Paul Durieu — Wikipédia
- ️Wed Dec 15 2010
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Paul Durieu | |
![]() | |
Fonctions | |
---|---|
Député français | |
15 décembre 2010 – 17 juin 2012 (1 an, 6 mois et 2 jours) |
|
Élection | 17 juin 2007 |
Circonscription | 4e de Vaucluse |
Législature | XIIIe (Cinquième République) |
Prédécesseur | Thierry Mariani |
Successeur | Thierry Mariani |
Maire de Camaret-sur-Aigues | |
14 mars 1983 – 16 mars 2008 (25 ans et 2 jours) |
|
Successeur | Marlène Thibaud |
Biographie | |
Date de naissance | 8 juillet 1947 (77 ans) |
Lieu de naissance | Camaret-sur-Aigues |
Nationalité | Française |
Parti politique | UMP |
Profession | Viticulteur |
modifier ![]() |
Paul Durieu, né le 8 juillet 1947 à Camaret-sur-Aigues, est un homme politique français.
Viticulteur de profession, il est suppléant de Thierry Mariani aux élections législatives de 2007. Il fait son entrée à l'Assemblée nationale, le 15 décembre 2010, à la suite de la nomination de Thierry Mariani au gouvernement. Comme son prédécesseur, il siège au sein de l'UMP et au sein des commissions du développement durable et de l'aménagement du territoire et de la commission d'enquête sur la situation de l'industrie ferroviaire française: production de matériels roulants "voyageurs" et frets.
Le député sortant n'obtient pas l'investiture de l'UMP[1] et se présente en tant que dissident. Il est battu dès le premier tour des élections législatives françaises de 2012. Sa candidature contribue à l'élimination de la candidate investie par l'UMP au profit de Jacques Bompard qui remporte finalement l'élection[2].
- Conseiller général de Vaucluse (élu dans le canton d'Orange-Ouest) de 1994 à 2002
- Maire de Camaret-sur-Aygues (Vaucluse) de 1983 à 2008
- Président de l'Association des maires de Vaucluse
- ↑ Candidats investis ou soutenus par le Conseil national de l'UMP du 28 janvier 2012, sur u-m-p.org, le site officiel de l'UMP, 1er février 2012. Consulté le 13 juin 2012.
- ↑ « Législatives: à Orange, Bompard a recomposé la droite à son profit », Slate.fr, 15 juin 2012 (lire en ligne, consulté le 21 janvier 2017)