fr.wikipedia.org

Togny-aux-Bœufs — Wikipédia

  • ️Thu Jul 25 2019

Togny-aux-Bœufs
Togny-aux-Bœufs
La Guenelle à Togny-aux-Bœufs.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Marne
Arrondissement Châlons-en-Champagne
Intercommunalité Communauté de communes de la Moivre à la Coole
Maire
Mandat
Michel Jacquet
2020-2026
Code postal 51240
Code commune 51574
Démographie
Gentilé Tognats, Tognates
Population
municipale
138 hab. (2022 en évolution de +0,73 % par rapport à 2016)
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 51′ 12″ nord, 4° 26′ 44″ est
Altitude Min. 85 m
Max. 161 m
Superficie 9,98 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Châlons-en-Champagne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Châlons-en-Champagne-3
Législatives Cinquième circonscription
Localisation

Géolocalisation sur la carte : France

Voir sur la carte topographique de France

Togny-aux-Bœufs

Géolocalisation sur la carte : France

Voir sur la carte administrative de France

Togny-aux-Bœufs

Géolocalisation sur la carte : Marne

Voir sur la carte topographique de la Marne

Togny-aux-Bœufs

Géolocalisation sur la carte : Grand Est

Voir sur la carte administrative du Grand Est

Togny-aux-Bœufs

modifier 

Togny-aux-Bœufs est une commune française, située dans le département de la Marne en région Grand Est.

Ce village rural se trouve à 13 km au sud-est de Châlons-en-Champagne et 18 km au nord-ouest de Vitry-le-François et est aisément accessible depuis la route nationale 44.

Le territoire de la commune s'étend du sud-ouest, de la Champagne crayeuse, au nord-est, jusqu'à la vallée de la Marne[1]. L'altitude se réduit dans cette même direction, de 161 à 85 mètres[2].

Son territoire est traversé par la ligne Paris - Strasbourg, dont la station la plus proche est celle de Vitry-la-Ville.

La commune est dans la région hydrographique « la Seine de sa source au confluent de l'Oise (exclu) » au sein du bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par la Marne, la Guenelle, divers bras de la Guenelle[3],[Carte 1].

La Marne prend sa source sur le plateau de Langres, dans la commune de Saints-Geosmes (Haute-Marne) et se jette dans la Seine entre Charenton-le-Pont et Alfortville (Val-de-Marne) dans le quartier de Conflans-l'Archevêque[4].

La Guenelle, d'une longueur de 30 km, prend sa source dans la commune de Glannes et se jette dans la Marne à Mairy-sur-Marne, après avoir traversé onze communes[5].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Togny-aux-Bœufs[Note 1].

Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : le Grand Accru, d'une superficie totale de 1,5 ha (0 ha sur la commune)[Carte 1],[6].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 691 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Fagnières-Inra », sur la commune de Fagnières à 15 km à vol d'oiseau[9], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 632,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,8 °C, atteinte le 25 juillet 2019 ; la température minimale est de −21 °C, atteinte le 6 janvier 1985[Note 2],[10],[11].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[12]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Au 1er janvier 2024, Togny-aux-Bœufs est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle est située hors unité urbaine[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Châlons-en-Champagne, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[15]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16],[17].

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (94,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81 %), zones agricoles hétérogènes (10,2 %), prairies (2,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,5 %), zones urbanisées (2 %), forêts (1,7 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est attesté sous les formes Tonniacum (1094) ; Tuini (1161) ; Tongnei (1171) ; Tuniacum (1174) ; Tuigni (1178) ; Toegni (1185) ; Toigni (1225) ; Tugni (vers 1240) ; Tongnis (1234-1243) ; Tooni (vers 1252) ; Villa Toigniei (XIIIe siècle) ; Taugny, Tooigny (vers 1300) ; Toingny (1332) ; Tohugny (1383) ; Thoigny (1384) ; Thogny (1398) ; Tongny (1406) ; Thoigny (1464) ; Thongny (1472) ; Thongny-sur-Blaise (1551) ; Thosni (1556) ; Thongny-aux-Beufz (1565) ; Tongny-aux-Bœufs (1680) ; Tougny (1728) ; Thonniacum (1775) ; Togny (XVIIIe siècle) ; Togny-aux-Bœufs (1834)[19].

Son nom connu actuellement est a priori du fait que les bœufs ayant servi à la construction de la basilique de l'Épine seraient venus dans les pâtures du village pour prendre quelque repos[20].

Togny-aux-Bœufs aurait été fondé par un général romain nommé Toniacus. La craie utilisée pour la construction de la basilique de l'Épine pourrait venir en partie du village[20].

En 1375, un capitaine du roi de France, Enguerrand de Coucy, traverse la Champagne avec ses bandes de routiers, au grand dommage du plat pays : « Ainsi les habitants de Togny-en-Champagne se virent-ils réduits à s’entasser dans des cachettes pour échapper aux terribles gens d’armes. »

Le 20 mai 1940, lors de la Bataille de France, ordre est donné au 36ème BCC (bataillon de char de combat) de faire mouvement pour assurer la garde des têtes de ponts sur la Marne à Pogny et Vésigneul. La troisième compagnie du bataillon s'installe à Togny-aux-Bœufs le 21 mai. Dès le 23 mai, cette compagnie quitte le village et est transportée par chemin de fer depuis Châlons vers Berzy-le-Sec[21] (Aisne).

Le 13 juin 1940, après avoir traversé la Marne à Pogny, les chars du détachement Gasc du 41ème BCC - renvoyés vers l'arrière pour réparations - se regroupent à Togny. Le général de Lattre de Tassigny met le capitaine Gasc en demeure, malgré son ordre de mission, de mettre ses chars à sa disposition. Vers 20 heures, les chars pratiquement inutilisables sont dispersés le long de la Marne sur un front de près de 12 kilomètres. Le char 342 CORTON est placé à la lisière Nord de Togny-aux-Bœufs en direction de Vésigneul puis sabordé[22], ainsi que les chars 320 DROME[23] et 316 MOSELLE (ce dernier à court d'essence, entre Togny et Vitry-la-Ville[24]). Le 14 juin, ordre est donné au détachement Gasc de se replier dans le département de l'Aube.

La commune se trouve dans l'arrondissement de Châlons-en-Champagne du département de la Marne. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1986 de la cinquième circonscription de la Marne.

À la Révolution française, la commune fait partie du canton de Pogny. Celui-ci est supprimé en 1801 et Togny-aux-Bœufs intègre le canton d'Écury-sur-Coole[2]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Châlons-en-Champagne-3.

La commune, antérieurement membre de la communauté de communes de la Guenelle, est membre, depuis le 1er janvier 2014, de la communauté de communes de la Moivre à la Coole.

En effet, conformément au schéma départemental de coopération intercommunale de la Marne du 15 décembre 2011[25], cette communauté de communes de la Moivre à la Coole est issue de la fusion, au 1er janvier 2014, de la communauté de communes de la Vallée de la Coole, de la communauté de communes de la Guenelle, de la communauté de communes du Mont de Noix et de la communauté de communes de la Vallée de la Craie[26].

Liste des maires successifs[27].
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1848 1851 Alexis Gatelet    
1851 1862 Joseph Songy    
1862 1896 Onésime Henry    
1896 1908 Louis Estienne    
1908 1913 Ulysse Gatelet    
1913 1925 Henri Berthemy    
1925 1935 Louis Ollivier    
1935 1944 Louis Mortas    
1944 1971 Robert Berton    
1971 1983 Marc Jeanmaire    
1983 2001 Michel Berton    
2001 En cours
(au 18 novembre 2018)
Michel Jacquet   Agriculteur propriétaire-exploitant
Président de la CC de la Guenelle (2008 → 2013)
Président de la CC de la Moivre à la Coole (2014 → 2018)
Réélu pour le mandat 2014-2020[28],[29]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

En 2022, la commune comptait 138 habitants[Note 4], en évolution de +0,73 % par rapport à 2016 (Marne : −1,19 %, France hors Mayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
275290296300313327331343381
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
362333338323331320287270230
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
219222215189192199171204228
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
200163153165166161146150134
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
2015 2020 2022 - - - - - -
137138138------

Histogramme de l'évolution démographique

  • L'église Saint-Brice abrite quatre objets classés monuments historiques : une Vierge à l'Enfant du XIIIe siècle[33], un Christ en croix du XIVe siècle[34], un bas-relief de l'Adoration des mages du XVe siècle[35] et un vitrail représentant l'Annonciation et deux hommes aux côtés d'un évêque, datant de 1520 et compléter au XIXe siècle[36].
  • Le Robinson châlonnais, lieu de détente ;
  • en avion, des sites archéologiques sont repérables ;
  • la mairie ;
  • le cimetière du village comportent de nombreux éléments historiques d'intérêt.
  • Louis-Antoine Cagnon (1771-1853), capitaine de cavalerie sous le 1er Empire, chevalier de l'ordre de la Légion d'honneur[37];
  • Auguste Person, l'inventeur de la jupe à crinoline ;
  • le pilote australien Gordon Edwin Beckhouse, tué par les Allemands en 1944 ;
  • Togny-aux-Bœufs est le village d'origine -au XVIIe siècle- de la famille Chanoine : Jean Louis Chanoine (1787-1872), conseiller général de la Marne et maire d'Épernay de 1840 à 1848, Général Jules Chanoine (1835-1915), conseiller général de la Marne et ministre de la guerre en 1898, maison de champagne Chanoine Frères :
  • Louise-Marie Lévêque (1842-1926), épouse du docteur Jean-Baptiste Langlet, maire de Reims de 1908 à 1919.
  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du 1er janvier 1970 au 4 janvier 2024.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  1. a et b « Réseau hydrographique de Togny-aux-Bœufs » sur Géoportail (consulté le 27 mai 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le 16 juillet 2023).
  1. « Carte IGN de Togny-aux-Bœufs » sur Géoportail (consulté le 23 octobre 2013)..
  2. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  3. « Fiche communale de Togny-aux-Bœufs », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le 27 mai 2024).
  4. Sandre, « la Marne »
  5. Sandre, « la Guenelle »
  6. « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le 27 mai 2024).
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ 18 juin 2010 (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le 28 janvier 2024)
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le 28 janvier 2024).
  9. « Orthodromie entre Togny-aux-Bœufs et Fagnières », sur fr.distance.to (consulté le 28 janvier 2024).
  10. « Station Météo-France « Fagnières-Inra », sur la commune de Fagnières - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le 28 janvier 2024).
  11. « Station Météo-France « Fagnières-Inra », sur la commune de Fagnières - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le 28 janvier 2024).
  12. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le 28 janvier 2024).
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, novembre 2022 (consulté le 28 janvier 2024).
  14. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, 28 mai 2024 (consulté le 28 juin 2024).
  15. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Togny-aux-Bœufs ».
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Châlons-en-Champagne », sur le site de l'Insee (consulté le 28 juin 2024).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, 21 octobre 2020 (consulté le 28 juin 2024).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le 18 mai 2021).
  19. Auguste Longnon, Dictionnaire topographique de la Marne, Paris, 1891 (lire en ligne), p. 270.
  20. a et b Jean-Marie Cassagne et Mariola Korsak, Origine des noms de lieux de Paris et grande couronne, J.-M. Bordessoules, 2009, p. 129.
  21. « Journal des marches et opérations du 36e bataillon de char de combat : Source SHD - Retranscrit de l'original par Marie-Claude Toubin », Journaux de marches et opérations, sur chars-francais.net, 2015 (consulté le 25 mars 2019).
  22. « CORTON n° 342 (41e BCC - compagnie d’Échelon) », Chars B1 et B1bis, sur chars-francais.net, 2015 (consulté le 25 mars 2019).
  23. « DROME n° 320 (41e BCC - 2e compagnie) », Chars B1 et B1bis, sur chars-francais.net (consulté le 25 mars 2019).
  24. « MOSELLE n° 316 (41e BCC - 3e compagnie) », Chars B1 et B1bis, sur chars-francais.net, 2015 (consulté le 25 mars 2019).
  25. « Schéma départemental de coopération intercommunale de la marne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], Tout savoir sur votre SDCI, Association nationale des Pôles d'équilibre territoriaux et ruraux et des Pays (ANPP), 15 décembre 2011 (consulté le 19 juillet 2015), p. 2.
  26. « Arrêté préfectoral du 29 mai 2013 portant création du nouvel Établissement public de coopération intercommunale issu de la fusion de la Communauté de communes de la Guenelle, de la Communauté de communes du Mont de Noix, de la Communauté de communes de la Vallée de la Coole et de la Communauté de communes de la Vallée de la Craie », Bulletin d'information et recueil des actes administratifs de la préfecture de la Marne, no 5 ter,‎ 31 mai 2013, p. 21-24 (lire en ligne [PDF]).
  27. « Les maires de Togny-aux-Bœufs », sur FranceGenWeb, 19 février 2011 (consulté le 23 octobre 2013).
  28. Liste des maires au 1er août 2008, site de la préfecture de la Marne, consulté le 22 décembre 2008
  29. « Liste des maires du département de la Marne » [PDF], Renouvellement des exécutifs locaux, Préfecture de la Marne, 4 juillet 2014 (consulté le 19 juillet 2015).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
  33. Notice no PM51001101, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture. Consulté le 23 octobre 2013.
  34. Jean Fusier et Sophie Tissier. Notice no PM51001725, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, 2004. Consulté le 23 octobre 2013.
  35. Notice no PM51001102, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture. Consulté le 23 octobre 2013.
  36. Bruno Decrock. Notice no IM51000197, 1989. Notice no PM51001103, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture. Consulté le 23 octobre 2013.
  37. Bulletin des lois de la République Française, vol. 8, Imprimerie nationale des lois, 1819 (lire en ligne), p. 34.