Jack Cazol — Wikipédia
- ️Wed Jul 08 1874
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Jules Prosper Antoine Casaulta dit Jack Cazol, né le 8 juillet 1874 à Paris 3e[1] et mort le 9 mai 1935 à Fontenay-sous-Bois, est un chansonnier et auteur dramatique français.
On lui doit les paroles de nombreuses chansons de la fin du XIXe siècle et du début du XXe[2],[3].
Il exerçait la profession paternelle de bijoutier à Paris lors de son mariage en 1899[4].
Exempté du service militaire pour infirmité (il souffrait d'un pied bot), il fut maintenu en position d'exemption par le conseil de révision en 1915. Il parvint néanmoins à souscrire un engagement spécial en novembre 1916 en tant que secrétaire à la 20e Section de secrétaires d'État-Major et de recrutement. Il sert dans un emploi sédentaire à l'intérieur et est rendu à la vie civile en février 1919[5].
- 1916 : Verdun ! On ne passe pas, avec Eugène Joullot
- 1928 : Dites-moi Doumergue, parodie de Dites-moi ma mère (1927) de Maurice Yvain et Albert Willemetz, chantée par Maurice Chevalier[6]
- ↑ Archives en ligne de Paris, 3e arrondissement, année 1874, acte de naissance no 1458, cote V4E 2716, vue 7/31
- ↑ Nécrologie par Jules Delini, Un deuil au cabaret : Jack Cazol est mort in Comoedia du 10 mai 1935.
- ↑ Nécrologie par Fernand Rouvray, Fernand Rouvray prononce l'adieu à Jack Cazol in Comoedia du 14 mai 1935.
- ↑ Archives de Paris, état-civil numérisé du 18e arrondissement, acte de mariage no 2442 du 18 décembre 1899 entre Jules Prosper Antoine Casaulta, bijoutier domicilié n°6 Escalier Sainte-Marie, et Lucie Hortense Letailleur, même adresse.
- ↑ Archives de Paris, D4R1 815, 4e bureau de recrutement de la Seine, classe 1894, Feuillet matricule n°4584 de Jules Prosper Casaulta.
- ↑ Editions Salabert, « Catalogue d'Albert Willemetz », 1998