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Olga Givernet — Wikipédia

  • ️Fri Jan 24 2025

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Olga Givernet
Illustration.
Olga Givernet élue députée en 2017.
Fonctions
Députée française
En fonction depuis le 24 janvier 2025
(1 mois et 18 jours)
Circonscription 3e de l’Ain
Législature XVIIe (Cinquième République)
Groupe politique EPR
Prédécesseur Sophie Delorme
21 juin 201721 octobre 2024
(7 ans et 4 mois)
Élection 18 juin 2017
Réélection 19 juin 2022
7 juillet 2024
Circonscription 3e de l’Ain
Législature XVe, XVIe et XVIIe (Cinquième République)
Groupe politique LREM (2017-2022)
RE (2022-2024)
EPR (depuis 2024)
Prédécesseur Stéphanie Pernod-Beaudon
Successeur Sophie Delorme
Ministre déléguée chargée de l'Énergie
21 septembre 202423 décembre 2024
(3 mois et 2 jours)
Président Emmanuel Macron
Premier ministre Michel Barnier
Ministre Agnès Pannier-Runacher
Gouvernement Gouvernement Michel Barnier
Prédécesseur Roland Lescure
Successeur Marc Ferracci
Conseillère régionale
d'Auvergne-Rhône-Alpes
18 décembre 20151er juillet 2021
(5 ans, 6 mois et 13 jours)
Élection 13 décembre 2015
Président Laurent Wauquiez
Conseillère municipale
de Saint-Genis-Pouilly
30 mars 201418 juillet 2017
(3 ans, 3 mois et 18 jours)
Élection 23 mars 2014
Maire Hubert Bertrand
Biographie
Date de naissance 17 octobre 1981 (43 ans)
Lieu de naissance Saint-Germain-en-Laye (France)
Nationalité Française
Parti politique MoDem (2013-2015)
LREM/RE (depuis 2016)
Diplômée de Polytech' Paris-UMPC
Profession Ingénieure
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Olga Givernet, née le 17 octobre 1981 à Saint-Germain-en-Laye (Yvelines), est une femme politique française. Membre de La République en marche, elle est élue députée de la 3e circonscription de l'Ain lors des élections législatives de 2017 et réélue lors de celles de 2022 puis lors de celles de 2024, mandat qu'elle abandonne d'octobre 2024 à janvier 2025 au profit de sa suppléante du fait de sa participation en tant que ministre déléguée chargée de l'Énergie à l'éphémère gouvernement Barnier.

Olga Givernet naît le 17 octobre 1981 à Saint-Germain-en-Laye (Yvelines)[1]. Fille d'une psychologue scolaire et d'un entrepreneur, elle naît et grandit dans les Yvelines[2].

Elle obtient le diplôme national de master en ingénierie électronique à l'Université Pierre-Marie-Curie[1].

Olga Givernet est mariée et mère de deux filles[2].

En 2004, après un stage de fin d'études dans l'entreprise Renault Trucks de Saint-Priest, Olga Givernet part s'installer à Auckland avec son conjoint. Elle y travaille en tant qu'ingénieure avionique puis cheffe de projet au bureau d'études de la compagnie aérienne nationale Air New Zealand[3]. Après trois années passées en Nouvelle-Zélande, elle revient en France en 2007 et s'installe avec son mari dans le Pays de Gex. Elle travaille pour les centres de maintenance de jets privés basés à l'aéroport international de Genève[4], comme spécialiste du réaménagement intérieur.

En 2013, elle adhère au MoDem[4]. En mars 2014, elle est élue conseillère municipale de la ville de Saint-Genis-Pouilly sur la liste du maire sortant, Hubert Bertrand (PRG). Elle est déléguée au transfrontalier et à la qualité de vie. Elle devient également conseillère communautaire à la communauté de communes du Pays de Gex[4], membre de la commission des déchets.

Élue députée en 2017 et limitée par la législation sur le cumul des mandats, elle démissionne de son poste de conseillère municipale et communautaire le 18 juillet 2017[5].

À l'automne 2015, elle se met en retrait du MoDem, à la suite de l'alliance de ce dernier avec le mouvement Les Républicains (LR) pour les élections régionales de 2015 en Auvergne-Rhône-Alpes[3]. Elle figure en 4e position sur la liste d'union de la gauche de l'Ain, conduite par Jean-Jack Queyranne[6],[7]. Elle est élue le 13 décembre 2015 et siège dans l'opposition[4]. En novembre 2017, elle crée le groupe La Région En Marche (LREM) avec quatre de ses collègues et en devient présidente[réf. nécessaire].

Elle tente en 2020 de briguer la tête de liste aux élections régionales[8], mais Bruno Bonnell lui est préféré[9]. La liste obtient 9,82% des voix au premier tour et ne peut se maintenir au second, refusant toute alliance.

Olga Givernet en janvier 2019.

Au printemps 2016, elle se porte candidate à l'élection législative partielle de la 3e circonscription de l’Ain provoquée par la démission du député en place Étienne Blanc. Sans étiquette, elle se présente alors comme « démocrate », se revendiquant centriste et déclarant se reconnaître dans la démarche d'Emmanuel Macron[3]. Elle obtient un score de 10,05 % des suffrages exprimés lors du premier tour qui se déroulait le 13 juin 2016.

Alors sans étiquette politique, elle adhère en avril 2016 au mouvement En Marche ! créé par Emmanuel Macron[10]. Elle est investie le 12 mai 2017 par La République en marche ! comme candidate de ce parti dans la 3e circonscription de l’Ain aux élections législatives de 2017[11]. Après avoir obtenu au premier tour 45,30 % des suffrages exprimés[12], elle est élue au second tour avec 61,86 % des suffrages exprimés face à la députée sortante LR Stéphanie Pernod-Beaudon[12].

En juillet 2019, à l'occasion du renouvellement des postes au sein de la majorité, elle se porte candidate à la présidence du groupe LREM[13]. Alors que Gilles Le Gendre est réélu dès le premier tour, elle arrive en troisième position sur six avec 28 voix[14].

Le 7 mai 2022, elle annonce être candidate à sa réélection comme députée de la 3e circonscription de l'Ain avec l'investiture de la majorité présidentielle[15]. Au soir du premier tour, le 12 juin 2022, elle arrive en tête avec 30,0 % des suffrages exprimés devant le candidat de la NUPES, Christian Jolie également qualifié pour le second tour avec 22,4 % des suffrages exprimés, alors même que 60 % des maires de la circonscription avaient appelé à voter pour la candidate des Républicains arrivée troisième[16].

Olga Givernet est réélue au second tour avec 58,7 % des suffrages exprimés tandis que la coalition Ensemble! soutenant le président Macron dont elle se réclame perd la majorité absolue à l'Assemblée nationale[17]. Durant ce deuxième mandat de députée, elle siège au sein de la Commission des Affaires étrangères et est membre de l'Office parlementaire de l'évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST).

Le 13 septembre 2023, à la suite de la nomination de certains de ses membres au gouvernement, Olga Givernet est nommée porte-parole du groupe Renaissance à l'Assemblée nationale, et, à ce titre, membre de son bureau[18],[19],[20].

Dès son adhésion en avril 2016 au mouvement En marche !, Olga Givernet devient la référente dans l'Ain jusqu'à son élection comme députée en juin 2017[réf. nécessaire].

Avec son collègue Florent Boudié, elle est chargée de proposer une stratégie à Stanislas Guerini, délégué général de LREM, pour les élections régionales de 2021[21].

En juillet 2021, elle décide de prendre ses distances avec les instance nationales de LaREM pour se consacrer à des missions plus locales, tout en restant fidèle à Emmanuel Macron et affiliée au groupe parlementaire LaREM[22]

En janvier 2022, elle est élue présidente de l'assemblée départementale du parti Renaissance dans l'Ain[23].

Au sein du Comité d’évaluation et de contrôle (CEC) des politiques publiques, Olga Givernet rend un rapport en décembre 2017, avec le député Régis Juanico du Groupe Nouvelle Gauche Parti socialiste « sur la mise en œuvre des conclusions du rapport d'information (n°4456) du 8 février 2017 sur l'évaluation de la régulation des jeux d'argent et de hasard »[24].

Elle propose avec son coauteur plusieurs conditions d'évolution actionnariale éventuelle de la Française des Jeux, tout en soutenant une refonte de l'ensemble de la régulation des jeux de hasard et d'argent en France[25].

Dans le cadre de la loi PACTE, examinée en 2018 par le Parlement et publiée le 22 mai 2019, elle contribue à obtenir avec son corapporteur du groupe socialiste une refonte en ce sens de la régulation, qui prend la forme de la création de l'Autorité nationale des jeux succédant, en 2020, à l'Autorité de régulation des jeux en lignes (ARJEL)[26],[27].

Olga Givernet a pris position sur les questions de pouvoir d'achat en appelant à une approche plus globale estimant qu'« on ne peut pas réduire notre action au seul indicateur du pouvoir d'achat »[28].

En 2020, elle soutient les droits des travailleurs transfrontaliers et se prononce pour une extension du télétravail des transfrontaliers dans le cadre de la crise sanitaire[29]. Elle est notamment co-auteur d'une proposition de résolution européenne visant à l’augmentation du télétravail des travailleurs frontaliers et à mener une réflexion européenne sur leur statut[30],[31].

En juin 2021, elle organise un colloque à l'Assemblée nationale en présence du secrétaire d'État chargé de l’Enfance et des Familles Adrien Taquet. Elle appelle à une « société plus inclusive, bienveillante et solidaire » et « une meilleure reconnaissance et valorisation de la grand-parentalité »[32].

Dans le cadre de son mandat de députée de l’Ain, Olga Givernet a été nommée, par la délégation aux droits de femmes de l’Assemblée nationale, référente Auvergne-Rhône-Alpes (AuRA) sur le sujet des violences conjugales (2019)[33].

La dissolution de l'Assemblée nationale décrétée par le Président de la République au soir des élections européennes du 9 juin 2024 a pour effet de la priver de son mandat de députée. Elle déclare le lendemain sur le plateau de France Info qu'il lui a « fallu encaisser mais aussi comprendre » cette décision qui à ses yeux permettra « de laisser aux Français le choix de leurs prochains gouvernants », et annonce être candidate à sa propre succession[34].

Au premier tour des élections législatives des 30 juin et 7 juillet 2024 où elle se présentait sous l'étiquette Ensemble pour la République, elle arrive en tête de sa circonscription avec 32,43 % des suffrages exprimés, juste devant la candidate du Rassemblement national avec 32,11 % des suffrages exprimés, le candidat du Nouveau front populaire arrivant en troisième position avec 25,12 % des suffrages exprimés ; celui-ci se désiste en sa faveur. Elle est réélue députée de l'Ain au second tour avec 63,00 % des suffrages exprimés contre 37,00 % à la candidate du RN[35].

Le 16 juillet 2024, elle est nommée l'une des cinq vice-présidents du groupe Ensemble pour la République à l'Assemblée nationale[36]. Le 31 août 2024, elle organise à Loyettes dans l'Ain, en tant que présidente aindinoise du parti, la rentrée régionale de Renaissance en présence de Gabriel Attal[23]. Son mandat de députée prend fin le 21 octobre 2024, soit un mois après son entrée au gouvernement Michel Barnier ; elle est remplacée par sa suppléante Sophie Delorme.

Le 21 septembre 2024, elle est nommée ministre déléguée chargée de l'Énergie auprès de la ministre de la Transition écologique, de l’Énergie, du Climat et de la Prévention des risques du gouvernement Michel Barnier[37]. Elle effectue symboliquement son premier déplacement en tant que ministre une semaine plus tard dans sa circonscription en visitant le barrage de Génissiat ; elle déclare à cette occasion vouloir être « la ministre de toutes les énergies » et défendre « une énergie fiable et abordable »[38].

  1. a et b Who's Who in France, édition 2020, p. 955.
  2. a et b « Gouvernement Barnier : Olga Givernet, députée de l'Ain, nommée ministre déléguée en charge de l'Énergie », sur le site de la chaîne France 3 (consulté le 24 septembre 2024).
  3. a b et c « Olga Givernet, invité de "l'Agora, parlons vrai" », sur le site de l'hebdomadaire La Voix de l'Ain, 8 octobre 2016 (consulté le 23 septembre 2024)
  4. a b c et d « De l’aéronautique à la Région:un atterrissage-surprise pour Olga », sur le site de l'hebdomadaire Le Pays Gessien, 22 janvier 2016 (consulté le 23 septembre 2024).
  5. « Locale Express. Olga Givernet démissionne de ses mandats gessiens » Accès limité, Le Dauphiné libéré, 15 juillet 2017 (consulté le 23 septembre 2024)
  6. Résultats des élections régionales 2015 - Élus de la liste : Liste Union de la Gauche
  7. Résultats des élections régionales 2015 - Conseil Régional de la région : Auvergne - Rhône-Alpes
  8. « Politique Ain - Olga Givernet candidate pour être la tête de liste LREM aux élections régionales », sur La Voix de l'Ain (consulté le 8 juin 2022)
  9. « Régionales : LREM désigne ses chefs de file et espère limiter la casse », sur Public Sénat, 5 février 2021 (consulté le 8 juin 2022)
  10. « Olga Givernet, référente dans l'Ain d’En Marche d'Emmanuel Macron », sur le site de l'hebdomadaire Voix de l'Ain (consulté le 18 juin 2017).
  11. « Législatives : Olga Givernet investie par le parti d’Emmanuel Macron », sur le site de l'hebdomadaire La Tribune Républicaine (consulté le 18 juin 2017)
  12. a et b « Élections législatives 2017 - Ain (01) - 3ème circonscription », sur Ministère de l'Intérieur (consulté le 18 juin 2017)
  13. Caroline Vigoureux, « A La République en marche, tous candidats! », sur L'Opinion, 17 juillet 2019 (consulté le 17 juillet 2019).
  14. AFP, « Gilles Le Gendre reste président du groupe macroniste à l’Assemblée nationale », Le Monde,‎ 23 juillet 2019 (lire en ligne, consulté le 23 juillet 2019)
  15. « Ain : Olga Givernet repart pour la majorité présidentielle dans la 3e circonscription », sur Le Dauphiné, 2022-/ref05-09
  16. Julien Champclos, « Élections législatives : vers un duel inédit entre la gauche et la majorité présidentielle », Le Pays Gessien,‎ 16 juin 2022, p. 6
  17. « Législatives : Olga Givernet (Ensemble), réélue dans la 3ème circonscription de l’Ain », sur La Tribune Républicaine (consulté le 20 juin 2022)
  18. « La députée Olga Givernet devient porte-parole de Renaissance à l’Assemblée nationale », sur ledauphine.com (consulté le 25 janvier 2024).
  19. « La députée aindinoise Olga Givernet, porte-parole du groupe Renaissance à l’Assemblée Nationale », sur Le Progrès (consulté le 25 janvier 2024).
  20. « L'accès aux soins : Olga Givernet, porte-parole Renaissance à l'Assemblée nationale » Accès limité, sur france.tv, 08/10/2023 - disponible jusqu'au 07/10/2024 (consulté le 25 janvier 2024).
  21. « Comment les lieutenants d'Emmanuel Macron préparent la bataille des régionales de 2021 », sur La Lettre A.fr, 13 décembre 2019 (consulté le 18 décembre 2019).
  22. « Ain. La députée Olga Givernet se met en retrait de LREM », sur Le Progrès (consulté le 24 septembre 2021)
  23. a et b Corentin Teissier, « Gabriel Attal dans l’Ain : « Nous ne pensions pas qu’il serait encore Premier ministre » », sur Le Progrès (consulté le 23 septembre 2024).
  24. « Rapport n°494 déposé le 14 décembre 2017 », sur Assemblée nationale, 14 décembre 2017.
  25. Lilian Alemagna, « Francaise des Jeux : des députes s'inquiètent d'une ouverture du capital », Libération,‎ 14 décembre 2017 (lire en ligne).
  26. J.-C.C., AFP, « Une députée propose la création d'un gendarme unique des jeux d'argents » Accès libre, sur BFM TV, 20 juin 2018 (consulté le 23 septembre 2024).
  27. Sébastien Pommier, « Privatisation de la FDJ : Bercy ne laisse rien au hasard », L'Express,‎ 2 septembre 2019 (lire en ligne [archive] Accès limité).
  28. « Olga Givernet (LaREM): «On ne peut pas réduire notre action au seul indicateur du pouvoir d'achat» », sur Le Figaro, 23 novembre 2018 (consulté le 24 mars 2022).
  29. « Suisse. Télétravail des frontaliers : prolongation de l’accord franco-suisse jusqu’au 31 décembre », sur Le Dauphiné (consulté le 24 mars 2022).
  30. « Proposition de résolution nº 4276 visant à l’augmentation du télétravail des travailleurs frontaliers et à mener une réflexion européenne sur le statut des travailleurs frontaliers », sur Assemblée nationale (consulté le 24 mars 2022).
  31. Mathilde Obert, « Nouvelle étape vers un statut de travailleur frontalier » Accès libre, sur Paperjam, 10 mars 2022 (consulté le 24 mars 2022).
  32. « Ain. La députée Olga Givernet défend «une politique de la grand-parentalité» », sur Le Progrès (consulté le 24 mars 2022).
  33. « Ain. Olga Givernet référente sur les violences conjugales », sur Le Progrès (consulté le 24 mars 2022).
  34. « Dissolution de l'Assemblée : "Il a fallu encaisser", reconnaît une députée Renaissance », sur francetvinfo.fr, 10 juin 2024 (consulté le 11 juin 2024)
  35. « 3ème circonscription (0103) - Élections Législatives 2024 - Publication des résultats des élections en France », sur Ministère de l'Intérieur et des Outre-mer (consulté le 8 juillet 2024)
  36. « Vice-présidence du groupe Ensemble pour la République à l’Assemblée nationale : Olga Givernet élue, Antoine Armand échoue », sur le site de l'hebdomadaire La Voix de l'Ain, 17 juillet 2024 (consulté le 23 septembre 2024).
  37. François Le Stir, « L'ascension éclair d'Olga Givernet, nommée ministre déléguée en charge de l’Énergie » Accès limité, sur le site du quotidien Le Progrès, 21 septembre 2024 (consulté le 23 septembre 2024).
  38. Adélaïde Schutz, « Hausse du prix de l'électricité : la ministre Olga Givernet défend « une énergie fiable et abordable » », sur le site du quotidien Le Dauphiné libéré, 28 septembre 2024 (consulté le 1er octobre 2024).

v · m

Gouvernement Barnier (5 septembre 2024 — 13 décembre 2024)

Sous la présidence d'Emmanuel Macron
Justice, garde des sceaux Didier Migaud
Michel Barnier
Premier ministre
Partenariat avec les territoires et Décentralisation
Catherine Vautrin
Ministre déléguée chargée de la Ruralité, du Commerce et de l'Artisanat : Françoise Gatel
Ministre délégué chargé des Transports : François Durovray
Ministre délégué chargé de la Mer et de la Pêche : Fabrice Loher
Intérieur
Bruno Retailleau
Ministre délégué chargé de la Sécurité du quotidien : Nicolas Daragon
Secrétaire d'État chargé de la Citoyenneté et de la Lutte contre les discriminations : Othman Nasrou
Éducation nationale
Anne Genetet
Ministre délégué chargé de l'Enseignement professionnel : Alexandre Portier
Europe et Affaires étrangères
Jean-Noël Barrot
Ministre délégué chargé de l'Europe : Benjamin Haddad
Ministre déléguée chargée du Commerce extérieur et des Français de l'étranger : Sophie Primas
Secrétaire d'État chargé de la Francophonie et des Partenariats internationaux : Thani Mohamed Soilihi
Culture Rachida Dati
Armées et Anciens Combattants
Sébastien Lecornu
Ministre délégué : Jean-Louis Thiériot
Transition écologique, Énergie, Climat et Prévention des risques
Agnès Pannier-Runacher
Ministre déléguée chargée de l'Énergie : Olga Givernet
Économie, Finances et Industrie
Antoine Armand
Ministre délégué chargé de l'Industrie : Marc Ferracci
Ministre déléguée chargée de l'Économie sociale et solidaire, de l'Intéressement et de la Participation : Marie-Agnès Poussier-Winsback
Ministre déléguée chargée de l'Économie du tourisme : Marina Ferrari
Secrétaire d'État chargée de la Consommation : Laurence Garnier
Santé et Accès aux soins Geneviève Darrieussecq
Solidarités, Autonomie et Égalité entre les femmes et les hommes
Paul Christophe
Ministre déléguée chargée de la Famille et de la Petite Enfance : Agnès Canayer
Ministre déléguée chargée des Personnes en situation de handicap : Charlotte Parmentier-Lecocq
Secrétaire d'État chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes : Salima Saa
Logement et Rénovation urbaine Valérie Létard
Agriculture, Souveraineté alimentaire et Forêt Annie Genevard
Travail et Emploi Astrid Panosyan-Bouvet
Sports, Jeunesse et Vie Associative Gil Avérous
Enseignement supérieur et Recherche
Patrick Hetzel
Secrétaire d'État chargée de l'Intelligence artificielle et du Numérique : Clara Chappaz
Fonction publique, Simplification et Transformation de l'action publique Guillaume Kasbarian
Ministres, ministres délégués et secrétaires d'État auprès du Premier ministre
Ministre chargé des Outre-mer : François-Noël Buffet
Ministre chargé du Budget et des Comptes publics : Laurent Saint-Martin
Ministre délégué chargé de l'Europe : Benjamin Haddad
Ministre déléguée chargée des Relations avec le Parlement : Nathalie Delattre
Ministre déléguée chargée de la Coordination gouvernementale : Marie-Claire Carrère-Gée
Porte-parole du Gouvernement : Maud Bregeon
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