Le Minihic-sur-Rance — Wikipédia
- ️Mon Jan 01 2024
Le Minihic-sur-Rance | |
La bibliothèque municipale. | |
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Bretagne |
Département | Ille-et-Vilaine |
Arrondissement | Saint-Malo |
Intercommunalité | Communauté de communes Côte d'Émeraude |
Maire Mandat |
Sylvie Sardin 2020-2026 |
Code postal | 35870 |
Code commune | 35181 |
Démographie | |
Gentilé | Minihicois |
Population municipale |
1 499 hab. (2022 ![]() |
Densité | 383 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 34′ 36″ nord, 2° 00′ 45″ ouest |
Altitude | Min. 0 m Max. 61 m |
Superficie | 3,91 km2 |
Type | Bourg rural |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Saint-Malo (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Saint-Malo-2 |
Législatives | Septième circonscription |
Localisation | |
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine Géolocalisation sur la carte : Bretagne (région administrative) | |
Liens | |
Site web | www.le-minihic-sur-rance.fr |
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Le Minihic-sur-Rance est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne, peuplée de 1 499 habitants[Note 1].
Le territoire du Minihic-sur-Rance, étendu sur 391 hectares, se situe sur la rive gauche de la Rance, bordé au nord et à l'ouest par Pleurtuit et voisin au sud par Langrolay-sur-Rance.
La commune est limitrophe des Côtes-d'Armor, limite matérialisée par le ruisseau de la Houssaye. Son altitude est comprise entre 0 et 61 m.
![](https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/b/ba/Batholite_mancellien.svg/170px-Batholite_mancellien.svg.png)
Le Minihic est localisée dans la partie médiane du domaine nord armoricain, unité géologique du Massif armoricain qui est le résultat de trois chaînes de montagne successives. Le site géologique de Le Minihic se situe plus précisément dans un bassin sédimentaire essentiellement briovérien limité au sud par un important massif granitique cadomien, le pluton de Lanhélin qui fait partie d'un ensemble plus vaste, le batholite mancellien[2],[3].
L'histoire géologique de la région est marquée par le cycle cadomien (entre 750 et 540 Ma) qui se traduit par la surrection de la chaîne cadomienne qui devait culminer à environ 4 000 m. À la fin du Précambrien supérieur, les sédiments briovériens environnants sont fortement déformés, plissés et métamorphisés par l'orogenèse cadomienne qui implique un fort épaississement crustal, formant essentiellement des schistes et des gneiss[4] matérialisés dans la région par la bande de « schistes et gneiss de Langrolay[5] ». L'épaississement, consécutif à l'écaillage tectonique du domaine orogénique, provoque la fusion crustale à l'origine de la mise en place des dômes anatectiques (migmatites de Guingamp et Saint-Malo, développées aux dépens des sédiments briovériens) qui est datée entre 560 et 540 Ma[6]. Les massifs granitiques du Mancellien[7] scellent la fin de la déformation ductile de l'orogenèse cadomienne[8].
Les micaschistes et paragneiss à grain fin, en bancs décimétriques et finement foliés, affleurent dans l'anse de la Landriais, au niveau du chantier naval[9]. Une évolution très nette du métamorphisme et de l'intensité de la déformation peut être constatée par comparaison avec l'affleurement de Langrolay-sur-Rance[10].
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[12]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur », exposée à un climat médian, à dominante océanique[13].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 694 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pleurtuit à 3 km à vol d'oiseau[14], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 752,0 mm[15],[16]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].
Au 1er janvier 2024, Le Minihic-sur-Rance est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[18]. Elle est située hors unité urbaine[19]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Malo, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[19]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20],[21].
La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du 3 janvier 1986, dite loi littoral[22]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, tel le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[23].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (66,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
zones agricoles hétérogènes (46 %), zones urbanisées (27,4 %), terres arables (11,1 %), prairies (9,2 %), forêts (4,1 %), eaux maritimes (1,7 %), zones humides côtières (0,5 %)[24]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
![Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.](https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/7/7a/35181-Le_Minihic-sur-Rance-Sols.png/310px-35181-Le_Minihic-sur-Rance-Sols.png)
- Estuaire de La Rance.
- Le ruisseau de la Houssaye.
- Le Minihy
- Les Adriais
- Auffenais
- Beauchesne
- Le Bignon
- La Basse Herviais
- Clos du Bignon
- Clos du chêne Hubi
- Clos Mervin
- Clos du Four
- Clos Fourre
- Clos Dore
- Cordouin
- La Croix Pelan
- Grand Ruet
- Le Grand Val
- Haute Rabinais
- Le Haut-Bignon
- La Fontaine Guyomard
- La Franchise
- Le Houx
- Houivette
- La Huliais
- Les Marais
- Montrivage
- Moulin de Garel
- Le Bignon
- La Gantière
- La Gauchiais
- La Gaudrais
- Guerouse
- La Goducais
- La Landriais
- L'Eclais
- Port Hue
- Houivette
- Les Perrons
- Les Pissois
- La Pointe des Hures
- Les Rochettes
- La Rabinais
- Les Reverdiers
- Saint-Bucq
- Les Salines
- Le Talue
- Trégonde
- La Vallée aux Renards
- La Ville Rochelle
- La ville-aux-Rats
- Les Vignets
- Les Vignes
- La Vieuxville
Le nom de la localité est attesté sous les formes Menehy en 1474, le Ménihil en 1679[25], le Ménihic au XVIIIe siècle[réf. nécessaire].
Le toponyme est issu du vieux-breton manac’h, du latin monachus. Ce mot qui désignait un territoire appartenant aux moines, a pris ensuite le sens d’asile, de lieu de refuge[26]. Le suffixe –ic n’a pas de signification étymologique affirmée. Il ne reste aucun vestige du passage des moines. Le mot minihi en gallo-romain signifie : lieu sacré, ce qui peut être rattaché aux minihys du Moyen Âge qui étaient des lieux d'asile, mais aucune source ne relate cet endroit.[réf. nécessaire]
Le Minic en gallo[25].
Au XVIIe siècle, Le Ménéhil est un simple bailliage formant cinq fiefs comprenant Cordouin, La Franchise, La Vieuxville, les Vignes et la Ville-aux-Rats.
À partir du XVIIe siècle, le Minihic apparaît comme un quartier excentré de la paroisse de Pleurtuit[réf. nécessaire]. Elle ne possède pas de chapelle en propre, mais trois qui sont domestiques et celle de Notre-Dame du Houx servait aux besoins spirituels des habitants de ce quartier.
En 1803, le père Gallet, curé de Pleurtuit, demanda l'érection d'un oratoire au Ménéhil. Une église y fut bâtie et le lieu érigé en paroisse. Louis-Philippe par une ordonnance royale du 3 juillet 1843 accorde cette faveur aux gens de Minihy. Ce fut Mgr Godefroy Brossay-Saint-Marc (1803-1878) qui le 17 août de la même année érigea la nouvelle paroisse et désigna Guillaume Ollivier comme recteur de 1843 à 1865.
Du XIXe au premier quart du XXe siècle, la construction navale en bois a permis le développement de la commune. La commune comptait 42 constructeurs de marine au XIXe siècle. Dans l'anse de La Landriais, il y eut jusqu’à huit chantiers navals. Vestige de ce glorieux passé, une cale sèche, en bois, qui permettait de mettre les bateaux au sec le temps des réparations nécessaires. Cette cale, construite vers 1908 ne servit qu'une trentaine d'années, victime de l'abandon de la voile et des constructions en bois. Abandonnée, elle se dégrada rapidement. En 1996, une association locale entreprit sa restauration qui s’acheva en 2008[réf. nécessaire]. Aujourd’hui cet édifice est inscrit à l’inventaire des monuments historiques.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
? | 1966 (décès) |
Fernand Le Loroux | ||
juin 1966 | mars 1989 | André Deslandres | Maire honoraire | |
mars 1989 | mars 2001 | Armel Thoreux | Officier de marine marchande retraité | |
mars 2001 | janvier 2005 (démission) |
Christian Vieau | Chef de district EDF retraité | |
février 2005 | mars 2008 | Armel Thoreux | Officier de marine marchande retraité | |
mars 2008 | août 2012 (démission) |
Sylvie Barthélemy[27],[28] | Droite | Informaticienne |
octobre 2012 | mars 2014 | François Moreau[29],[30] | Gauche | Chef d'entreprise retraité, ingénieur en génie civil |
mars 2014[31] | 23 mai 2020 | Claude Ruaud | DVG | Retraité |
23 mai 2020 | En cours | Sylvie Sardin[32] | Cheffe d’entreprise | |
Les données manquantes sont à compléter. |
Le 1er août 2012, le Conseil des ministres dissout le conseil municipal sur proposition du préfet d'Ille-et-Vilaine. En cause, l'absence de budget pour les années 2010, 2011 et 2012, et l’absence de délibération depuis mai 2011[28].
À la suite d'une nouvelle élection, le nouveau conseil municipal est installé le 13 octobre 2012. François Moreau est élu maire.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1846. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].
En 2022, la commune comptait 1 499 habitants[Note 3], en évolution de +4,68 % par rapport à 2016 (Ille-et-Vilaine : +5,46 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
1846 | 1851 | 1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 412 | 1 285 | 1 322 | 1 450 | 1 364 | 1 378 | 1 398 | 1 263 | 1 149 |
1891 | 1896 | 1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 124 | 1 091 | 989 | 1 006 | 987 | 931 | 916 | 867 | 848 |
1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2004 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
827 | 730 | 747 | 721 | 791 | 978 | 1 148 | 1 267 | 1 295 |
2006 | 2009 | 2014 | 2019 | 2022 | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 298 | 1 397 | 1 399 | 1 483 | 1 499 | - | - | - | - |
Histogramme de l'évolution démographique
- Association de la chapelle Saint-Buc
- VMEH, la Giraudais
- Rance Nature et Faune Sauvage
- ADIRP (déportés), et ACCA
- Action Sports Loisirs (gym-Tennis)
- Partager grandir
- RUN in RANCE
- Entente Sportive
- Yoga, AHYM-France
- Meneurs des bords de Rance
- Amis de la Baie de la Landriais
- L'Association des amis du peintre Geoffroy Dauvergne
- Association Rivage Culture et Animation
- Anciens Combattants
- ADMR
- Club des Ajoncs
- Comité des Fêtes
- Les Minih'Bouts
- Les P'tits Loups
- Associations des plaisanciers du Minihic-sur-Rance, 1
- Association Vigirance
- Notre-Dame de la Miette
- Bougeons ensemble, EHPAD Thomas-Boursin[37]
- Kateka
Une école primaire accueille environ 115 élèves.
Deux cales permettent l'accostage ou la mise à l'eau de petites embarcations, l'une en pierre à la Landriais, accessible en voiture, et l'autre en bois sur la grève de Garel, non accessible en voiture.
Depuis son chargement en sable, la grève de Garel est également la plage du Minihic, au gré des marées rythmées par le barrage de la Rance.
L'anse de Garel abrite environ 150 mouillages de bateaux de plaisance, en zone non échouable (variable selon le tirant d'eau).
Un camping municipal, ouvert l'été, domine la Rance.
Les berges de la Rance accueillent des chemins de randonnée tout le long du territoire de la commune, avec quelques passages où il est nécessaire de remonter à l'intérieur des terres, comme à l'anse de la Landriais. La Richardais au nord et Dinan au sud peuvent ainsi être reliées à pied.
La commune est dotée d'un établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD).
La commune dispose de quelques commerces de proximité :
- agence postale ;
- bar ;
- boulangerie ;
- épicerie ;
- salon de coiffure ;
- dépôt et vente de meuble ;
- entreprise d'informatique.
Trois chantiers navals de plaisance sont implantés sur son territoire, l'un au Grand Val, à la sortie sud du village, un autre à Tanet et le dernier à la Landriais.
La commune compte trois monuments historiques :
- La chapelle Sainte-Anne dite chapelle Saint-Buc, reconstruite en 1660, est la chapelle du manoir de Saint-Buc, lui-même entièrement reconstruit en 1755. Elle a été inscrite par arrêté du 29 décembre 1982[38],[39]. Elle appartient à la commune du Minihic-sur-Rance et sa sauvegarde et son animation sont assurées par l'Association de la chapelle Saint-Buc.
- Le manoir du Houx, édifié aux XVIIe et XVIIIe siècles, et sa chapelle, inscrits par arrêté du 15 novembre 1985[40].
- La cale sèche de la Landriais, implantée dans le chantier naval situé en bord de Rance. Elle a été construite en 1908 par le constructeur naval François Lemarchand. L’ouvrage a été inscrit par arrêté du 8 août 1996[41].
- Buste de Marianne, plâtre sur socle par le sculpteur Albert Bourget[42].
- Le manoir de Montrivage, situé sur la route de Langrolais, appartenait à Vincent Gravé, sieur du Houx. Sa chapelle a disparu[43].
- Le manoir des Auffenais, du XVIe siècle ou avant, propriété de 1919 à 1945 des écrivains Jérôme et Jean Tharaud[44].
- Le château de Saint-Buc, qui a appartenu au sénateur Léon Jenouvrier[45].
- Le moulin à marée de Fosse Mort, à l'état de ruine. On peut y trouver les restes du moulin ainsi que son bassin de retenue avec le mur de fermeture. Au nord, il subsiste les ruines de logis avec dépendances assez importantes[46].
- Le moulin à marée de la Herviais, à l'état de ruines. On y trouve les restes du moulin ainsi que son bassin de retenue avec le mur de fermeture. Au sud-ouest, l'ancienne maison de meunier et sa dépendance ont été rénovés à la fin des années 1980[47].
- La chapelle Saint-Vincent de Montrivage (disparue).
- Le calvaire du Taluet, ou Talhuet, XVe siècle[48], en granit, le Christ entouré de la Vierge et de saint Jean, au verso, une Vierge à l’Enfant, situé à l'intersection de la rue du Général de Gaulle et de la rue de Bel-Air[49].
- Léon Jenouvrier (1846, Le Minihic-1932, Rennes), homme politique, sénateur.
- William Kennedy Laurie Dickson (1860, Le Minihic-1935), inventeur et pionnier du cinéma.
- Albert Bourget (1881, Le Minihic-1956), sculpteur.
- Louis-Joseph Lebret (1897, Le Minihic-1966, Paris), économiste et prêtre dominicain.
- Philippe de Dieuleveult (1951-1985), animateur de télévision, journaliste reporter d'images, inhumé au Minihic.
- Nolwenn Lemesle (1978), réalisatrice française, née au Minihic[50].
- ↑ Population municipale 2022, légale en 2025.
- ↑ La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- ↑ Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
- ↑ IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le 15 juillet 2023).
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2014 (site de l'IGN, téléchargement du 1er mars 2015).
- ↑ Carte géologique de la France au 1/50000 Fougères 13-17, éditions du BRGM, 1981, p. 5.
- ↑ De Mancellia, nom latin de la région du Maine, domaine structural de la partie nord-est du Massif armoricain dénommé en 1949 par le géologue Pierre Pruvost. Il est caractérisé par un Précambrien récent au sein duquel se sont mis en place des granitoïdes intrusifs antérieurement au dépôt des terrains paléozoïques ; ce domaine surélevé a été épargné par les transgressions marines du Cambrien.
- ↑ Géologie de la France, éditions du BRGM, 1983, p. 11.
- ↑ François de Beaulieu, La Bretagne. La géologie, les milieux, la faune, la flore, les hommes, Delachaux et Niestlé, 2003, p. 15.
- ↑ [PDF] E. Le Goff (coord) et al, Carte géologique de la France à 1/50 000 - Saint-Malo No 207., éditions du BRGM, 2009, p. 39.
- ↑ [PDF] J. Chantraine (coordinateur) et al., Carte géologique France (1/50 000), feuille Lannion (203), éditions du BRGM, 1999, p. 89.
- ↑ (en) Richard Simon D'Lemos, The Cadomian Orogeny, Geological Society Publishing House, 1990, p. 128.
- ↑ Hubert Lardeux, Claude Audren, Bretagne, Masson, 1996, p. 30.
- ↑ « La schistosité associée aux plis n'est plus ici une schistosité de crénulation mais une nouvelle foliation qui recoupe la précédente parallèle à la stratification ».
- ↑ Hubert Lardeux, Claude Audren, Bretagne, Masson, 1996, p. 34.
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- ↑ Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
- ↑ thomasboursin.e-monsite.com.
- ↑ « Chapelle Sainte-Anne », notice no PA00090632, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ Il y a des toponymes en buc dans cette région, mais corrompus ou avec des finales variables. On admet qu'un hagionyme a été remplacé par Anne et Joseph. L'explication de Buc par un nom de saint breton Budoc est très vraisemblable. Philippe Jouët commente ainsi ce nom (Eurosked, janvier 2020) : « Budoc s'était installé en Domnonée où il devint évêque de Dol. Budoc est une graphie du vieux-breton pour ce qui était prononcé 'büðoc /'byðog/. (La finale -oc s'est conservée dans quelques noms de haute Bretagne (Saint-Judoce, Vignoc) et a souvent donné -euc. Le ð intervocalique s'est souvent amuï en breton parlé. On peut donc poser sans difficulté l'évolution phonétique suivante en breton : vers le XIIIe siècle 'büðəc > 'büəc > 'büəc > 'bük. La forme désormais monosyllabique fut notée plus ou moins phonétiquement buc en langue romane. Il n'y a pas d'obstacle à écrire en breton 'Sant Budog : chapelle de saint Budoc du Minihic / Chapel Sant Budog ar Minic'hi[réf. nécessaire].
- ↑ « Manoir du Houx et sa chapelle », notice no PA00090633, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Cale sèche de la Landriais », notice no PA35000001, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ Inventaire patrimoine de la région Bretagne
- ↑ Infobretagne, manoir de Montrivage.
- ↑ Roger Mahé, « Jérôme et Jean Tharaud au Minihic-sur-Rance », in: Le Pays de Dinan, 1993, pp. 15-45.
- ↑ Infobretagne, château de Saint-Buc.
- ↑ Moulin marée de Le Minihic-sur-Rance construit dans l'anse de Saint-Buc, au nord du moulin à marée de la Herviais, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
- ↑ Moulin marée de Le Minihic-sur-Rance construit dans l'anse de Saint-Buc, au sud du moulin à marée de Fosse Mort, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
- ↑ « Circuit de la Landriais » sur le-minihic-sur-rance.fr ([PDF] en ligne).
- ↑ « Calvaire du Taluet ou Talhuet. Le Minihic-sur-Rance », sur croixbretagne.fr ([PDF]en ligne).
- ↑ « La vision de l'adolescence de Nolwenn Lemesle », Ouest-France, 23 novembre 2014.