Casino de Deauville — Wikipédia
- ️Thu Jul 11 1912
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Casino de Deauville | |
Localisation | |
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Coordonnées | 49° 21′ 33″ nord, 0° 04′ 12″ est |
Fonctionnement | |
Type de casino | Casino terrestre |
Propriétaire | Groupe Lucien Barrière |
Historique | |
Inauguration | 1911 |
Rénovations | 1988 |
Infrastructures | |
Principaux restaurants | 3 |
https://www.casinosbarriere.com/fr/deauville.html | |
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Le casino de Deauville est un casino de style classique à Deauville en Normandie. Fondé en 1912, il appartient au Groupe Lucien Barrière.
Le casino se situe face aux plages de la Manche à Deauville, sur la route du bord de mer. Il est voisin du Normandy Barrière et du Centre international de Deauville et se situe à deux pas du centre-ville.
En 1912, Eugène Cornuché[1] fait construire ce casino par l'architecte Georges Wybo. Il est inauguré le 11 juillet 1912.
Il est entièrement restauré en style baroque par l'architecte designer Jacques Garcia en 1988.
Le 26 mai 1978, le casino est le théâtre d'un braquage dont les auteurs sont Jacques Mesrine et François Besse[2].
Orné de lustres en cristal, dorures, marbre, velours et moulures pareils à un palais sous un plafond de 20 mètres de haut, le casino de Deauville abrite :
- Un théâtre : le Petit Trianon, théâtre à l'italienne style XVIIIe siècle de 400 places
- Un cinéma : projections du Festival du cinéma américain de Deauville
- Deux auditoriums de 500 à 700 places
- Trois restaurants : le Plaza Café, le Brummel et le Cercle
- Trois bars : le Plaza Café, le Cercle et un bar lounge : l'O2 .
- Une discothèque : le Club 13
- Un grand salon de réception : le Salon des Ambassadeurs, qui accueille notamment les dîners de gala des festivals du cinéma
- 293 machines à sous
- 4 tables de stud poker
- 4 tables de roulette française
- 4 tables de roulette anglaise
- 10 tables de blackjack
- 6 tables de Texas hold'em
- ↑ Histoire du groupe, sur lucienbarriere.com (consulté le 28 avril 2016).
- ↑ Michel Laentz, Jacques Mesrine. L'Histoire vraie de l'ennemi public numéro un, IS Edition, 2012, p. 154-155.