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Régie des transports métropolitains — Wikipédia

  • ️Mon Jun 23 1986

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Régie des transports métropolitains
logo de Régie des transports métropolitains
illustration de Régie des transports métropolitains
Un bus circulant sur le vieux-port en 2014.

Création 23 juin 1986
Dates clés 24 juin 1950 : création de la RATVM
23 juin 1986 : devient la RTM
1er janvier 2011 : passe sous la tutelle de MPM
1er janvier 2016 : passe sous la tutelle de la métropole
2016 : change de nom pour Régie des transports métropolitains
Forme juridique Établissement public à caractère industriel et commercial
Slogan Vivez la ville en illimité
Siège social 79, boulevard de Dunkerque, Marseille (2e)
Drapeau de la France France
Direction Catherine Pila, présidente du conseil d'administration
Hervé Beccaria, directeur général
Activité Transport de voyageurs
Exploitation
Gestion d'infrastructure
Produits RTM Métro de Marseille Tramway de Marseille Autobus de Marseille
Ciotabus
Ulysse

Gare routière de Marseille
Filiales
  • RTM Ouest-métropole
  • RTM Est-métropole
  • Transport du Pays de l'Étoile
  • RDT13
Effectif 4 100 salariés[1]
SIREN 059804062Voir et modifier les données sur Wikidata
TVA européenne FR28059804062Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web rtm.fr
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La Régie des transports métropolitains (RTM), anciennement Régie des transports de Marseille, est un opérateur de transports en commun de La Métropole Mobilité.

La Régie des transports de Marseille est une régie créée en 1986 en remplacement de la Régie autonome des transports de la ville de Marseille (RATVM). Sa tutelle est passée à la communauté urbaine Marseille Provence Métropole en 2001, puis à la métropole d'Aix-Marseille-Provence en 2016. À cette occasion, elle adopte le nom de Régie des transports métropolitains.

La RTM exploite les réseaux de transport :

Fréquentation du Bus depuis 2010
Année Nombre de validation
2010 68 600 000
2011 69 300 000
2012 72 100 000
2013 66 800 000
2014 67 600 000
2015 66 800 000
2016 62 300 000
2017 62 100 000
2018 66 400 000
2019 64 100 000
2020 35 300 000
2021 46 000 000
2022 51 500 000
Un tramway sur la ligne 68, en 1979.

La Régie autonome des transports de la ville de Marseille (RATVM) est créée par un décret du 24 juin 1950 pour succéder à la Compagnie générale française de tramways, jusque-là concessionnaire du réseau de tramway[2].

Dans les années 1950 et 1960, des trolleybus puis des autobus remplacent la totalité des lignes de tramway à l'exception de la ligne 68. En 1964, la RATVM propose la construction d'une ligne souterraine de métro de 7,4 kilomètres et desservant dix stations entre Les Chartreux et le Rond-Point du Prado en passant par la gare Saint-Charles[3]. C'est sur cette base qu'est étudiée puis construite la première ligne du métro de Marseille, qui ouvre en 1977. La seconde ligne est ouverte en 1984.

Pendant de nombreuses années, la RATVM participe au système clientéliste mis en place par le maire de Marseille Gaston Defferre. Les coûts de fonctionnement augmentent et une réforme finit par être mise en œuvre : le 23 juin 1986, par une délibération du conseil municipal, la Régie des transports de Marseille succède à la RATVM et de nouvelles méthodes de gestion sont mises en place pour réduire les coûts et améliorer la ponctualité[4],[5].

À la création de la communauté urbaine Marseille Provence Métropole (MPM) en 2001, celle-ci reçoit la compétence en matière de transports : la tutelle de la RTM passe de la ville de Marseille à celle de MPM.

Un trolleybus de la ligne 63 en 1984.

En 2005, la communauté urbaine décide de confier le nouveau réseau de tramway, alors en construction, à une délégation de service public. Seul candidat, le groupement Le Tram constitué par la RTM et la Connex remporte le marché[6]. Cette décision provoque une longue grève des agents de la RTM qui souhaitent que le réseau demeure une régie publique. Malgré l'échec de cette grève deux décisions de justice administrative annulent la délégation de service public en juillet 2007 et janvier 2008 et, en juillet 2008, le tramway revient entièrement dans le giron de la RTM[7],[8].

En 2012, MPM confie à la RTM la gestion de la gare routière de Saint-Charles[9] et, en 2014, celle du réseau Ciotabus (qui dessert La Ciotat et Ceyreste) via la filiale RTM Est-Métropole[10].

Le 1er janvier 2016, la RTM passe sous la tutelle de la métropole d'Aix-Marseille-Provence nouvellement créée[11] et adopte le nom de Régie des transports métropolitains[12]. À partir du 1er janvier 2016, la filiale RTM Ouest-Métropole reçoit la gestion des bus de Martigues au sein du réseau Ulysse[13].

Depuis le 28 août 2017, une filiale de la RTM, Transports du Pays de l'Étoile, exploite les Lignes de l'Agglo du pays d'Aubagne et de l'Étoile en partenariat avec une société publique locale[14].

Nom De La Livrée Date Du Début De L'Utilisation Date De Fin De L'Utilisation
Crème Dans les années 1960 1989
Flèche 1982 2013 (date de réforme du n°121)
Coupe du Monde Début 1998 Fin 1998
Fusion 1999 Août 2018
Vague 2013 Toujours en Utilisation
La Métropole Mobilité 2018 Toujours en Utilisation

source : [15]

  • Logo de 1982, progressivement remplacé à partir de 1998[16]

    Logo de 1982, progressivement remplacé à partir de 1998[16]

  • Logo utilisé depuis 1998 ; les trois barres du "M" évoquent le nombre 111, nombre de quartiers de Marseille[16]

    Logo utilisé depuis 1998 ; les trois barres du "M" évoquent le nombre 111, nombre de quartiers de Marseille[16]

La Régie des transports métropolitains est un opérateur de la métropole d'Aix-Marseille-Provence (avant 2016, de la communauté urbaine de Marseille) régi par loi n° 82-1153 du 30 décembre 1982 d'organisation des transports intérieur, le décret n° 85-891 du 16 août 1985 relatif aux transports urbains de personnes et aux transports routiers non urbains de personnes et un règlement intérieur adopté le 10 décembre 2010 par la communauté urbaine[4]. Elle a le statut d'établissement public à caractère industriel et commercial.

Le conseil d'administration de la RTM est composé de 17 membres : 10 représentants de la métropole, un représentant du conseil départemental des Bouches-du-Rhône, un représentant de la chambre de commerce et d'industrie Marseille-Provence, deux représentants des usagers, trois représentants du personnel et une personne qualifiée[17]. Les relations entre l'autorité de tutelle (précédemment la communauté urbaine, aujourd'hui la métropole) font l'objet depuis 2007 d'un contrat de service public[4],[18].

Le 8 juillet 2020, Hervé Beccaria devient Directeur Général de la RTM, en remplacement de Pierre Reboud, qui fait valoir ses droits à la retraite à 76 ans avec une indemnité de licenciement contestée de 247 267 euros bruts[19].

La RTM emploie 4 100 salariés en 2022[1].

L'activité de la RTM concerne principalement la gestion des transports de Marseille et quelques communes environnantes où la RTM exploite les lignes de bus, métro, tramway et navette maritime.

Depuis 2012, la RTM s'est vu confier la gestion de services en dehors de ce périmètre historique : les bus de La Ciotat-Ceyreste, Martigues et Gémenos, la gare routière de Marseille Saint-Charles et le transport à la demande des personnes à mobilité réduite.

Un bus standard de la ligne 83 le long de la côte, en 2020.

La RTM exploite 118 lignes de bus à Marseille dont la numérotation et les trajets sont en grande partie encore hérités de l'ancien tramway de Marseille. Le réseau de bus représente 679,1 km (hors troncs communs) et compte 1 238 arrêts de bus. 1 600 chauffeurs conduisent les 640 autobus de la régie. Trois lignes de bus à haut niveau de service dites « Très Grand bus » existent actuellement[1].

Les bus circulent de 4 h 30 (selon les lignes) jusqu’à 21 h 30. Le réseau de nuit comprend en outre douze lignes régulières qui fonctionnent jusqu'à 0 h 45.

En 2019, Marsactu révèle l'existence d'une ligne de bus « Spécial MDM », reliant la place Castellane à la Madrague de Montredon sans desservir les plages, et dont le trajet et les horaires ne sont pas diffusés par la RTM[20]. L'opposition y voit une preuve de clientélisme[21],[22]. Marsactu retrace l'histoire de cette ligne créée sous la mandature de Jean-Claude Gaudin à la communauté urbaine, et initialement surnommée « clandestine » ; à partir de 2008, elle a sa fiche horaire, mais celle-ci n'est divulguée qu'aux comités d'intérêt de quartier[23].

Une restructuration importante du réseau de bus est actuellement à l’étude pour 2025[24].

Une rame de métro à La Fourragère, en 2010.

La première ligne du métro de Marseille a été mise en service le 26 novembre 1977. Après de multiples extensions, le métro dessert aujourd’hui 29 stations et compte deux lignes pour 22,4 km :

Un prolongement de la ligne 2 vers le sud est à l'étude[25].

Le métro circule de 5 h 00 (4 h 50 au départ de Gèze) à 0 h 30 (dernier départ des terminus).

La RTM dispose de 36 rames MPM 76 (dont 35 en service) de quatre voitures pouvant accueillir chacune 400 passagers[1]. Leur remplacement par les rames automatiques Neomma est prévu pour 2023[26].

Le réseau est peu accessible: seules cinq stations (Gèze sur la ligne 2, Blancarde, La Fourragère, Saint-Barnabé, Louis-Armand sur la ligne 1) peuvent être utilisées par les personnes à mobilité réduite[27].

Deux tramways de la ligne 2 sur le cours Belsunce, en 2010.

L'ancien réseau de tramway a été démantelé après la Seconde Guerre mondiale. La dernière ligne subsistante a été fermée en 2004 pour la construction du nouveau réseau. Celui-ci, inauguré en 2007 compte aujourd'hui 32 arrêts et trois lignes pour 12,7 km :

Plusieurs prolongements sont envisagés et l'extension de la ligne 3 vers le sud est à l'étude[28].

La RTM possède 32 rames Bombardier Flexity Outlook pouvant accueillir 232 voyageurs chacune[1].

Le réseau
  • Navettes maritimes

Un service de navettes maritimes reliant le Vieux-Port à la Pointe-Rouge a été testé à l'été 2012. Il a été depuis pérennisé avec l'ouverture de nouvelles liaisons vers L'Estaque (2013) et Les Goudes (2016). En 2014, les navettes ont transporté 423 000 passagers[1].

Les navettes circulent de mars à octobre, de 8 h à 19 h voire 22 h 30 durant l'été. La liaison Vieux-Portl'Estaque est prolongée hors saison estivale en 2019 à raison de 3 départs le matin et le soir[29]. Si cette expérimentation est concluante, le service de la ligne pourrait être reconduit en 2020 avec également la liaison vers la Pointe-Rouge.

  • Ferry-Boat

Depuis décembre 2015, les équipes assurent la gestion de la ligne historique du ferry-boat, qui relie les deux rives du Vieux-Port.

  • Liaisons îles du Frioul (ex-Frioul If Express)

Depuis décembre 2019, la régie assure également l'exploitation des liaisons maritimes entre le Vieux Port et les îles du Frioul via lebateau.

Les Parking Relais à Marseille
Parking Relais Places Disponibles Adresse
Louis Armand 91 Boulevard Louis Armand 13012
Bougainville 184 Boulevard de Magallon 13015
La Blancarde 200 Boulevard Louis Frangin 13005
Parc Chanot 300 114 Rond-Point du Prado 13008
Einstein 260 Avenue Einstein 13013
La Fourragère 737 Avenue des Caillols 13012
Frais Vallon 128 Impasse de la Farandole 13014
Gèze 617 Bld du Capitaine Gèze 13015 Marseille
St Jérôme 88 Rue de Pèbre d'Ail 13013
La Rose 739 Boulevard du Métro 13013
Rond-Point du Prado 393 Allée Grassi 13008
St-Just 257 Boulevard Verd 13013
Ste Marguerite Dromel 600 Boulevard de l'Huveaune 13009
Teisseire Dromel 110 74 rue R. Teisseire 13009
La Timone 350 Rue St Pierre 13005
Vallier 150 41 avenue Maréchal Foch 13004

En juillet 2014, la RTM reprend en exploitation via sa filiale Est-métropole le réseau Ciotabus, qui comprend 7 lignes régulières desservant La Ciotat et Ceyreste.

Elle a ensuite repris deux réseaux dans le périmètre Transmétropole : le Réseau des Cigales et Les Bus des Collines élargissant ainsi les dessertes de la filiale aux villes de Gémenos, Allauch, Ensuès-la-Redonne et le Rove.

Depuis janvier 2017, la RTM exploite via sa filiale Ouest-métropole les 12 lignes du réseau Ulysse qui desservent Martigues, Port-de-Bouc et Saint-Mitre-les-Remparts[30],[31].

Depuis le 28 août 2017, la RTM assure par ailleurs l'exploitation et l'entretien du tramway d'Aubagne, et depuis janvier 2023 elle exploite l’intégralité du Réseau de Transport « Lignes de l’Agglo » du Pays d’Aubagne et de l’Etoile au travers sa filiale TPE[14].

La RTM assure l'exploitation de deux services de transport à la demande exclusivement réservés aux personnes à mobilité réduite :

  • LeBus+ à la demande (18 communes desservies)
  • et Mobimetropole (15 communes desservies)

La RTM gère également[1] :

Le premier service d'information en temps réel des usagers créé par la RTM est « Top bus », installé en 1987 lors de l'ouverture complète de la ligne 2 du métro. Ce système comprend alors des télépancartes dans les stations de métro et des bornes afin de faciliter les correspondances[32].

En 1992, la RTM met en place des panneaux « Alphabus 21 » à la station Rond-point du Prado afin d'indiquer le passage des bus de la ligne 21, une des plus empruntées du réseau. La même année, des panneaux sont également installés à différents arrêts de la ligne[33],[34]. À partir de 1998, ce système est remplacé par la « Localisation de sécurité, radio transmission, exploitation, information voyageurs » ou « LOREIV »[34] exploité par Thalès puis par Navineo à partir de 2017[35].

Tous les arrêts de tramway et de « Très Grand Bus », toutes les stations de métro ainsi qu'une centaine d'arrêts de bus sont équipés de panneaux indiquant les prochains passages. L'ensemble des arrêts de bus sont équipés d'un flashcode permettant d'obtenir précisément l'heure du prochain passage, un service également disponible via l'application pour smartphone de la RTM ou sur envoi d'un texto.

La RTM compte 7 espaces clients dans les stations de métro et une agence centrale à Canebière-Bourse. Plus de 200 vendeurs sont également agréés sur tout le territoire.

Depuis le 26 avril 2010, la carte sans contact « Transpass » est le support billetique permettant de voyager sur la majeure partie des réseaux Transmétropole (RTM, Ciotabus, bus Transmétropole, navettes maritimes, vélo) ainsi que les TER à Marseille et entre Marseille et Septèmes-les-Vallons.

La carte « Transpass » peut également être utilisée sur les ferries Frioul-If-Express, le réseau départemental Cartreize.

Le Conseil des jeunes métropolitains fait adopter une mesure par le conseil métropolitain qui propose au fraudeur de choisir de payer une amende ou de prendre un abonnement Transpass. La mesure doit être transformée en droit pour une possible mise en application en 2024.

Saïd M’Hadi est un homme en situation de handicap mental, âgé de 37 ans lorsqu'il meurt à Marseille le 22 septembre 2021 d'un syndrome asphyxique, alors qu’il venait d’être « amené au sol » par des contrôleurs de la RTM à la station de métro Joliette[36],[37]. La RTM ne prend aucune mesure conservatoire contre les agents « traumatisés »[38], qui ont depuis réintégré leur service[39]. Une information judiciaire pour « violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner » est confiée à un juge d’instruction deux jours après la mort[40]. Un an plus tard, aucune garde à vue ni mise en examen n’a été prononcée dans ce dossier, et la commission rogatoire est toujours en cours[39],[41].

En juin 2022, un rapport de la chambre régionale des comptes de la région PACA dévoile les conditions financières du départ de l'ancien directeur Pierre Reboud, à l'âge de 76 ans. Après avoir été maintenu en poste neuf ans de plus qu'il n'aurait dû (une stratégie de maintien qui peut être qualifiée de détournements de fonds publics et recel et qui lui a permis de toucher 2 millions d’euros sur la période) puis manœuvré pour activer une clause avantageuse de départ, il reçoit en 2020 une indemnité de licenciement indue de 247 267 , dont la RTM demande finalement le remboursement[18].

  1. a b c d e f et g « Fiche d’identité de l’Entreprise », sur RTM.fr (consulté le 16 février 2024).
  2. « Décret n°50-780 du 24 juin 1950 RESILIATION DES CONTRATS DE CONCESSION INTERVENUS ENTRE LA VILLE DE MARSEILLE, LE DEPARTEMENT DES BOUCHES-DU-RHONE ET LA COMPAGNIE FRANCAISE DES TRAMWAYS », sur Légifrance.
  3. Laupiès 1993, p. 71-81
  4. a b et c Chambre régionale des comptes, Rapport d'observations définitives sur la gestion de la régie des transports de Marseille, 17 avril 2015 (lire en ligne)
  5. « La marque de Defferre sur les traminots.L'ex-directeur Jacques de Plazaola a tenté de briser un système clientéliste. », sur Libération.fr, 4 avril 1996.
  6. « L'alliance avec Veolia, un partage des risques et des bénéfices », article publié dans Ville & transports magazine n°427, pages 35.
  7. « À Marseille, le service public de nouveau sur les rails »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur L'Humanité, 18 janvier 2008.
  8. « Marseille : le tram, 100 % public »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur L'Humanité, 19 juillet 2008.
  9. « Gare routière Saint-Charles », sur RTM.fr (consulté le 25 janvier 2016).
  10. « La RTM rentre en gare routière de La Ciotat »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur La Marseillaise, 18 septembre 2014.
  11. « Marseille lance la première ligne de bus standard 100 % électrique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur decideursenregion.fr, 22 septembre 2016 (consulté le 30 novembre 2016).
  12. « Transports : le ticket unique de la métropole Aix-Marseille Provence reste encore au fond de la poche »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur La Marseillaise, 18 octobre 2016 (consulté le 1er février 2017).
  13. Julien Vinzent, « En janvier, les Martégaux monteront dans des bus RTM », sur marsactu.fr, 30 septembre 2016 (consulté le 30 novembre 2016).
  14. a et b « Aubagne : Façonéo et la RTM prennent la main sur les transports », LaProvence.com,‎ 15 septembre 2017 (lire en ligne, consulté le 28 mars 2018)
  15. « Source : https://www.marseille-transports.com/ ».
  16. a et b « Marseille Transports ::: Identités Visuelles », sur marseille-transports.com (consulté le 6 août 2019).
  17. « Conseil d'administration »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur RTM.fr (consulté le 29 janvier 2017).
  18. a et b Benoît Gilles, « Le très onéreux cadeau de départ de l'ancien directeur de la RTM », sur Marsactu, 17 octobre 2022 (consulté le 17 octobre 2022).
  19. « Marseille : Hervé Beccaria devient directeur général de la RTM », sur LaProvence.com, 8 juillet 2020 (consulté le 8 juillet 2020).
  20. « De Castellane à la Madrague, un bus spécial gardé secret », sur Marsactu, 24 août 2019 (consulté le 29 août 2019).
  21. « Le « bus secret » de Marseille preuve de « clientélisme » pour l'opposition », sur 20minutes.fr (consulté le 29 août 2019).
  22. « Un « bus secret » enflamme les réseaux sociaux et la rentrée politique à Marseille », Le Monde,‎ 27 août 2019 (lire en ligne, consulté le 29 août 2019)
  23. « Bus secret de la RTM : on l'appelait "la clandestine" », sur Marsactu, 19 septembre 2019 (consulté le 19 septembre 2019).
  24. Marseille : c'est quoi cette "révolution" du réseau de bus en 2025 ? Laprovence.com, 26 novembre 2022.
  25. « Le métro rêve d’extension au Sud alors qu’il patine au Nord », sur Marsactu, 14 décembre 2016.
  26. « Marseille : le métro s'apprête à entrer dans l'ère du "tout automatique" », sur La Provence, 16 janvier 2017.
  27. « Le ministre chargé du handicap pointe l'accessibilité insuffisante du métro à Marseille », sur Marsactu (consulté le 25 septembre 2022).
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  29. « Lanavette », sur rtm.fr (consulté le 25 décembre 2019).
  30. « Approbation du principe de reprise de la régie de transport Ulysse par la Régie des Transports Métropolitains sur les communes de Martigues, Port de Bouc et Saint Mitre les Remparts et de la régie de transport sur les communes d’Allauch, Ensues-la- Redonne et du Rove », sur metropole-amp.fr, 15 décembre 2016.
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  38. « Pas de sanction de la RTM envers les contrôleurs de la Joliette », sur 20minutes.fr (consulté le 2 octobre 2021).
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  40. Samantha Rouchard et photo Olivier Monge, « Saïd, 37 ans et handicapé, mort à Marseille «pour un ticket de métro» », sur Libération, 1er octobre 2021 (consulté le 2 octobre 2021).
  41. « Un an après la mort d’un passager handicapé, où en est l’enquête ? », sur 20minutes.fr, 22 septembre 22 (consulté le 23 septembre 2022).
  • Jacques Laupiès, Marseille et son Métro, Marseille, Éditions Paul Tacussel, 1993, 201 p. (ISBN 2-903963-66-5)
  • Pierre Echinard, Marseille en mouvement : deux siècles de transports collectifs urbains, Ed. européennes de Marseille-Provence, 2000