Saint-Lô — Wikimanche
Saint-Lô est une commune de la Manche.
Saint-Lô est la préfecture du département de la Manche et le seconde ville du département par sa population, avec 19 116 habitants. Détruite à 90 % en juin 1944, ce qui lui vaut alors le surnom de « capitale des ruines », Saint-Lô est aujourd'hui une ville moderne dominée par une forte activité administrative.
Elle est également le chef-lieu de l'arrondissement qui porte son nom et se partage en deux cantons : le canton de Saint-Lô-1 et le canton de Saint-Lô-2.
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Coordonnées géographiques de la mairie ![]() 49° 6' 57.94" N, 1° 5' 26.06" W (OSM) | |||||||||
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Arrondissement | Saint-Lô (chef-lieu) | Chargement de la carte... | ||||||||
Canton | Bureau centralisateur des deux cantons Saint-Lô-1 et Saint-Lô-2 | |||||||||
Ancien canton | Saint-Lô-Ouest et Saint-Lô-Est (chef-lieu) | |||||||||
Intercommunalité | CA Saint-Lo Agglo (siège) | |||||||||
Gentilé | Saint-Lois(es) | |||||||||
Population | 19 352 hab. (2022) | |||||||||
Superficie | 23,19 km² | |||||||||
Densité | 834 hab./km2 | |||||||||
Altitude | 7 m (mini) - 134 m (maxi) | |||||||||
Code postal | 50000 | |||||||||
N° INSEE | 50502 | |||||||||
Maire | Emmanuelle Lejeune | |||||||||
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Géographie
Saint-Lô est arrosée par la Vire qui la sépare d'Agneaux, le Torteron, la Dollée et son affluent le ruisseau de la Piérie, ainsi que par le ruisseau des Étangs de Semilly.
Histoire
Voir l'article détaillé Histoire de Saint-Lô pour les périodes préhistorique, protohistorique et médiévale.
De Briovère à Saint-Lô
Mentionnée pour la première fois dans un manuscrit du 6e siècle, la « cité de Briovère » aurait vu ses défenses renforcées sur ordre de Charlemagne, sans qu'aucune trace ne l'atteste. Assiégés par les Vikings en 889, les Saint-lois capitulent après la destruction de l’aqueduc desservant la ville. Pillée et rasée, Saint-Lô peine à se rétablir jusqu'à l'installation de l’évêque Robert Ier, en 1025. Son successeur, Geoffroy de Montbray, développe la ville, fait construire un moulin et un pont de pierre sur la Vire [1].
En 1090, Henri Beauclerc, le fils de Guillaume le Conquérant, réédifie les fortifications. Le christianisme s'impose à travers des églises et des abbayes [1].
Au 14e siècle, Saint-Lô devient une place de marché de premier ordre, réputée ses draps de laine et portée par l’artisanat exploitant les cours d’eau rapides du Torteron et de la Dollée. On compte 9 000 habitants, ce qui fait de Saint-Lô la troisième ville de Normandie derrière Rouen et Caen [1].
Durant la Guerre de Cent Ans, Saint-Lô subit le pillage des Anglais d’Edouard III en 1346 après deux jours de siège, puis la grande peste en 1349 [1]. Alors que Saint-Lô a le droit de battre monnaie depuis 1275, l'atelier de monnaie est attesté en 1351, sous Jean le Bon, la guerre rendant dangereux le voyage à Rouen et imposant un nouvel atelier royal à Saint-Lô, devenu centre industriel important [2].
Le roi de France reprend la ville en 1378, mais elle retrouve la domination anglaise en 1418 jusqu'à la libération par les troupes du roi Charles VII en 1449 [3]. L'année suivante, Saint-Lô redevient atelier royal jusqu'à la disparition progressive de la monnaie de Saint-Lô au profit de celle de Caen à partir de 1659 [2].
En 1467, les Saint-Lois repoussèrent une attaque des Bretons [3].
|=== Les guerres de religion ===
Profitant de la paix qui règne ensuite, le commerce croît à travers l'industrie textile, dont les sergiers (fabricants d'étoffes légères) qui se taillent une belle réputation [3].
Geoffroy Herbert, évêque de Coutances et baron de Saint-Lô à partir de 1478, aménage la ville. L’évêque d’Avranches, Jean Boucard, fonde à Saint-Lô la deuxième bibliothèque de Normandie. Aux 15e et 16e siècles, plusieurs beaux bâtiments civils sont édifiés. L'église se dote d'une tour sud et d'un portail en 1464, d'un chœur gothique et d'un collatéral nord en 1510. La Maison-Dieu est ouverte près des halles vers 1495 par les frères de l’Hôtel-Dieu pour y peser les marchandises et assurer la régularité des transactions [3].
Sous l'influence des commerçants anglais et de l'essor de l'artisanat, Saint-Lô, comme ailleurs en Normandie, s'ouvre aux idées de la Réforme. Le Nouveau Testament, bible protestante, est le première ouvrage qui sort des imprimeries saint-loises en 1562, et le secteur prospère par la suite. Un temple protestant ouvre et le projet de collège protestant échoue en 1562, malgré l'attrait grandissant de la petite noblesse locale [3].
Les guerres de religions dévastent la ville à partir de mars 1562, quand les protestants, sous l'impulsion de Gabriel Ier de Montgommery, brisent les statues de l’église Notre-Dame et pillent la bibliothèque. Après son humiliation publique à Coutances, l'évêque, Arthur de Cossé, vend la baronnie de Saint-Lô à Jacques II de Matignon, lieutenant général de Normandie, qui édifie la citadelle du Neufbourg et protège les calvinistes locaux de la Saint-Barthélémy en 1572 [3].
Le 1er mai 1574, les troupes royales de Matignon assiègent les 2 000 protestants normands enfermés dans Saint-Lô et menés par Colombières, gendre et second de Montgommery, qui fait fortifier la rue du Neufbourg et la rue Saint-Thomas. Le 10 juin, après quatre assauts, une tour s’écroule dans la Vire. Colombières meurt dans la bataille qui fait 500 morts, dont 300 protestants. Montgommery fuit jusqu'à Domfront où il est capturé [3].
Le procureur du Roi Jean Dubois finance la reconstruction des bâtiments et des esprits saint-lois dans la foi catholique [3].
Ancien Régime
Saint-Lô perd en 1580 le siège du présidial au profit de Coutances. L'élection de Saint-Lô, administration fiscale levant l’impôt, est constituée par édit royal en avril 1639[4].
En 1679, les reliques de saint Laud, cachées depuis les invasions vikings, sont rapportées à Notre-Dame. Le Bon-Sauveur est fondé par Elisabeth de Surville en 1712. Plusieurs institutions déménagent à Caen au milieu du 17e siècle, du fait de la forte présence protestante, mais la ville demeure un centre commerçant important, notamment le marché qui prend place près de Notre-Dame trois fois par semaine[4].
Au 18e siècle, la ville est protégée par les remparts qui enferment l'Enclos avec : à l'est de l'église, l'emprise de l'ancien château, non lotie, et à l'ouest, le dense quartier des nobles formé d'îlots de maisons mitoyennes, séparés par de petites rues. De part et d'autres, les voies d'accès concentrent les autres habitations : Valvire, la rue Saint-Georges, le Neufbourg… Deux portes percent les murailles, chacune flanquée de deux grosses tours à l’antique, avec pont-levis et avant-portes[4].
La route royale de Paris à Cherbourg, qui passe par Saint-Lô, est construite entre 1761 et 1766 malgré l'hostilité de la population, et le roi Louis XVI l’emprunte en 1786[4].
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Révolution française
Quand advient la Révolution française, Saint-Lô connaît une crise économique comme ailleurs dans le pays : la fermeture des manufactures met 2 000 ouvriers au chômage et la famine sévit, échauffant les esprits.
L’élection de Saint-Lô est supprimée en 1789 et le département du Cotentin est créé en 1790, avec Coutances pour chef-lieu. La lutte entre Saint-Lô et Coutances pour être le chef-lieu du département va émailler la période révolutionnaire [5].
Les champs Saint-Thomas sont aménagés par les sans-emplois et prennent le nom de champ de Mars où se déroule la fête de la fédération, le 14 juillet. Saint-Lô abandonne son hagiotoponyme pour un nom plus révolutionnaire, « Rocher de la Liberté », en 1794. Le 20 mai, un arbre de la liberté est planté sur le Champ de Mars. Saint-Lô devient capitale départementale par décret du 11 octobre 1795 mais sans autre effet que l'installation du conseil général. La cité est déclarée chef-lieu de préfecture en 1800, et le premier préfet, Magnytot, s'y installe le 22 mars [5].
19e siècle
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Clos dans ses remparts, Saint-Lô est contraint dans son expansion sous l'Empire. L’abbaye de Saint-Lô est amputée de ses terrains pour installer le haras national, transféré ensuite en 1866. Les remparts à l'est, dont la citadelle de Neufbourg, sont rasés en 1812 pour ne conserver que la tour de la Poudrière [6].
La nouvelle monarchie fait construire le palais de Justice en 1823 et la prison en 1824. Puis la préfecture et les Archives départementales s’installent à proximité [6].
Les routes d'accès à Saint-Lô sont améliorées entre la fin de l'Ancien Régime et la Restauration. La Vire est aménagée pour la navigation : construction d'écluses, adaptation des Claies de Vire pour un flux plus important, canalisation de la Basse-Vire par la compagnie d'Alfred Mosselman. Celle-ci édifie également le port de Saint-Lô, surnommé le « Quai à tangue » du fait du commerce de tangue issue de la baie des Veys qui s'y développe. Les Saint-Lois ayant refusé le passage de la ligne Cherbourg-Paris, l'embranchement ferroviaire jusqu'à Lison est ouvert en 1860 [6].
Saint-Lô et ses environs profitent du développement de l'agriculture à la fin du 19e siècle.
Il existait encore à cette période une foire pour la location des domestiques [7].
Époque contemporaine
Lorsque la Première Guerre mondiale est déclarée, le 136e Régiment d'infanterie, caserné à Saint-Lô, part pour le front après un passage en revue sur la Place du Champ-de-Mars pour combattre lors de 14 batailles, notamment celles des Ardennes et de la Marne [8]
Dans les années 1920 et 1930, les marchés se développent sur la place des Beaux-Regards, devant l'Église Notre-Dame, tandis que la principale foire, la Madeleine, se tient autour du 22 juillet. Les loisirs se développent, à l'instar des salles de cinémas, dont la première saint-loise, Le Majestic, ouvre en 1934 [9]. Le football également se développe avec l'engouement pour l'Étoile sportive qui joue au Stade de la Falaise [8].
La Papeterie de Saint-Lô est détruite par un incendie en 1930 qui interdira toute réouverture [8].
L'armée allemande entre à Saint-Lô dans la nuit du 17 au 18 juin 1940. Une convention d'occupation est signée le 24 juin, et la Kreiskommandantur s’installe dans l’hôtel de ville, faisant de la préfecture le centre départemental de l’Occupation. La Feldkommandantur investit la rue de la Poterie [8]. En 1941, un couvre-feu est décrété. La fonte et le métal, dont la symbolique Laitière normande, sont réquisitionnés en 1942 pour produire des canons allemands [8]. En réaction à l'Occupation, la résistance s'exprime dès 1940 par du boycott et des sabotages et le refus de 54 réfractaires de partir pour le STO. En 1943, huit réseaux et deux mouvements sont présents dans l'agglomération et mènent deux attentats contre des soldats allemands, le 14 mai 1943 et le 23 janvier 1944. Les Allemands creusent une galerie sous le rocher pour y installer un hôpital militaire [8].
La ville subit d'intenses bombardements américains le soir du 6 juin 1944 : la centrale électrique d’Agneaux à 10 h, la gare vers 16 h 15, puis une quarantaine de bombes sur la ville à 20 h, des bombes incendiaires lâchées par une cinquantaine d'avions vers 00 h 30 [8]. Près de 400 civils meurent cette nuit-là [10]. Les populations fuient, d'autres bombes tombent les jours suivants jusqu'à la libération le 18 juillet, dont le major Howie devient le héros et martyr. Une contre-attaque des tireurs allemands est repoussée le surlendemain [8]. Détruite à 90 %, Saint-Lô est la « capitale des ruines », selon l'expression de l'écrivain Samuel Beckett [11].
Alors que certains imaginent laisser les ruines comme témoignage du martyre, le général de Gaulle acte, après le déblaiement par les prisonniers allemands, la reconstruction de la ville, portée par son maire, Georges Lavalley [8]. Une solidarité mondiale se met en place en 1945 : France, États-Unis, Canada, Finlande et Suède financent l'édification des baraques (routes de Tessy et de Torigni, Grimouville et Falourdel), la Suisse soutiennent l'ouverture d'un centre social et l'Irlande offre un hôpital provisoire [8].
L'architecte André Hilt, chargé de la conception du plan d’urbanisme de Saint-Lô jusqu'à sa mort accidentelle en 1946, choisit de mettre en avant l'histoire et la topographie du site en dégageant le front sud des remparts. Marcel Mersier lui succède et conserve l'esprit du projet, en concevant l’Hôtel de Ville, le théâtre et les logements, dans une architecture rationnelle. Plusieurs architectes participent à la reconstruction : Jean Dubuisson conçoit deux ensembles de logements modernistes (1953), Joseph Marrast réalise la chapelle du Bon-Sauveur (consacrée en 1959), Louis Arretche dessine l'hôtel de la préfecture de la Manche, Paul Nelson livre un hôpital mémorial France-États-Unis fonctionnaliste (1946-1956) [12].
Le 6 juin 1948, Vincent Auriol, président de la République, remet à la ville la croix de Guerre et la Légion d'honneur pour son rôle dans la Seconde Guerre mondiale [13].Rue Saint-Thomas, il pose la première pierre de la reconstruction de la ville, qui durera jusque dans les années 1970 [11]. Les Américains participent à la construction du centre hospitalier mémorial [8].
La Préfecture retrouve Saint-Lô en 1953. Par les arrêtés des 27 décembre 1963 et 8 février 1964, Saint-Lô absorbe les communes de Saint-Thomas-de-Saint-Lô et Sainte-Croix-de-Saint-Lô. Cette fusion est effective à partir du 1er mars 1964. Entre 1968 et 1975, la ville connaît une hausse de près de 30 % de sa population [8].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793.
À partir du 21e siècle, les recensements des communes de plus de 10 000 habitants ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[14]. En 2022, la commune comptait 19 352 habitants.
Administration
Circonscriptions administratives avant la Révolution
- Généralité : Caen.
- Élection : Carentan et Saint-Lô en 1612/1636, Carentan en 1677, Saint-Lô en 1713.
- Sergenterie : Saint-Lô.
Les maires
Mairie
- Horaires d'ouverture
Jours | Matin | Après-midi | Coordonnées de la mairie (Pour envoyer un mail et signaler une erreur cliquez ici) | ||
Lundi | 8 h 30 - 12 h 30 | 13 h 30 - 18 h |
| ||
Mardi | 8 h 30 - 12 h 30 | 13 h 30 - 18 h | |||
Mercredi | 8 h 30 - 12 h 30 | 13 h 30 - 18 h | |||
Jeudi | 8 h 30 - 12 h 30 | 13 h 30 - 18 h | |||
Vendredi | 8 h 30 - 12 h 30 | 13 h 30 - 18 h | |||
Samedi | 9 h - 12 h | - |
Religion
Circonscriptions ecclésiastiques avant la Révolution
- Diocèse : Coutances.
- Archidiaconé : Val de Vire.
- Doyenné : Saint-Lô.
Circonscriptions ecclésiastiques actuelles
- Diocèse : Coutances et Avranches.
- Archidiaconé : Centre.
- Doyenné : Pays Saint-Lois.
- Paroisses : Saint-Laud et Saint-Jean-Eudes.
Lieux et monuments
« La ville, faite de béton, d'acier, de fer et de verre, détonne au milieu du bocage, et sa réputation [architecturale] n'est pas glorieuse », assure le mensuel Détours en France [11]. Emmanuel Fauchet, directeur adjoint du Conseil d'architecture, d'urbanisme et de l'environnement de la Manche (CAUE), estime que ce sont surtout « ceux qui ont connu le Saint-Lô d'avant les bombardements » qui critiquent la ville nouvelle, « construite dans la douleur ». En vérité, assure-t-il, « compte tenu de l'état d'urgence et de la précarité, l'architecture est tout à fait cohérente » : « c'est une ville aérée, espacée, faite pour circuler - on est en plein boum de l'automobile - conçue d'abord pour y travailler, puis pour y habiter » [11]. Jean-Michel Germaine, architecte des Bâtiments de France, juge lui aussi l'architecture de Saint-Lô « tout à fait remarquable » [11]. Mais il trouve le plan urbanistique « très peu cohérent », critiquant les « vides », la « disproportion entre la voirie et la taille des immeubles, la disparition des repères, des rez-de-chaussée commerciaux, la disparition de l'agréable et de la chalandise » [11].
- Patrimoine architectural
- Château de Commines
- Château de la Vaucelle (15e s.), avec pigeonnier et mur crènelé, inscrits à l'Inventaire des monuments historiques (IMH)
- Hôpital mémorial France-États-Unis (1958), avec une mosaïque de Fernand Léger
- Haras national (19e s.), inscrit à l'Inventaire des monuments historiques (IMH)
- Hôtel de ville (1958)
- Hôtel des postes, place du Champ-de-Mars : début de la construction en mai 1935 [19]
- Laitière normande, statue place de l’Hôtel de Ville
- Maison de relogement en bois de la Reconstruction, 146 bis rue du Maréchal-Juin
- Manoir du Bosdel (16e/17e s.), inscrit à l'Inventaire des monuments historiques (IMH)
- Manoir de la Seigneurie
- Poterne, monument historique
- Préfecture (1953), œuvre de Louis Arretche
- Prison : porche, monument commémoratif 39-45
- Remparts, avec leurs tours et souterrain
- Statue de la Licorne, rue du Neubourg
- Statue de l'écureuil de la Caisse d'épargne, rue Saint-Thomas, en face d'un ancien guichet de la banque, fermé en 1990.
- Théâtre Roger-Ferdinand (en béton), rue Octave-Feuillet
- Gare ferroviaire
- Gare routière, mise en service le 3 décembre 1956
- Barrage de Candol : détruit en 2017
- Belle-Croix
- Boismarcel
- Croix-Canuet
- La Ferronnière
- Jardin public
- Plage verte, le long du quai à Tangue
- Patrimoine religieux
- Chapelle de La Madeleine de l'ancienne léproserie (13e - 17e), inscrite à l'Inventaire des monuments historiques (IMH)
- Chapelle du Bon-Sauveur, consacrée en 1959
- Croix de la rue du Pot-d'Airain
- Église Notre-Dame (13e/16e/20e s.), restaurée après 1944, monument historique
- Église abbatiale Sainte-Croix (1202), reconstruite en 1860, restaurée après 1944 : portail roman (12e)
- Église Saint-Jean-Eudes (20 e s.)
- Patrimoine commémoratif
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- Mausolée Blanchet, tombeau de la famille Blanchet qui a servi de poste de commandement provisoire au major Glover Johns, commandant du 1st Battalion du 115th Infantry Regiment de la 29th US Infantry Division, pendant les combats pour la prise de la ville le 18 juillet 1944 [20]. Il est dans le cimetière.
- Mémorial du major Howie sur la N. 176, à la mémoire du « major de Saint-Lô », qui commandait le 2nd Infantry Battalion du 116th Infantry Regiment de la 29th US Infantry Division. Il est tué le 17 juillet 1944 à la tête de ses troupes libératrices [20].
- Monument aux morts
- Monument aux victimes civiles, inauguré en 1969 en souvenir des victimes du bombardement de la ville en juin 1944. Une plaque au niveau de l'abri souterrain creusé en 1943 par les Allemands pour abriter un hôpital militaire, rappelle qu'il a servi de refuge à des Saint-Lois lors des bombardements du 6 au 9 juin [[1944 [20].
- Plaque au major Howie sur la façade de l'église Sainte-Croix dans les ruines de laquelle le corps du soldat a été déposé provisoirement [20].
- Plaque 29th US Infantry Division, rappelant que des éléments de l'unité commandée par le général Gerhardt, sont entrés dans la ville le 18 juillet 1944 par la rue qui a pris le nom du haut-gradé [20].
- Stèle Robert J. Harding à la mémoire du 1st lieutnant décédé le 6 août 1944 des suites de blessures reçues dans les combats pour la libération de la ville [20].
- Dans l'ancienne commune de Sainte-Croix-de-Saint-Lô
- Communs de Bois-Jugan
- Capelle (19e s.)
- La Monnaie
- Montceaux (16e)
- Site de la Petite Suisse
- Dans l'ancienne commune de Saint-Thomas-de-Saint-Lô
- La Métairie (15e)
- Palais de Justice
- Village du Hutrel
Personnalités liées à la commune
Naissances
- par ordre chronologique
- Cardinal Jacques Davy du Perron (1556-1618), poète et diplomate
- Joachim Legrand (1653-1755), historien
- Pierre Poisson (1690-1744), ecclésiastique
- Jacques Pierre David Letellier du Hutrel (1732-1818), homme politique
- Hervé François Lefollet (1758-1827), homme politique
- Daniel Saint (1778-1847), peintre miniaturiste
- Jean-Marie Hervagault (1781-1812)
- Zacharie Cousinet (1786-1855), joaillier
- Édouard Lambert (1794-1870), intellectuel, historien
- Urbain Le Verrier (1811-1877), astronome
- Édouard Lepingard (1820-1907), historien local
- Étienne Tréfeu de Fréval (1821-1903), auteur dramatique
- Paul Blier (1822-1904), poète
- Gustave Maurouard (1822-1910), ingénieur poudrier
- Anatole Olivier (1836-1912), militaire
- Exupère Caillemer (1837-1913), juriste
- Paul Porel (1843-1917), comédien, metteur en scène, directeur de théâtre
- Gustave Bouchard (1855-1927), religieux
- Georges Girard (1873-1944), écrivain
- Daniel de Losques (1880-1915), caricaturiste
- Germain Baudre (1885-1972), poète
- Pierre Piédagnel (1890-1938), religieux
- Raymond Brulé (1897-1944), militaire résistant et déporté
- Roger Ferdinand (1898-1967), auteur dramatique
- Eugène Argney (1901-1978), religieux
- Lucien Siouville (1908-1942), résistant
- Henri Gourdier (1908-1944), déporté
- Max Hévin (1908-), déporté
- Jean Barbaroux (1912-1983), écrivain
- Joseph Leclerc-Hardy (1913-1990), fondateur de La Manche Libre
- Raymond Delacroix (1914-1992), religieux
- Bernard Jacqueline (1918-2007), archevêque et érudit
- Jacques Datin (1920-1973), compositeur
- Jean Gablin (1922-1944), résistant
- Henri Chazalette (1928-), militaire
- Émile Harel (1929-2018), vicaire général du diocèse de Coutances
- Michel Brulé (1932-), sondeur
- Michel Clos (1934-), sculpteur
- Janladrou (1935-), peintre
- Pierre Yver (1947-), coureur automobile
- Jean Teulé (1953-2022), écrivain
- Pascal de Saint-Jores (1954-2018), musicien
- Sylvie Lainé (1957-), ingénieure en informatique, écrivaine
- Stéphane Puisney (1959-), dessinateur de bandes dessinées
- Jacky Vimond (1961-), champion du monde de motocross
- Stéphane Osmond (1962-), footballeur
- Éric Levallois (1963-), cavalier
- Stéphane Lemarchand (1971-), footballeur
- Alexis Loret (1975-), acteur
- Romuald Mottin (1978-2002), militaire
- Mathieu Viel (1978-), footballeur
- Mathieu Johann (1980-), chanteur
- Hugues Duboscq (1981-), nageur
- Gaëtan Cantamessi (1982-), volleyeur
- Benoît Lesoimier (1983-), footballeur
- Camille Belhache (1985-), volleyeur
- Adèle Hommet (1985-), femme politique
- Maxime Beaussire (1991-), boxeur
Décès
- Louis Caillemer (1764-1827), militaire
- Charles Vallée-Lerond (1798-1838), chef d'entreprise
- Jérome Frédéric Perrette Lamarche (1779-1847), capitaine de vaisseau
- Daniel Saint (1778-1847), peintre miniaturiste
- Gustave-Napoléon Doisnard (1806-1852), architecte
- Eugène Désiré Martin-Martinière (1821-1876), religieux
- François Hamel (1827-1901), religieux
- Roger Anne (1924-1942), ouvrier, résistant
- Alexandre Avoyne (1899-1942), employé SNCF, résistant
- Félix Bouffay (1894-1942), employé SNCF, résistant
- Fernand Charpentier (1913-1942), employé SNCF, résistant
- Gustave Jurczyszyn (1918-1942), résistant
- Victor Lévêque (1923-1942), ouvrier, résistant
- Raymond Potier (1914-1942), résistant
- Léon Theil (1888-1942), employé SNCF, résistant
- Pierre Vastel (1889-1942), employé communal, résistant
- Armand Voisin (1904-1942), ouvrier, résistant
- Charles Villard (1921-1942), ouvrier, résistant
- Désiré Hervé (1915-1942), ouvrier, résistant
- Francis Sylvestre (1919-1942), cheminot, résistant
- Lionel Audigier (1909-1944), sous-préfet de Cherbourg, résistant
- Bernard Debroise (1926-1944), résistant
- Raymond Le Corre (1901-1944), homme politique, résistant
- Charles Barbaroux (1871-1951), imprimeur
- Adrien Bellec (1898-1967), président d'associations
- Ferdinand Gruel (1906-1975), religieux
- Robert-Paul Dagan (1904-1983), scénariste et réalisateur de cinéma
- Albert Colette (1923-1992), religieux
- Marcel Alabert (1925-1996), résistant, déporté
- Eugène Chevrel (1928-1996), religieux
- Bernard Jacqueline (1918-2007), archevêque et érudit
- Honoré Bochef (1914-2008), religieux
- Bernard Robin (1930-2012), religieux
- Louis Delaune (1930-2013), religieux
Autres
- Joseph-Nicolas Cabart-Danneville (1765-1830), entreposeur des Tabacs et Poudres à feu à partir de 1811 à Saint-Lô
- Georges Le Rendu (1884-1957), avocat
- Samuel Beckett (1906-1989), traducteur dans un hôpital provisoire en 1945
- David Sommeil (1974-), footballeur du FC Saint-Lô Manche
Politique
Transports
Voies
- Voir la page Liste des voies de Saint-Lô.
Liaisons ferroviaires
- Ligne Rennes < > Caen (TER Basse-Normandie)
- Ligne Saint-Lô < > Paris-Saint-Lazare (Corail Intercités Normandie)
Liaisons routières
- Réseau d'autobus urbain TUSA (Transports Urbains Saint-Lô-Agneaux), remplacé par le réseau Slam (Saint-Lô Agglo mobilités) en 2019[21]
- 1 : Saint-Lô-Les Colombes <> Agneaux-Villechien / Centre commercial La Demeurance
Dessertes principales : Collège Pasteur, Manche Habitat, Hôtel de ville, gare NCF, CFA d'Agneaux, établissement privé de l'Institut, centre commercial
- 2 : Saint-Lô-conseil général < > Saint-Lô-La Madeleine
Dessertes principales : hôpital, collège Lavalley, Gare SNCF, hôtel de Ville, centre culturel, église Sainte-Croix, centre commercial, clinique Saint-Jean, dépôt TUSA
- 3 : Saint-Lô-Bois Ardent / centre aquatique <> Saint-Georges-Montcocq-La Bonne Femme
Dessertes principales : ZI Chevalerie, centre commercial, lycée Pierre & Marie Curie, lycée Camille-Corot, Bon Sauveur, Gare SNCF, hôtel de Ville, ascenseur du Mont-Russel, Sécurité sociale, mairie de Saint-Georges
- TAD (Transport à la demande), service Ocitolà : desserte de l'ensemble de la Communauté de communes
Dessertes principales : Baudre-mairie, Pont-Hébert-mairie, La Meauffe- quartier du Pont, Rampan-mairie, Sainte-Suzanne-mairie
Lignes en correspondances à la gare SNCF & à l'hôtel de ville de Saint-Lô.
En 2010, il y a 15 autobus standard & 1 minibus : 5 Renault Pr 100.2, 2 Renault Pr 112, 2 VanHool A 320, 5 Heuliez GX 317, 1 Heuliez GX 327, 1 Renault Master B.20 (pour le bus à la demande "Ocitolà").
- Lignes Manéo
- Ligne 1 : Saint-Lô-Cherbourg-Octeville
- Ligne 5 : Tessy-sur-Vire-Saint-Lô
Économie
- 2ED, salles de bain
- Agrileader, commerce en gros de produits agricoles
- Algaia : entreprise spécialisée dans les extraits d'algues (créée en 2010)
- Bâti Assistance : construction de maisons individuelles
- Cap Inter Normandie : travail intérimaire
- Cemex
- Centre de promotion de l'élevage
- Citroën : concessionnaire automobile
- CEV Group (Softway) : transactions électroniques
- Daltoner : reconditionnement de cartouches d'encre, créée en 1992
- Euromoteurs
- France Kebab (produits surgelés) : installée en 2005, 26 salariés
- Gama : gère le restaurant McDonald's
- Garage des Ronchettes (Opel)
- Hommet Voyages : agence de voyages
- ID Traiteur : fermée en 2011
- Laboratoire départemental d'analyses de la Manche
- La Manche Libre, siège de l'hebdomadaire régional
- La Gourmande normande, produits frais
- Lebon SA : concessionnaire automobile
- Lecapitaine : fabrication de carrosseries frigorifiques, 370 employés
- Lecapitaine Technic
- Lechevallier & Monteil : génie électrique
- Lejamtel : agencement de magasins, créée en 1935
- LM Services : transport de véhicules
- Logimanche : construction
- Maisons Teco : construction
- Mercure Saint-Lô Centre : hôtel
- Ets Michel Rateau : moteurs et pièces détachées
- Mobiky-Tech / Easybike : vélos électriques
- MT Verbom : outillage de presse
- Née Combustibles : distribution de combustibles
- Neveu Bureau Concept : distributeur et agenceur de bureaux
- Nordor Technologies
- Scauto
- Les Tissus d'Isa : confection, tissus, 3 salariés
- Véolia Environnement : Véolia-Eau et Véolia-Transport
- Anciennes entreprises
- Laujac (confection) : fermé fin 2003
- Manufacture de draps (jusqu'à la Révolution) [22]
- Manufacture française de fourrures, créée en 1903
- Moulinex, fabrication d'appareils électroménagers, 173 salariés
- Papeterie de Saint-Lô : détruite par un incendie en 1930
- Saint-Lô Couture, anciennement AB Mmod (transférée à Condé-sur-Vire)
- Usine hydroélectrique de Candol : détruite en 2017
- Usine à gaz de Saint-Lô
Éducation
Primaire
- École de l'Aurore (ferme en 2021)
- École Raymond-Brulé
- École Jules-Ferry
- École des Palliers
- École Calmette-et-Guérin-Jules-Verne (ferme en 2021)
- École de l'Yser
- École Samuel-Beckett (ouvre en 2021)
- Le Bon Sauveur (privé)
- Interparoissial / Groupe scolaire Jeanne-d'Arc (privé)
- École René-Gendrin (fermée)
Collèges
- Collège du Bon-Sauveur (privé)
- Collège Interparoissial (privé)
- Collège Georges-Lavalley
- Collège Louis-Pasteur
Lycées
- Lycée Le Bon-Sauveur (privé)
- Lycée Camille-Corot
- Institut Saint-Lô (à Agneaux ; privé)
- Lycée Le Verrier
- Lycée Pierre-et-Marie-Curie
- Lycée agricole Saint-Lô-Thère (au Hommet-d'Arthenay)
- Établissement régional d'enseignement adapté Robert-Doisneau (EREA)
Enseignement supérieur
- Groupe FIM : propose diverses formations telle que l'École de gestion et de commerce (EGC) Basse-Normandie.
- École supérieure d'ingénieurs de Normandie : antenne de Saint-Lô
- Institut de formation en soins infirmiers et d'aides-soignants
- Centre d'enseignement des soins d'urgence de la Manche
Culture
Lieux
Événements
- Festival Les Hétéroclites
- Les Saltimbrés (cirque)
- Normandie Horse Show(CSO) / CSI*** de Saint-Lô
- Festival Polyfollia
- Holi Festival
- Festival Planète Manche
Associations
- L'Acte
- Association agréée pour la pêche et la protection du milieu aquatique
- Association ciné loisirs amateurs du centre Cotentin - Aclaac
- aFuJi (association franco-japonaise)
- Amis des musées de Saint-Lô
- Art Plume
- Cabriolets en Manche
- Cha cha rock Club
- Écran Sonique
- L'Écume des films
- Les Folk'lô
- Hag'Dik
- Initiative Centre Manche
- Jeunesses musicales de France
- Maison de la vie associative Calmette-et-Guérin
- Pied qui r'mue
- Pour la Vire
- Les Saltimbrés
- Société d'aviculture de la région de Saint-Lô et du bocage normand
- Swing'n danses Saint-Lô Carentan
- Université Inter-Age Bocage
- Un soir dans la Manche
- Commune libre du Hutrel
- Chant nouveau
- Infoaddict
Saint-Lô dans les arts
Volontaire pour la Croix-Rouge irlandaise à l'hôpital de Saint-Lô, Samuel Beckett écrit un poème intitulé Saint-Lô, publié dans l’Irish Times en 1946.
En 1981 et 2005, Patrick Modiano situe une partie de ses romans Une Jeunesse et Un pedigree à Saint-Lô, où il est venu à plusieurs reprises à partir de 1962.
En peinture, Saint-Lô a inspiré Camille Corot (Vue de Saint-Lô) qui y séjournait régulièrement chez des amis.
Saint-Lô en cuisine
Saint-Lô en philatélie
Sports
- Athlétisme : Stade saint-lois Athlétisme
- Badminton : ASPTT Saint-Lô
- Baseball : Jimmer's de Saint-Lô
- Basket-ball : Stade saint-lois Basket-ball
- Boxe : Boxing club saint-lois
- Cyclisme : Vélo-club Saint-Lô-Pont-Hébert
- Cyclotourisme : ASPTT Saint-Lô
- Équitation :
- Gourmette saint-loise
- Centre équestre de Lairaud
- Normandie Horse Show
- Escrime : Cercle d'escrime de Saint-Lô
- Football :
- Golf : ASPTT Saint-Lô
- Gymnastique : La Saint-loise Gymnastique
- Haltérophilie : Stade saint-lois Haltérophilie
- Handball : ASPTT Saint-Lô
- Hippisme : Hippodrome des Ronchettes (1904-1989)
- Karaté : Karaté-do club saint-lois
- Natation :
- Pétanque :
- Amicale bouliste saint-loise
- ASPTT Saint-Lô
- Roller
- Rugby : Rugby club saint-lois
- Squash : Saint-Lô Squash
- Tennis :
- MTC Saint-Lô
- ASPTT Saint-Lô
- Tennis de table : PL saint-lois Tennis de table
- Tir à l'arc : Arc club saint Lois (ACSL)
- Triathlon : Triathlon de Saint-Lô
- Voile : ASPTT Saint-Lô Voile
- Volley-ball : Saint-Lô Volley
Jumelages
- Saint-Lô-Aalen (Allemagne)
- Saint-Lô-Christchurch (Royaume-Uni)
- Saint-Lô-Kari (Burkina Faso)
- Saint-Lô-Roanoke (États-Unis)
- Saint-Lô-Saint-Ghislain (Belgique)
- La Dollée-Kervénanec (Lorient, Morbihan)
Hommages
- Plusieurs villes de la Manche et de France ont donné le nom de Saint-Lô à l'une de leurs voies.
- Le Saint-Lô, cargo de type liberty ship.
- Le groupe pop St. Lô
- Le grand cru Château Saint-Lô
- L'USS St. Lo, un ancien porte-avions de la marine américaine
Bibliographie
- voir l'article détaillé Bibliographie de Saint-Lô
Notes et références
- ↑ 1,0 1,1 1,2 et 1,3 « Découvrez la cité préfecture au Moyen Âge », Côté Manche, 24 mai 2016 (lire en ligne).
- ↑ 2,0 et 2,1 « Saint-Lô, grand centre industriel et Monnaie au Moyen Âge », Côté Manche, 23 mai 2016 (ligne en ligne).
- ↑ 3,0 3,1 3,2 3,3 3,4 3,5 3,6 et 3,7 « Saint-Lô dans les guerres de religion », Côté Manche, 3 juin 2016.
- ↑ 4,0 4,1 4,2 et 4,3 « Saint-Lô dans l'Ancien Régime », Côté Manche, 6 juin 2016 (lire en ligne).
- ↑ 5,0 et 5,1 « Saint-Lô sous la Révolution française », Côté Manche, 13 juin 2016. (lire en ligne).
- ↑ 6,0 6,1 et 6,2 Xavier Terrien, « Saint-Lô, empires et républiques : l’apogée », Côté Manche, 4 juillet 2016 (lire en ligne).
- ↑ Victor-Adolphe Malte-Brun, Manche (géographie, histoire, administration), 1882, réédité en 1980 par les Éditions du Bastion.
- ↑ 8,00 8,01 8,02 8,03 8,04 8,05 8,06 8,07 8,08 8,09 8,10 et 8,11 Xavier Terrien, « Saint-Lô, la martyr du 20e siècle », Côté Manche, 13 juillet 2016 (lire en ligne).
- ↑ Blanche-Neige et les Sept Nains sur WP.
- ↑ 397, selon Auguste Lefrançois in Quand Saint-Lô voulait revivre - juillet à Noël 1944, P. Bellée, 1967 ; 352, selon Michel Boivin et Bernard Garnier in Les Victimes civiles de la Manche dans la bataille de Normandie, Éditions du Lys, CRHQ, 1994.
- ↑ 11,0 11,1 11,2 11,3 11,4 et 11,5 Hugues Derouard, « Saint-Lô, une ville à redécouvrir », Détours en France, n° 143, mai 2010.
- ↑ Joanne Vajda, « Espaces publics en Europe dans les guides de voyage : pratiques et représentations. 1950-1970 », In Situ, revue des patrimoines, 2011 (lire en ligne).
- ↑ « 120 ans en Cotentin 1889-2009 », La Presse de la Manche, hors-série, novembre 2009.
- ↑ Au début du 21e siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par la loi no 2002-276 du 27 février 2002, dite « loi de démocratie de proximité » relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V « des opérations de recensement », afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises. Pour les communes dont la population est supérieure à 10 000 habitants, une enquête par sondage est effectuée chaque année, la totalité du territoire de ces communes est prise en compte au terme de la même période de cinq ans. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1er janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006.
- ↑ Population avant le recensement de 1962
- ↑ INSEE : Population depuis le recensement de 1962
- ↑ « Conseil municipal de Saint-Lô : Emmanuelle Lejeune enfile officiellement l’écharpe tricolore », Ouest-France, site internet, 5 juillet 2020.
- ↑ 18,0 et 18,1 « 601 communes et lieux de vie de la Manche », René Gautier et 54 correspondants, éd. Eurocibles, 2014, p. 563.
- ↑ « Le nouvel hôtel des postes », L'Ouest-Éclair, 8 mai 1935.
- ↑ 20,0 20,1 20,2 20,3 20,4 et 20,5 « Monument commémoratif de Saint-Lô », normandie44lamémoire.com.
- ↑ « Réseau de bus Slam, le pratique de la rentrée », Ouest-France, 29 août 2019.
- ↑ Jeanne-Marie Gaudillot, « La manufacture de draps de Saint-Lô, de Colbert à la Révolution », Revue de la Manche, n° 34, 1967.
Liens externes
- Voir l'article sur Saint-Lô dans Rodovid, wiki d'études généalogiques.
- Site officiel