Cailla — Wikipédia
- ️Mon Jan 01 2024
Cailla | |
![]() | |
![]() Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Aude |
Arrondissement | Limoux |
Intercommunalité | Communauté de communes des Pyrénées Audoises |
Maire Mandat |
Alfred Vismara 2020-2026 |
Code postal | 11140 |
Code commune | 11060 |
Démographie | |
Gentilé | Caillais, Caillaises
ou Caillanols, Caillanoles |
Population municipale |
52 hab. (2022 ![]() |
Densité | 6,8 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 42° 48′ 56″ nord, 2° 11′ 51″ est |
Altitude | Min. 387 m Max. 1 240 m |
Superficie | 7,64 km2 |
Type | Commune rurale à habitat très dispersé |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de la Haute-Vallée de l'Aude |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Aude Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative) | |
modifier ![]() |
Cailla Écouter (en occitan Calhan) est une commune française, située dans le Sud-Ouest du département de l'Aude en région Occitanie.
Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Pays de Sault, un plateau situé entre 990 et 1310 mètres d'altitude fortement boisé. Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Rébenty. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (le « pays de Sault » et le « bassin du Rebenty ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Cailla est une commune rurale qui compte 52 habitants en 2022, après avoir connu un pic de population de 223 habitants en 1851. Ses habitants sont appelés les Caillais ou Caillaises ou Caillanols.
Cailla se situe en zone de sismicité 3 (sismicité modérée)[2].
La commune est dans la région hydrographique « Côtiers méditerranéens »[3], au sein du bassin hydrographique Rhône-Méditerranée-Corse[4]. Elle est drainée par le Rebenty, constituant un réseau hydrographique de 4 km de longueur totale[5],[Carte 1].
La Lauquette, d'une longueur totale de 17,9 km, prend sa source dans la commune de Fajac-en-Val et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est puis vers l'ouest. Elle traverse la commune et se jette dans le Lauquet à Ladern-sur-Lauquet, après avoir traversé 4 communes[6].
En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Pyrénées orientales, caractérisée par une faible pluviométrie, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un air sec, particulièrement en hiver et peu de brouillards[8].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 968 mm, avec 9,4 jours de précipitations en janvier et 5,7 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Granès à 10 km à vol d'oiseau[9], est de 13,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 724,6 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
![](https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/6/61/11060-Cailla-Natura2000.png/220px-11060-Cailla-Natura2000.png)
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[14] :
- le « bassin du Rebenty », d'une superficie de 8 567 ha, qui offre une palette d'habitats naturels sur une grande gamme altitudinale et climatique et sur des substrats variés (calcaires, marnes, schistes). En particulier, on y rencontre de belles pinèdes de pins à crochets sur sol acide. La rivière héberge des espèces aquatiques (Chabot commun et Barbeau méridional, Écrevisse à pattes blanches) et mammifères (Desman des Pyrénées)[15]
et un au titre de la directive oiseaux[14] :
- le « pays de Sault », d'une superficie de 71 499 ha, présentant une grande diversité d'habitats pour les oiseaux. On y rencontre donc aussi bien les diverses espèces de rapaces rupestres, en particulier les vautours dont les populations sont en augmentation, que les passereaux des milieux ouverts (bruant ortolan, alouette lulu) et des espèces forestières comme le pic noir[16].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 2] est recensée sur la commune[17] : la « vallée du Rébenty de Belfort-sur-Rebenty à Cailla » (3 553 ha), couvrant 10 communes du département[18] et deux ZNIEFF de type 2[Note 3],[17] :
- le « petit plateau de Sault » (5 054 ha), couvrant 11 communes du département[19] ;
- la « vallée du Rébenty » (5 661 ha), couvrant 14 communes du département[20].
- Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Cailla.
-
Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
-
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Au 1er janvier 2024, Cailla est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[21]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[22],[23].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (94,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (62 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (32,5 %), zones agricoles hétérogènes (5,5 %)[24]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
![Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.](https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/5/5e/11060-Cailla-Sols.png/310px-11060-Cailla-Sols.png)
Le territoire de la commune de Cailla est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].
![](https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/b/b8/11060-Cailla-argile.jpg/260px-11060-Cailla-argile.jpg)
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (75,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 49 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 49 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 94 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27],[Carte 3].
La commune est en outre située en aval des barrages de Matemale et de Puyvalador, deux ouvrages de classe A[Note 4], situés dans le département des Pyrénées-Orientales. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[29].
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Cailla est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[30].
La première mention d'une villa Kalliano date de 898. Le moine Leuva donne au monastère de Saint-Martin-Lys des terres et des vignes.
Au Xe siècle la seigneurie d'Axat inclut Artigues et Cailla qui fait alors partie, comme Artigues ou Axat, du pagus puis de la vicomté de Fenouillet ou Fenouillèdes jusqu'en 1258[31].
Sur le territoire de la commune actuelle, la localité de Courondes ou Coronoles et son église dédiée à sainte Marie sont citées dans plusieurs documents à partir de 954 comme des possessions de l'abbaye de Saint-Martin-Lys. Courondes figure notamment sur la carte de Cassini.
Le hameau de Laprade est cité depuis le XIIe siècle.
Au milieu du XVe siècle, la seigneurie de Cailla est achetée par la famille Dax une très ancienne famille originaire de Carcassonne[32] qui donna plusieurs consuls de la Cité au Moyen Âge et resta présente à Axat jusqu'à l'orée du XXe siècle. C'est Arnaud Dax, consul de Carcassonne qui en fait l'acquisition en 1457, il est aussi seigneur d'Axat, Artigues, La Serpent, Leuc, Trèbes et autres places[33].
La commune de Cailla est membre de la communauté de communes des Pyrénées audoises [I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le 30 mai 2013 dont le siège est à Quillan. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[34].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Limoux, au département de l'Aude, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 1].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de la Haute-Vallée de l'Aude pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la troisième circonscription de l'Aude pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[35].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
mars 2001 | En cours | Alfred Vismara[36] | ||
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[38].
En 2022, la commune comptait 52 habitants[Note 5], en évolution de +10,64 % par rapport à 2016 (Aude : +2,65 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
168 | 160 | 161 | 169 | 208 | 214 | 211 | 204 | 223 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
187 | 185 | 177 | 179 | 163 | 137 | 149 | 165 | 151 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
149 | 153 | 122 | 99 | 99 | 79 | 74 | 59 | 50 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2004 | 2006 | 2009 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
22 | 17 | 28 | 41 | 48 | 51 | 51 | 48 | 54 |
2014 | 2019 | 2022 | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
50 | 49 | 52 | - | - | - | - | - | - |
Histogramme de l'évolution démographique
Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 2] | 17,1 % | 10 % | 14,3 % |
Département[I 3] | 10,2 % | 12,8 % | 12,6 % |
France entière[I 4] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 21 personnes, parmi lesquelles on compte 85,7 % d'actifs (71,4 % ayant un emploi et 14,3 % de chômeurs) et 14,3 % d'inactifs[Note 6],[I 2]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 5]. Elle compte 14 emplois en 2018, contre 16 en 2013 et 11 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 15, soit un indicateur de concentration d'emploi de 93,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 42,9 %[I 6].
Sur ces 15 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 11 travaillent dans la commune, soit 73 % des habitants[I 7]. Pour se rendre au travail, 40 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 6,7 % les transports en commun, 26,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 26,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 8].
Trois établissements[Note 7] sont implantés à Cailla au 31 décembre 2019[I 9]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 66,7 % du nombre total d'établissements de la commune (2 sur les 3 entreprises implantées à Cailla), contre 32,3 % au niveau départemental[I 10].
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Exploitations | 4 | 3 | 3 |
Superficie agricole utilisée (ha) | 292 | 511 | 385 |
La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Pays de Sault »[41]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 8] sur la commune est l'élevage de bovins, lait, élevage et viande combinés[42]. Trois exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole[Note 9] de 2010 (quatre en 1988). La superficie agricole utilisée est de 385 ha[42].
- Église Saint-Saturnin de Cailla.
- Le col de Nadieu (1 055 mètres) se trouve sur un tripoint en limite Est de la commune en direction du Clat ou du col de Dent (1 232 mètres) apprécié des cyclistes.
- La famille Dax, originaire de Carcassonne, fut liée à Cailla depuis le milieu du XVe siècle, lorsque ses représentants devinrent seigneur de Cailla.
- François-Pierre-André Bertrand de Palmarolle (1714-1760), né sur la commune et mort à Québec, lieutenant-colonel dans les troupes de Louis-Joseph de Montcalm, il est blessé lors de la bataille de Sainte-Foy le 28 avril 1760 et décède le 3 mai. Palmarolle est une municipalité en Abitibi-Témiscamingue (Canada) qui lui a rendu hommage en prenant son nom.
- Liste des communes de l'Aude
- Anciennes communes de l'Aude
- Armorial des communes de l'Aude
- Famille Dax
- Jean Dax, seigneur d'Axat
- Ange Jean Michel Bonaventure de Dax d'Axat
- Notes
- ↑ Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
- ↑ Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- ↑ Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- ↑ Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[28].
- ↑ Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
- ↑ Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- ↑ L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- ↑ L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- ↑ Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[43].
- Cartes
- ↑ « Réseau hydrographique de Cailla » sur Géoportail (consulté le 7 décembre 2021).
- ↑ IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le 14 juillet 2023).
- ↑ « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le 6 septembre 2022).
- ↑ Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le 10 avril 2021).
- ↑ a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune ».
- ↑ a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Cailla » (consulté le 24 janvier 2022).
- ↑ « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans l'Aude » (consulté le 24 janvier 2022).
- ↑ « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le 24 janvier 2022).
- ↑ « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le 10 avril 2021).
- ↑ « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Cailla » (consulté le 24 janvier 2022).
- ↑ « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le 24 janvier 2022).
- ↑ « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le 24 janvier 2022).
- ↑ « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Cailla » (consulté le 27 janvier 2022).
- ↑ « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans l'Aude » (consulté le 27 janvier 2022).
- ↑ Carte IGN sous Géoportail
- ↑ Plan séisme
- ↑ « Découpage en régions hydrographiques », sur sandre.eaufrance.fr (consulté le 7 décembre 2021).
- ↑ « Désoupage en territoires SDAGE/DCE du bassin Rhône-Méditerranée-Corse », sur rhone-mediterranee.eaufrance.fr, octobre 2018 (consulté le 7 décembre 2021).
- ↑ « Fiche communale de Cailla », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le 7 décembre 2021).
- ↑ Sandre, « la Lauquette »
- ↑ a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, 18 juin 2010 (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le 21 novembre 2023)
- ↑ « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le 21 novembre 2023).
- ↑ « Orthodromie entre Cailla et Granès », sur fr.distance.to (consulté le 21 novembre 2023).
- ↑ « Station Météo-France « Granes » (commune de Granès) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le 21 novembre 2023).
- ↑ « Station Météo-France « Granes » (commune de Granès) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le 21 novembre 2023).
- ↑ « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, novembre 2022 (consulté le 21 novembre 2023).
- ↑ Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- ↑ a et b « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Cailla », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le 28 septembre 2021).
- ↑ « site Natura 2000 FR9101468 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le 28 septembre 2021).
- ↑ « site Natura 2000 FR9112009 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le 28 septembre 2021).
- ↑ a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Cailla », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le 28 septembre 2021).
- ↑ « ZNIEFF la « vallée du Rébenty de Belfort-sur-Rebenty à Cailla » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le 28 septembre 2021).
- ↑ « ZNIEFF le « petit plateau de Sault » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le 28 septembre 2021).
- ↑ « ZNIEFF la « vallée du Rébenty » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le 28 septembre 2021).
- ↑ « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, 28 mai 2024 (consulté le 23 juin 2024).
- ↑ « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, 21 octobre 2020 (consulté le 23 juin 2024).
- ↑ Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, 21 octobre 2020 (consulté le 23 juin 2024).
- ↑ « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le 12 avril 2021).
- ↑ « Les risques près de chez moi - commune de Cailla », sur Géorisques (consulté le 16 octobre 2022).
- ↑ BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le 6 septembre 2022).
- ↑ « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le 6 septembre 2022).
- ↑ Article R214-112 du code de l’environnement
- ↑ « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Aude »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur aude.gouv.fr (consulté le 6 septembre 2022), chapitre Risque rupture de barrage.
- ↑ « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, janvier 2021 (consulté le 6 septembre 2022).
- ↑ « Patrimoine Numérique en Ligne », sur mediatheques.legrandnarbonne.com (consulté le 18 juin 2017).
- ↑ Société des arts et des sciences de Carcassonne, « Mémoire touchant les familles plus anciennes de la ville » Famille Dax
- ↑ Francis Poudou, Opération Vilatge al País, Communauté de Communes du Canton d'Axat, Narbonne, 2000, 340 p., pp. 209-222
- ↑ « communauté de communes des Pyrénées audoises - fiche descriptive au 1er janvier 2021 », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le 10 mars 2022).
- ↑ « Découpage électoral de l'Aude (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le 10 mars 2022).
- ↑ ladepeche.fr
- ↑ L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- ↑ Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- ↑ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- ↑ Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
- ↑ « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le 27 janvier 2022).
- ↑ a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Cailla - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le 27 janvier 2022).
- ↑ Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021