Cégep de Sherbrooke — Wikipédia
- ️Wed May 15 1968
Cégep de Sherbrooke | |
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Coordonnées | |
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Localisation | Sherbrooke, Québec Canada |
Adresse | 475, rue du Cégep, Sherbrooke (Québec) J1E 4K1 |
Coordonnées | 45° 24′ 36″ nord, 71° 53′ 06″ ouest |
Site web | http://www.cegepsherbrooke.qc.ca |
Informations | |
Fondation | 1968 |
Régime linguistique | Français |
Directeur | Éric Gagné |
Chiffres clés | |
Nombre d'étudiants | 6 500 |
Nombre d'employés | 750 |
Nombre de campus | 1 |
Code de l'établissement d'enseignement | 904000 |
Géolocalisation sur la carte : Québec | |
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Le Cégep de Sherbrooke est un collège d'enseignement général et professionnel d'environ 6 500 étudiants[1]. Le Cégep est situé à Sherbrooke, au Québec, sur la rue du Cégep (anciennement nommée rue du Parc), et est divisé en huit pavillons.
Le Cégep est créé le 15 mai 1968 (par décret ministériel), sous le nom de Collège de Sherbrooke et compte alors à son actif 1 300 étudiants et étudiantes[2]. La première réunion du conseil d'administration, qui est alors composé de 5 membres, a lieu le 3 juin 1968. Dès 1968, il est responsable d'administrer le Campus de Granby : les deux institutions collégiales se sépareront en 1977. Cette même année, le Collège de Sherbrooke accuse un important déficit de 687 000 $ : le Campus de Granby remet donc une somme 120 000 $ pour payer sa juste part et jouir de son autonomie financière[3].
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Le Collège de Sherbrooke est renommé Cégep de Sherbrooke en 2005. Au fil de son histoire, le Cégep de Sherbrooke voit apparaître divers organismes dont l'Association étudiante du Collège de Sherbrooke (AÉCS) en 1975, le Syndicat du personnel de soutien en 1977 et la Fondation du Collège en 1990.
Le 1er juillet 1968, le Cégep prend possession de l'École normale des garçons (pavillon 1) et de l'Institut de technologie (pavillon 2), situés dans l'ouest de la ville, pour le montant symbolique de deux dollars[4]. Le 4 septembre 1968, le Cégep y accueille ses nouveaux étudiants pour la première rentrée scolaire de son histoire.
En 1969, pour répondre aux besoins d'une masse étudiante grandissante, le Cégep ouvre un deuxième campus situé dans l'Est de la ville au coin de la rue du Parc (maintenant rue du Cégep) et de la rue Terrill. Les installations du Cégep sont réparties sur les campus Ouest et Est pendant une période de 6 ans. En 1975, le campus Ouest ferme, les services ayant tous migré à celui de l'Est. En octobre de la même année, le campus Est du Cégep, avec ses deux nouveaux pavillons, les pavillons 1 et 2, est officiellement inauguré[2].
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Le Centre de l'activité physique (CAP) du Cégep commence ses activités en 1975. Les installations intérieures du site du Centre de l'activité physique comprennent cinq gymnases (dont une palestre), deux murs d'escalade, une piscine, une salle d'entraînement ceinturée d'une piste de jogging, un dojo, une salle de danse et une salle de relaxation[5]. Accessibles à la population et aux étudiants, ces installations permettent la pratique d'activités physiques récréatives et l'entraînement aérobique et musculaire. La salle d'entraînement du CAP est l'une des plus grandes au Québec[6]. Le concept architectural du CAP fut élaboré avec les professeurs du département d'Éducation physique[4].
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Le nouveau pavillon 2, nommé à l'époque Pavillon des Sciences, accueille ses premiers étudiants en septembre 1975. Il occupe une superficie presque équivalente à la somme de celles occupées par les pavillons 3, 4, 5 et 6. Ce bâtiment contient le Centre des médias (médiathèque du Cégep) et accueille les programmes des Sciences de la nature, des Techniques physiques et Techniques de la santé.
Le pavillon 3, qui fut le premier pavillon du campus Est, ouvre ses portes en septembre 1969. Il occupe alors les locaux de l'École normale Notre-Dame-du-Sacré-Cœur louée à la congrégation religieuse des Filles de la Charité du Sacré-Cœur de Jésus[4]. Le 11 décembre 1981, la nouvelle appellation de l'amphithéâtre de ce pavillon est dévoilée : la Salle Alfred-DesRochers, nommée en l'honneur du poète et journaliste sherbrookois du même nom. Il s'agit du pavillon des départements de Sciences humaines, d'Histoire et civilisation, de Technique d'éducation à l'enfance et Techniques d'éducation spécialisée et de Musique.
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Le pavillon 4 accueille les programmes des Arts et Lettres depuis 1970 ainsi que des Arts plastiques et de Graphisme. En 1971, ses installations sont rénovées. Le bâtiment, construit en 1939, est à l'origine l'école primaire Saint-Sacrement[4]. En 2019, un carrefour des arts a été aménagé dans le bâtiment où il sert de lieu de rassemblement pour les étudiants du programme d'arts, lettres et communication, de graphisme et d'arts visuels[7].
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Le pavillon 5, reçoit ses premiers étudiants en 1972[4]. Il s'agit du pavillon services administratifs et des Techniques de l'informatique, Techniques de bureautique, et Techniques administratives.
Le bâtiment appartient initialement au Sherbrooke Hospital et est racheté, en 1945, par les Filles de la Charité pour devenir le Collège du Sacré-Cœur, une école réservée aux filles[8]. En 1969, le bâtiment est revendu au gouvernement québécois afin de devenir l'actuel pavillon 5 du Collège de Sherbrooke.
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La résidence, initialement réservée aux filles, accueille ses premières occupantes en 1969. À partir de 1973, elle devient aussi accessible aux garçons. Un incendie s'y déclencha le 8 février 1977. Les résidents sont logés dans des familles et à l'hôtel pendant le nettoyage et la restauration des lieux. Le 5 janvier 1988, un second incendie survient.
Le pavillon 6 est le plus haut immeuble de Sherbrooke depuis sa création[9]. En raison de la superstition figurant le chiffre « 13 » comme signe de malchance, le treizième étage des résidences du Cégep est identifié comme étant le quatorzième étage. Les étages inférieurs du pavillon accueillent quant à eux la cafétéria principale, les locaux de l'association étudiante ainsi que la librairie.
Des classes sont louées par le Cégep (hors campus) à cause du manque de locaux et un apport d'étudiants élevé.
Le pavillon 9, érigé en 2008, était constitué d'unités mobiles modulaires. Ces installations, temporaires, étaient destinées à accueillir le surplus d'étudiants à la suite de la hausse importante de la masse étudiante. Il a été enlevé au cours de l'année 2012[10].
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À la suite du financement de 310 000 $[11] octroyé par le Ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport du Québec vers la fin de l'année 2008, le Cégep de Sherbrooke acquiert l'église Très-Saint-Sacrement, construite en 1939, situé sur la rue Kennedy-Nord, afin d'en faire le pavillon 10. Le pavillon abrite le programme des Techniques policières.
À la suite des demandes du comité écologique de l'association étudiante[12], en novembre 2006, le comité C'VIABLE (composé d'étudiants et d'employés[13]) du Cégep dote l'établissement d'une Politique de développement durable qui se manifeste à travers la mise sur pied de programmes encourageant l'utilisation des transports en commun, le covoiturage, le recyclage, la récupération et l'économie énergétique.
Tout au long de la session scolaire, en partenariat avec la STS, le Cégep offre le transport en commun gratuit à ses étudiants inscrits à temps complet, à l'instar de l'université de la ville. Cette mesure, entreprise depuis 2007, est défrayée à 25 % par le Cégep et à 75 % par les étudiants qui doivent payer une cotisation de 50 $ par session[14]. En 2008, le Cégep de Sherbrooke gagne le Prix québécois de l’entreprise citoyenne, dans la catégorie « moyennes entreprises » pour l'ensemble des mesures de transport durable[15].
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Les douze équipes sportives de badminton, basket-ball, cheerleading, football, natation, soccer et volley-ball qui représentent le Cégep de Sherbrooke sont appelées Les Volontaires.
La première équipe de football du Cégep fut créée en 1969[4] et exista jusqu'en 1978, dernière année pendant laquelle l'équipe de football participe au Bol d'Or après avoir remporté la sélection provinciale[16]. En 2004, une nouvelle équipe de football des Volontaires est formée. Dès sa deuxième saison, l'équipe remporte le Bol d'Or collégial AA division 2. À sa quatrième saison, en 2007, l'équipe qui a gagné toutes les parties de sa saison remporte le Bol d'Or collégial AA division 1[17]. L'année suivante, les Volontaires gagnèrent le Bol d’or pour une deuxième année consécutive, toujours en première division collégiale AA[18]. Ils firent de même les années suivantes, en 2009 et en 2010 [19].
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![](https://upload.wikimedia.org/wikipedia/fr/thumb/5/5c/Logo_Association_%C3%A9tudiante_du_C%C3%A9gep_de_Sherbrooke_%28AECS%29.svg/220px-Logo_Association_%C3%A9tudiante_du_C%C3%A9gep_de_Sherbrooke_%28AECS%29.svg.png)
L'Association étudiante du Cégep de Sherbrooke (AÉCS) est membre de l'Association pour une solidarité syndicale étudiante (ASSÉ). Les actions et la plateforme de l'AÉCS poursuivent ainsi des objectifs de militantisme s'inscrivant dans ceux de l'ASSÉ, par exemple (mais non-exhaustivement) : l'obtention gratuité scolaire complète, la démilitarisation ou encore la défense des droits des minorités.
En plus du militantisme qu'elle pratique, l'association finance et chapeaute la plupart des comités étudiants du Cégep dont le comité souverainiste, la radio étudiante (Chok-radio), le comité femmes, le comité d'identités et orientations sexuelles et amoureuses libres ou CIOSAL (voir LGBT), le comité écologique et le journal étudiant (Rhapsodie : composition libre).
L'AÉCS offre aussi à ses membres (soit tous les étudiants du Cégep) une série de services gratuits récurrents, dont la création d'un agenda (dont la facture est montée par les finissants du programme de graphisme Studio Stage) distribué aux étudiants à chaque début d'année et la banque de livres usagés, service semestriel permettant aux étudiants de revendre leurs livres à d'autres étudiants.
L'AÉCS s'assure de la protection de plusieurs luttes sociales, telles l'environnement ou encore le féminisme. Le contenu féministe prend une place majeure au sein de l'association en 1980, afin de prendre part à un débat sur l'inégalité des sexes[20].
Depuis 1998, le Cégep de Sherbrooke abrite le Centre de productique intégrée du Québec (CPIQ), un centre collégial de transfert de technologie (CCTT) auquel il est affilié. Ce centre offre des services de recherche et développement, de soutien technique ainsi que de la formation aux entreprises et permet aux enseignants et élèves de participer à ses projets.
Annuellement, le département des arts et des lettres du Cégep, en partenariat avec le département de graphisme, publie la revue littéraire Chimère qui rassemble des textes courts de tous genres (nouvelle, poésie, essai, etc.) soumis par les étudiants et sélectionnés par un jury.
À chaque printemps depuis 2004, dans le cadre du projet Récolte musicale du printemps (RMP), le département de Musique du Cégep lance un album musical anthologique de pièces musicales interprétés ou composées par les étudiants. Toutes les performances sont enregistrées par des étudiants du département au studio d'enregistrement du Cégep[21]. Les différents albums promotionnels publiés – soit Inouïe (2004), Vibrations (2005), En portée (2006), Euphonie (2007) et Coda (2008)[22] – s'intitulent de mots ayant un lien avec la terminologie musicale.
L'histoire du Cégep est ponctuée par la parution de diverses publications destinées aux différents acteurs de sa communauté.
En janvier 1971, la publication du Cégep-Inter, un hebdomadaire qui informe les étudiants et le personnel de l'actualité collégienne de l'établissement, débute[23]. Le Cégep-Inter paraît toujours à ce jour, à sa fréquence initiale.
Le premier journal du Cégep de Sherbrooke, publié le 17 octobre 1968, s'appelait le Cegepoivre et fut renommé renommé La Bascule, à son troisième numéro qui sortit le 21 novembre de la même année[24]. S'ensuivirent ensuite une série de journaux étudiants chargeant plusieurs fois de noms et d'équipe à travers les années. Le journal étudiant actuel, apparu pour la toute première fois en novembre 2009, se nomme "Rhapsodie-Composition libre". Les origines du nom sont entre autres dues à la variété et à la liberté de style et de parole qui caractérisent les articles du nouveau journal étudiant.
- Robert Sabourin (3 juin 1968 – 26 octobre 1976)
- René Aubry, par intérim (octobre 1976 – 7 février 1977)
- José Leroux (7 février 1977 – 18 février 1983)
- René Aubry, par intérim (février 1983 – 16 juin 1984)
- Paul Gervais (26 juin 1984 – 1990)
- Jocelyn Vallée (1991 – 2000)
- Micheline Roy (2001 – 2007)
- Sylvain Saint-Cyr (28 mai 2007[25] – 17 septembre 2009[26])
- Marie-France Bélanger, par intérim (septembre 2009 - juin 2010)
- Marie-France Bélanger (juin 2010[27] - juin 2022)
- Éric Gagné (juin 2022 -)
- Patrick Nicol, romancier et nouvelliste
- Hugues Corriveau, poète, essayiste, romancier et nouvelliste
- Michel Gosselin, romancier et essayiste
- Pierre-Luc Dusseault, député fédéral, y a obtenu un diplôme d’études collégiales en sciences humaines.
- ↑ En 2009. Isabelle Pion, « Clientèle record au Cégep de Sherbrooke », La Tribune, 24 août 2009 (lire en ligne)
- ↑ a et b Cégep de Sherbrooke, « Histoire du Cégep », 2008 (consulté le 23 septembre 2008)
- ↑ Napoléon Gaignard, Le Cégep de Granby - Haute-Yamaska : Historique de 1968 à 2002, 2002.
- ↑ a b c d e et f Vingt ans déjà!, Sherbrooke, Collège de Sherbrooke, 1989, 83 p.
- ↑ Cégep de Sherbrooke, « Pavillon 1 », 2007 (consulté le 10 novembre 2008)
- ↑ Cégep de Sherbrooke, « Centre de l’activité physique CAP », 2007 (consulté le 22 septembre 2008)
- ↑ « Le pavillon 4 du Cégep aura son carrefour des arts », sur La Tribune, 7 avril 2019 (consulté le 23 décembre 2022)
- ↑ Collège du Sacré-Cœur, « Un peu d'histoire... » (consulté le 24 janvier 2009)
- ↑ « Sherbrooke », sur SkyscraperPage.com
- ↑ Éliane Thibault, « Le Cégep de Sherbrooke démantèle son pavillon 9 »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur Le Journal de Sherbrooke, 4 juillet 2012
- ↑ Isabelle Pion, La Tribune, « Église Très-Saint-Sacrement : le Cégep a le feu vert de Québec », 14 novembre 2008 (consulté le 4 mars 2009)
- ↑ Mireille Guay, « Le comité environnement - Rapport 2006-2007 », sur SPECS-CSN, 2007 (consulté le 24 avril 2009)
- ↑ Marie-Claude Dupoy, « Le Cégep de Sherbrooke certifié Cégep Vert », sur Cégep de Sherbrooke, 20 octobre 2009
- ↑ « Les cégepiens de Sherbrooke auront accès gratuitement au transport en commun », La Presse Canadienne, 26 avril 2007
- ↑ « Les lauréats des Prix québécois de l'entreprise citoyenne 2008 - Korn/Ferry - L'actualité », 2008 (consulté le 20 novembre 2008)
- ↑ Pier-Luc Auger, « Historique », 2012 (consulté le 22 aout 2012)
- ↑ TQS, « L'équipe de football du cégep de Sherbrooke remporte les grands honneurs », 2007 (consulté le 23 septembre 2008)
- ↑ RDS, « Un 2e Bol d'or pour les Volontaires », 2008 (consulté le 19 novembre 2008)
- ↑ Le Reflet du Lac, « Les Volontaires mettent la main sur le Bol d'or », 2009 (consulté le 18 novembre 2009)
- ↑ AÉCS, « Le féminisme un courant majeur »
- ↑ Cégep de Sherbrooke, « Arts plastiques et Musique - Récolte musicale du printemps », 2008 (consulté le 27 novembre 2008)
- ↑ Cégep de Sherbrooke, « Lancement de l’album CODA au Cégep de Sherbrooke », 2008 (consulté le 27 novembre 2008)
- ↑ Collège de Sherbrooke, « [Sans titre] », Cégep-Inter, no 1, janvier 1971
- ↑ Bibliothèque et Archives nationales du Québec, « Rechercher du sujet : Collège de Sherbrooke - Périodiques », 2005 (consulté le 1er novembre 2008)
- ↑ Marie-Christine Bouchard, La Tribune, « L'ex-dg Sylvain Saint-Cyr poursuivra le Cégep », 31 octobre 2009 (consulté le 1er novembre 2009)
- ↑ Marie-Christine Bouchard, La Tribune, « Le DG du Cégep a quitté ses fonctions », 21 septembre 2009 (consulté le 1er novembre 2009)
- ↑ Isabelle Pion, La Tribune, « Marie-France Bélanger nommée directrice générale du Cégep », 17 juin 2010 (consulté le 2 mai 2011)