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Bourg-de-Bigorre — Wikipédia

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Bourg-de-Bigorre
Bourg-de-Bigorre
Vue du village.
Blason de Bourg-de-Bigorre
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Bagnères-de-Bigorre
Intercommunalité Communauté de communes du Plateau de Lannemezan
Maire
Mandat
Régine Sarrat
2020-2026
Code postal 65130
Code commune 65105
Démographie
Gentilé Bourgeais
Population
municipale
196 hab. (2022 en stagnation par rapport à 2016)
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 05′ 29″ nord, 0° 15′ 40″ est
Altitude Min. 331 m
Max. 574 m
Superficie 7,92 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Vallée de l'Arros et des Baïses
Législatives Première circonscription
Localisation

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Bourg-de-Bigorre

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Bourg-de-Bigorre

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Bourg-de-Bigorre

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Bourg-de-Bigorre est une commune française située dans le centre du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la région des Baronnies, dont le nom est issu d’une légende selon laquelle quatre seigneurs du Moyen Âge avaient pour habitude de festoyer ensemble aux sources de l’Arros, chacun d’eux gardant un pied sur sa terre et l’autre sur celle du voisin.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Arros, l'Esqueda, le ruisseau Bidaudos et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Bourg-de-Bigorre est une commune rurale qui compte 196 habitants en 2022, après avoir connu un pic de population de 801 habitants en 1831..

Ses habitants sont appelés les Bourgeais.

Entrée de la commune.

La commune de Bourg-de-Bigorre se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

Sur le plan historique et culturel, Bourg-de-Bigorre fait partie de la région des Baronnies, dont le nom est issu d’une légende selon laquelle quatre seigneurs du Moyen Âge (les barrons d’Esparros et de Lomné, le vicomte d’Asté et le sire d’Uzer) avaient pour habitude de festoyer ensemble aux sources de l’Arros, chacun d’eux gardant un pied sur sa terre et l’autre sur celle du voisin[1].

Elle se situe à 22 km à vol d'oiseau de Tarbes[2], préfecture du département, à 9 km de Bagnères-de-Bigorre[3], sous-préfecture, et à 10 km de Tournay[4], bureau centralisateur du canton de la Vallée de l'Arros et des Baïses dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lannemezan[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Bonnemazon (1,6 km), Benqué (1,9 km), Espieilh (2,1 km), Sarlabous (2,1 km), Molère (3,1 km), Mauvezin (3,3 km), Escots (3,4 km), Esconnets (3,5 km).

Carte

Les limites communales de Bourg-de-Bigorre et celles de ses communes adjacentes.

Représentations cartographiques de la commune

Carte OpenStreetMap

Carte topographique

Carte avec les communes environnantes

La commune est dans le bassin de l'Adour, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par l'Arros, le Esqueda, le ruisseau Bibaudos et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 15 km de longueur totale[8],[Carte 1].

L'Arros, d'une longueur totale de 130,8 km, prend sa source dans la commune d'Esparros et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Izotges, après avoir traversé 54 communes[9].

Le Esqueda, d'une longueur totale de 10,7 km, prend sa source dans la commune de Banios et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Arros à Antin, après avoir traversé 7 communes[10].

Panorama du village niché dans la vallée de l'Arros, vu depuis les hauteurs de Bonnemazon.

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[12].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[11]
  • Moyenne annuelle de température : 12,5 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,4 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,4 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14,2 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 994 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,9 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,3 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Tournay », sur la commune de Tournay, mise en service en 1970[16] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[17],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,9 °C et la hauteur de précipitations de 998,7 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-Pyrénées », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 25 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[20], à 12,6 °C pour 1981-2010[21], puis à 12,9 °C pour 1991-2020[22].

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[23] : le « réseau hydrographique des Baronnies » (390 ha), couvrant 35 communes du département[24] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[23] : les « Baronnies » (20 367 ha), couvrant 43 communes du département[25].

Au 1er janvier 2024, Bourg-de-Bigorre est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[I 3],[I 4].

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (50,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (50,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,2 %), prairies (29 %), zones agricoles hétérogènes (20,9 %)[26].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

  • Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.

  • Photo aérienne en couleurs de la commune.

    Carte orthophotogrammétrique de la commune.

Vue en été.

En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 127[I 5].
Parmi ces logements, 55,8 % sont des résidences principales, 33,2 % des résidences secondaires et 11,1 % des logements vacants.

Cette commune est desservie par les routes départementales D 14, D 84 et D 326.

Le territoire de la commune de Bourg-de-Bigorre est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité moyenne)[27]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[28].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Arros et le Esqueda. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[29]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2004, 2006, 2009 et 2018[30],[27].

Bourg-de-Bigorre est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le 21 avril 2020 pour la période 2020-2029. Le précédent couvrait la période 2007-2017. L’emploi du feu est régi par deux types de réglementations. D’abord le code forestier et l’arrêté préfectoral du 27 octobre 2014, qui réglementent l’emploi du feu à moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du département. Ensuite celle établie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brûlage des déchets verts des particuliers. L’écobuage est quant à lui réglementé dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[31].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bourg-de-Bigorre.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[32].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 37,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (44,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 131 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 83 sont en aléa moyen ou fort, soit 63 %, à comparer aux 75 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[33],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[34].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[27].

Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Bourg-de-Bigorre.

On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[35] qui rapporte les dénominations historiques du village :

Dénominations historiques :

  • castrum qui vocatur Borc, latin et gascon (1256, contrat mariage Esquivat) ;
  • de Burgo, latin (1300, enquête Bigorre ; 1313, Debita regi Navarre) ;
  • de Burgo, latin (1342, pouillé Tarbes ; 1379, procuration Tarbes) ;
  • Bourq (1790, Département 1) ;
  • purg (fin XVIIIe siècle, carte de Cassini) ;
  • Bourg prend le nom de Bourg-de-Bigorre en 1962.

Étymologie : mot germanique passé en bas-latin burgus (= gros village), puis en occitan borc (= forteresse).

Nom occitan : Borg.

La bascule.
Une vierge.

La commune fut le centre du petit pays des Baronnies, chef-lieu de canton au début XIXe siècle, très active avant 1914.

En 1442, un monastère y fut érigé par Bernard II, frère d'Odon de la Barthe, à la demande du seigneur Raymond de Bourg.

Le plan cadastral napoléonien de Bourg-de-Bigorre est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[36].

La mairie en 2016.
Le foyer rural en 2020
La Poste de Bourg-de-Bigorre en 2016.

Sénéchaussée de Toulouse, élection de Nébouzan, viguerie de Mauvezin, canton de Lannemezan, de Bourg (1790), Lannemezan (depuis 1801). Bourg prend le nom de Bourg-de-Bigorre en 1962[37].

Bourg-de-Bigorre appartient à la communauté de communes du Plateau de Lannemezan Neste-Baronnies-Baïses créée en janvier 2017 et qui réunit 57 communes.

La commune de Bourg-de-Bigorre dispose d'une agence postale.

Liste des juridictions compétentes pour la commune [38]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[40]. En 2022, la commune comptait 196 habitants[Note 7], en stagnation par rapport à 2016 (Hautes-Pyrénées : +1,59 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
549511589684801765726743749
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
721680698658652620590633582
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
525507522433503371369307270
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
268258231214177182207178196
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
2021 2022 - - - - - - -
196196-------

De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)

Histogramme de l'évolution démographique

L’école primaire en 2016.

La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle dispose d’une école en 2017[43].

En 2018, la commune compte 93 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 197 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 280 [I 6] (20 420  dans le département[I 7]).

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 8] 6,8 % 11 % 10,3 %
Département[I 9] 7,7 % 9,4 % 9,8 %
France entière[I 10] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 107 personnes, parmi lesquelles on compte 80,4 % d'actifs (70,1 % ayant un emploi et 10,3 % de chômeurs) et 19,6 % d'inactifs[Note 9],[I 8]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 11]. Elle compte 80 emplois en 2018, contre 72 en 2013 et 57 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 76, soit un indicateur de concentration d'emploi de 105,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 52,1 %[I 12].

Sur ces 76 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 22 travaillent dans la commune, soit 29 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 81,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 14,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].

L'église Saint-Pierre en 2016.
  • Église Saint-Pierre de Bourg-de-Bigorre, classique des XVIIe et XVIIIe siècles.
Blason Blasonnement :

Parti d'argent à la Crosse épiscopale d'or*, au chef d'azur chargé d'un tau accosté de deux fleurs de lys, le tout du second ; et du même au lion d'azur.

Commentaires : * Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (superposer de l'or sur de l'argent est interdit en héraldique).

Le monument aux morts municipal.
  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[13].
  3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  7. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Bourg-de-Bigorre » sur Géoportail (consulté le 3 novembre 2021).
  2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le 15 avril 2021). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le 15 septembre 2022).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le 10 avril 2021).
  1. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune de Bourg-de-Bigorre ».
  2. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, 28 mai 2024 (consulté le 1er juillet 2024).
  3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, 21 octobre 2020 (consulté le 1er juillet 2024).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, 21 octobre 2020 (consulté le 1er juillet 2024).
  5. Insee : Rapport statistique communal pour la ville de Bourg-de-Bigorre
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Bourg-de-Bigorre » (consulté le 17 février 2022).
  7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le 17 février 2022).
  8. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Bourg-de-Bigorre » (consulté le 17 février 2022).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le 17 février 2022).
  10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le 17 février 2022).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le 10 avril 2021).
  12. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Bourg-de-Bigorre » (consulté le 17 février 2022).
  13. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le 17 février 2022).
  14. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le 17 février 2022).
  1. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, avril 1999 (ISBN 2-213-59961-0), p. 283-284.
  2. Stephan Georg, « Distance entre Bourg-de-Bigorre et Tarbes », sur fr.distance.to (consulté le 18 août 2021).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Bourg-de-Bigorre et Bagnères-de-Bigorre », sur fr.distance.to (consulté le 18 août 2021).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Bourg-de-Bigorre et Tournay », sur fr.distance.to (consulté le 18 août 2021).
  5. « Communes les plus proches de Bourg-de-Bigorre », sur villorama.com (consulté le 18 août 2021).
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le 3 novembre 2021).
  8. « Fiche communale de Bourg-de-Bigorre », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le 3 novembre 2021).
  9. Sandre, « l'Arros »
  10. Sandre, « le Esqueda »
  11. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ 18 juin 2010 (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le 10 juillet 2021)
  12. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, 4 février 2020 (consulté le 10 juillet 2021).
  13. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  14. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le 12 juin 2021).
  15. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, 2020 (consulté le 10 juillet 2021).
  16. « Station Météo-France Tournay - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le 10 juillet 2021).
  17. « Orthodromie entre Bourg-de-Bigorre et Tournay », sur fr.distance.to (consulté le 10 juillet 2021).
  18. « Station Météo-France Tournay - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le 21 juillet 2021).
  19. « Orthodromie entre Bourg-de-Bigorre et Ossun », sur fr.distance.to (consulté le 10 juillet 2021).
  20. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1971-2000 », sur infoclimat.fr (consulté le 10 juillet 2021).
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