,3 × 38,7 cm Note[8] Los Angeles, musée d'Art du comté de Los Angeles Saint Louis recevant sa dernière communion 1823 260 × 310 cm Paris, église Saint-Louis-en-l'Île Une mère convalescente allant à l'église, appuyée sur ses deux enfants 1824 40,5 × 31,5 cm Grenoble, musée de Grenoble La Mort de Gaston de Foix à la bataille de Ravenne du 11 avril 1512 vers 1824 38 × 46 cm Saint-Pétersbourg, musée de l'Ermitage La Mort de Gaston de Foix à la bataille de Ravenne 1824 380 × 567 cm Versailles, musée de l'Histoire de France Le Jeune Malade 1824 36 × 46 cm Note[9] Dijon, musée Magnin La Mort de Géricault 1824 36 × 46 cm Note[10] Paris, musée du Louvre La Mort de Géricault 1824 38 × 46 cm Paris, musée de la Vie romantique Portrait de Georges Washington
(d'après Gilbert Stuart) 1825 73,1 × 60 cm Collection particulière Femmes grecques implorant la Vierge 1826 65 × 55 cm Note[11] Tokyo, musée national de l'Art occidental La Retraite de Russie 1826 40,5 × 56 cm Paris, musée de la Vie romantique La Retraite de l'armée de Napoléon en Russie en 1812 1826 127,6 × 162,6 cm Note[12] Yale University Art Gallery Quatre soldats en déroute, la retraite de Russie 1826 43 × 55 cm Paris, musée de la Vie romantique La Famille du marin (esquisse) 1826 41 × 32 cm Paris, musée de la Vie romantique La Marée montante ou La Femme du pêcheur vers 1826 73 × 59 cm Bordeaux, musée des Beaux-Arts Portrait présumé d'Ernestine Desormeaux enfant 1827 42,5 × 34 cm Paris, musée de la Vie romantique Charlemagne présente ses premiers capitulaires à l'Assemblée des Francs, 779 1827 366 × 289 cm Versailles, musée de l'Histoire de France Les Femmes souliotes 1827 261 × 359 cm Note[13] Paris, musée du Louvre La Plainte de la jeune fille 1827 33 × 25 cm Clermont-Ferrand, musée d'Art Roger-Quilliot Portrait de Pierre-Jean Béranger 1828 61 × 50 cm Paris, musée de la Vie romantique Portrait du prince de Talleyrand 1828 116 × 90 cm Chantilly, musée Condé Henri IV, roi de France vers 1829 310 × 229 cm Pau, musée des Beaux-Arts Portrait de Félicie de Fauveau 1829 103 × 72 cm Note[14] Paris, musée du Louvre Portrait d'enfant (peint avec Eugène Isabey) 1829 40,7 × 28 cm Londres, Wallace Collection Lénore, le retour de l'armée 1829 29 × 51,2 cm Note[15] Enschede, Rijksmuseum Twenthe (en) Lénore, les morts vont vite 1830 56,5 × 98 cm Paris, musée de la Vie romantique Louis-Philippe prêtant serment à la charte renouvelée (esquisse) 1830 90,5 × 116,5 cm Paris, musée de la Vie romantique Portrait d'un artiste 1830 118 × 90 cm Note[16] Grenoble, musée de Grenoble Portrait du duc d'Orléans vers 1830 64 × 43 cm Chantilly, musée Condé Portrait de Pierre-Jean Béranger vers 1830 61 × 50 cm Paris, musée Carnavalet La Sœur de Mercy vers 1830-1831 31 × 39 cm Londres, Wallace Collection Faust dans son cabinet (esquisse) 1831 24,5 × 19,5 cm Note[17] Paris, musée du Louvre Marguerite au rouet (esquisse) 1831 22 × 18,8 cm Note[18] Caen, musée des Beaux-Arts Marguerite au rouet 1831 114 × 89 cm Paris, musée de la Vie romantique Portrait de Jacques-Charles Dupont-de-l'Eure 1831 65 × 54,5 cm Note[19] Évreux, musée d'Évreux Portrait présumé de Marie d'Orléans 1831 97,5 × 66,5 cm Paris, musée de la Vie romantique Marie-Étienne-François-Henri, comte de Baudrand, lieutenant général 1832 95 × 64 cm Note[20] Versailles, musée de l'Histoire de France Eberhard, dit Le Larmoyeur (esquisse) 1832 26,5 × 21,5 cm Note[21] Dijon, musée Magnin Eberhard, comte de Wurtemberg, dit Le Larmoyeur 1832 151 × 163 cm Paris, musée du Louvre Le Giaour (esquisse) 1832 33 × 25 cm Paris, musée de la Vie romantique Le Giaour 1832 106,5 × 73 cm Paris, musée de la Vie romantique Effie et Jeanie Deans dans la prison d'Édimbourg 1832 125,5 × 91 cm Paris, musée de la Vie romantique Portrait de Louise d'Orléans 1833 131 × 98 cm Paris, musée de la Vie romantique Médora sur le rocher 1833 22,5 × 17 cm Paris, musée de la Vie romantique Marguerite à l'église 1833 31,5 × 20,5 cm Paris, musée de la Vie romantique La Fayette sur son lit de mort vers 1834 64 × 80 cm Blérancourt, musée national de la coopération franco-américaine Les Ombres de Paolo et Francesca apparaissent à Dante et à Virgile vers 1835 29,8 × 38 cm Clermont-Ferrand, musée d'Art Roger-Quilliot Les Ombres de Paolo et Francesca apparaissent à Dante et à Virgile 1835 166,5 × 234 cm Londres, Wallace Collection Portrait de Louis-Philippe, roi des Français 1835 84,5 × 64 cm Note[22] Chantilly, musée Condé Louis-Lazare Hoche, général en chef des armées de l'ouest et de Sambre-et-Meuse 1835 207 × 127 cm Paris, musée de l'Armée Charlemagne reçoit à Paderborn la soumission de Widkind, 785 1835 465 × 542 cm Note[23] Versailles, musée de l'Histoire de France Portrait de Georges Mouton, comte de Lobau, maréchal de France 1835 215 × 148 cm Versailles, musée de l'Histoire de France Le Duc d'Orléans reçoit à la barrière du Trône le premier régiment de hussards commandé par le duc de Chartres 1835 550 × 298 cm Versailles, musée de l'Histoire de France Le Duc d'Orléans reçoit à la barrière du Trône le premier régiment de hussards commandé par le duc de Chartres (esquisse) 1836 118 × 88 cm Versailles, musée de l'Histoire de France Le Duc d'Orléans reçoit à la barrière du Trône le premier régiment de hussards commandé par le duc de Chartres 1836 495 × 410 cm Versailles, musée de l'Histoire de France Armand Carrel sur son lit de mort 1836 38 × 46 cm Note[24] Rouen, musée des Beaux-Arts Armand Carrel sur son lit de mort (réplique) 1836 38 × 46 cm Versailles, musée de l'Histoire de France La Bataille de Tolbiac 496 1836 415 × 465 cm Note[25] Versailles, musée de l'Histoire de France Bergers conduits par l’Étoile 1837 Le Christ Consolateur 1837 Note[26] Amsterdam, musée d'Amsterdam Portrait de Franz Liszt 1837 Portrait de Marie d'Orléans vers 1837 155 × 73 cm Note[27] Chantilly, musée Condé Portrait de Charles-Arnold Scheffer 1838 82,5 × 60 cm Paris, musée de la Vie romantique Autoportrait
(ancien titre Portrait du peintre Callande de Champmartin) vers 1838 60,5 × 49,8 cm Note[28] Dijon, musée Magnin Portrait de Pierre-Antoine Lebrun vers 1840 62 × 50 cm Note[29] Versailles, musée de l'Histoire de France Un berger 1840 106 × 80 cm Rotterdam, musée Boijmans Van Beuningen L'Enfant charitable 1840 118 × 74 cm Note[30] Nantes, musée des Beaux-Arts Portrait de jeune garçon 1840 47 × 33 cm Paris, musée de la Vie romantique Portrait de Pauline Viardot 1840 97 × 60 cm Paris, musée de la Vie romantique Portrait de femme 1841 119 × 74 cm Collection particulière Portrait du docteur Duval 1841 Caen, musée des Beaux-Arts Portrait de Madame Caillard 1842 118 × 74 cm Paris, Petit Palais Ferdinand-Philippe d'Orléans sur son lit de mort 1842 80,5 × 45,5 cm Paris, musée de la Vie romantique Portrait de Gioacchino Rossini 1843 Paris, Cité de la musique Portrait de la princesse Mathilde Bonaparte Demidoff 1844 Florence, palais Pitti Portrait de Dona Francisca de Bragance, princesse de Joinville 1844 142 × 81 cm Paris, musée de la Vie romantique Christ mis au tombeau 1845 cm Portrait de Félicité-Robert de Lamennais 1845 94 × 72,6 cm Paris, musée du Louvre Portrait de l'abbé Gaspard Deguerry 1845 119 × 73,5 cm Paris, musée de la Vie romantique Marguerite tenant son enfant mort 1846 36 × 23 cm Paris, musée de la Vie romantique Saint Augustin et sainte Monique 1846 165 × 132 cm Paris, musée de la Vie romantique Saint Augustin et sainte Monique (réplique) 1846 147 × 114 cm Paris, musée du Louvre Portrait de Frédéric Chopin 1847 62 × 51 cm Versailles, musée de l'Histoire de France Les douleurs de la terre se transforment en espérance en s'élevant vers le ciel vers 1847 153,5 × 99 cm Collection particulière Portrait d'Alphonse de Lamartine 1848 92 × 59 cm Versailles, musée de l'Histoire de France Faust dans son cabinet 1848 122,5 × 90 cm Paris, musée de la Vie romantique Portrait d'homme 1848 68,5 × 61,5 cm Note[31] Rouen, musée des Beaux-Arts Portrait de Jean-Abraham Nottebohm 1849 127,5 × 95 cm Paris, musée de la Vie romantique L'Amour céleste et terrestre 1850 Dordrecht, musée de Dordrecht Le Petit Atelier de la rue Chaptal 1850 Dordrecht, musée de Dordrecht Portrait de la comtesse de Gobineau 1850 72,5 × 63,5 cm Beauvais, MUDO - Musée de l'Oise Portrait d'Henri Martin 1850 120 × 81 cm Versailles, musée de l'Histoire de France Portrait de Rose Branicki 1850 51 × 43 cm Mère de la suivante musée national de Varsovie Portrait de Katarzyna Potocka née Branicka 1850 83 × 63 cm Note[32] musée national de Varsovie Sophie Marin (épouse du peintre) vers 1850 Le Comte Eberhard de Württemberg et son fils 1851 168 × 208 cm Note[33] Rotterdam, musée Boijmans Van Beuningen Dante et Béatrice 1851 180 × 99 cm Note[34] Boston, musée des Beaux-Arts Portrait de Madame Robert Holland 1851 81,9 × 60,3 cm Londres, National Gallery Portrait de Pauline Viardot en Sainte Cécile 1851 82 × 51 cm Paris, musée de la Vie romantique Le Christ pleurant sur Jérusalem 1851 107,6 × 73,5 cm Note[35] Baltimore, Walters Art Museum Le Christ consolateur (réplique) 1851 60 × 80 cm Minneapolis Institute of Arts La Tentation du Christ 1851-1858 345 × 241 cm Paris, musée du Louvre Portrait de Louis Ratisbonn 1852 46,5 × 38,5 cm Paris, musée de la Vie romantique Le Comte Eberhard de Württemberg pleurant aux côtés du corps de son fils 1853 168 × 208 cm Note[36] Rotterdam, musée Boijmans Van Beuningen La Tentation du Christ 1854 Liverpool, Walker Art Gallery Saint Augustin et sa mère sainte Monique 1854 135,2 × 104,8 cm Londres, National Gallery Les Ombres de Francesca da Rimini et de Paolo Malatesta apparaissent à Dante et à Virgile (réplique) 1855 171 × 239 cm Paris, musée du Louvre Portrait d'Abel-François Villemain 1855 109 × 99,7 cm Paris, musée du Louvre Ruth et Noémi 1855 157 × 118 cm Paris, musée du Louvre Ruth et Noémi (réduction) 1855 55,8 × 40,8 cm Liverpool, Walker Art Gallery Portrait de la reine Marie-Amélie en deuil (esquisse) 1857 128 × 98 cm Paris, musée de la Vie romantique Portrait de la reine Marie-Amélie 1857 139 × 106 cm Chantilly, musée Condé Le Retour du fils prodigue 1857 60,8 × 49,6 cm Londres, Wallace Collection Portrait de Cornélie Renan-Scheffer 1857 46 × 38,5 cm Paris, musée de la Vie romantique Le Partage du pain 1857 61 × 49,5 cm Collection particulière Le Baiser de Judas 1857 61 × 49,5 cm Collection particulière Marguerite à la fontaine 1858 160 × 101 cm Londres, Wallace Collection Portrait de Calvin 1858 121 × 89 cm Paris, musée de la Vie romantique L'Ange de la Résurrection 1858 163 × 123 cm Paris, musée de la Vie romantique La Mort de Malvina 113 × 147 cm Varzy, musée Auguste Grasset Autoportrait 61 × 50 cm Dijon, musée Magnin Portrait d'un prince de la famille de Prusse 61 x 51 cm Collection particulière Le Christ au roseau 117 × 88,2 cm Cambrai, musée de Cambrai Exilés grecs sur un rocher, regardant leur patrie perdue 40,5 × 32 cm Note[37] Enschede, Rijksmuseum Twenthe (en) Hannibal jurant de venger la mort de son frère Hasdrubal 86 × 98 cm Paris, musée de la Vie romantique Le Jeune Malade 38 × 46 cm Dijon, musée Magnin Lénor, les morts vont vite après 1830 59 × 76 cm Note[38] Lille, palais des Beaux-Arts Lénor, les morts vont vite 59,5 × 81,5 cm Guéret, musée d'Art et d'Archéologie La Madeleine au pied de la croix 92 × 60 cm Note[39] Marseille, musée des Beaux-Arts La Madeleine au pied de la croix 92,8 × 60,4 cm Note[40] musée d'Amsterdam Mater dolorosa 55 × 45 cm Squiffiec, église (œuvre volée) Mademoiselle de Montblanc après sa mort, sous la figure d'un ange 1847 81 × 160 cm Grenoble, musée de Grenoble Napoléon à Sainte-Hélène dictant ses mémoires à Las Cases Versailles, musée Lambinet La mort d'Eurydice 1814 160 × 128 cm Blois, musée des Beaux-Arts Portrait de Charles Gounod 50 × 42 cm Versailles, musée de l'Histoire de France Portrait d'Eugène Cavaignac 78 × 56 cm Versailles, musée de l'Histoire de France Portrait de François Arago 84 × 65 cm Note[41] Versailles, musée de l'Histoire de France Portrait d'Horace Vernet 56 × 47 cm Versailles, musée de l'Histoire de France Portrait du général Saint-Cyr Nugues 73 × 60 cm Versailles, musée de l'Histoire de France Portrait d'Aimable-Guillaume-Prospère Brugière, baron de Barante 59 × 45 cm Versailles, musée de l'Histoire de France Portrait de Césarine-Marie-Joséphine d'Houdetot, baronne de Barante 74 × 52 cm Versailles, musée de l'Histoire de France Portrait de Marie Taglioni 48 × 35 cm Versailles, musée de l'Histoire de France Portrait de Monseigneur Sibour, archevêque de Paris 64 × 49 cm Versailles, musée de l'Histoire de France Portrait d'Odilon Barrot 140 × 97 cm Paris, Conseil d'État Portrait de Paul-Louis Couturier 56 × 46 cm Versailles, musée de l'Histoire de France Portrait de Madame Charles de Rémusat 56 × 45 cm Note[42] Toulouse, musée du Vieux Toulouse Portrait présumé de Mademoiselle Mars 91 × 72,5 cm Paris, musée de la Vie romantique Portrait de Cornélie Marjolin-Scheffer 46 × 38 cm Paris, musée de la Vie romantique Portrait de Cornélie Scheffer enfant (esquisse) 99 × 59 cm Paris, musée de la Vie romantique Projet de triptyque 62 × 53 cm Paris, musée de la Vie romantique Scène d'exode (esquisse) 60 × 73,5 cm Note[43] Rouen, musée des Beaux-Arts